Le marché central d’Abengourou en Cote-d’Ivoire part en fumé pour la 4e fois en moins de 10 années

« C’est bien dommage et déplorable que de pauvres commerçants se retrouvent dans des sinistres à cette période sensible des fêtes de fin d’anné », a réagi le ministre Pascal Kouakou Abinan qui s’est rendu sur place peu après 7 heures.

Une épaisse fumée qui obscurcit les airs, des cris de désolation, des marchandises sauvées des justesse disposées en désordre par endroit. Le tout dans une vacarme inscriptible. C’est l’ambiance électrique qui régnait à l’aube du 23 décembre 2017 au marché central d’Abengourou. Pour la quatrième fois, le marché en question est en feu.

Les trois premiers incendies à cet endroit ont été respectivement enregistrés le 4 août 2008, le 12 février 2009 et le 15 octobre 2013. Si pour ces premiers sinistres, les dégâts matériels ont été relativement moins importants, ce dernier cas d’incendie est plus grave même si aucune perte en vie humaine n’a été enregistrée.

La grande partie de l’édifice a en effet cramé. Selon les premiers témoignages recueillis sur les lieux, c’est peu après 2 heures du matin que le feu s’est déclenché au cœur même du marché. Les vigiles sur place qui prennent la mesure de la situation, alertent les forces de l’ordre.

Les éléments de l’office national de protection civile (Onpc) installés dans la ville, se déportent sur les lieux. Mais déjà, le feu a pris des proportions importantes. Ces sapeurs-pompiers civils qui ne disposent que d’une citerne de 450 000 litres vident très rapidement leur réserve.

Le sergent-chef Kouassi Achille, chef de ladite unité et ses hommes restent impuissants. Vu que le marché est dépourvu de bouche d’incendie. Dans le secteur, il n’existe qu’un poteau d’incendie qui du reste, est défectueux. Pendant de longues heures, les flammes en furie ravagent ainsi la plus grande partie du marché central où sont installés plus de 2000 commerçants.

Dans les environs, aucune disposition sécuritaire dissuasive n’est visible. Toute chose qui profite à des malfaiteurs qui s’adonnent à des scènes de pillage. Dans des tentatives désespérées, des commerçants essaient de sauver ce qui peut l’être.

De jeunes gens dans un élan de solidarité et avec des bidons d’eau, arrivent en définitive à freiner la chevauchée funeste des flammes aux environs de 7 heures. Mais déjà, les dégâts sont énormes. « Nous avons du mal à comprendre que cela fait la 4ème fois que ce marché prend feu et que jusque-là, des dispositions ne sont pas prises pour prévenir et parer à de telles situations. C’est bien dommage et déplorable que de pauvres commerçants se retrouvent dans des sinistres à cette période sensible des fêtes de fin d’année. Nous pensons qu’il y a des dispositions particulières qu’il va falloir prendre » a réagi le ministre Pascal Kouakou Abinan qui s’est rendu sur place peu après 7 heures. Notons que l’origine de l’incendie reste encore inconnue.

Zéphirin NANGO (Correspondant régional)
Fratmat.info

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22 réflexions au sujet de “Le marché central d’Abengourou en Cote-d’Ivoire part en fumé pour la 4e fois en moins de 10 années”

  1. Faut-il definer l’origine de tels incendies récurrents depuis 10 ans ?

    DE LA NECESSITE D’ETABLIR ET FAIRE RESPECTER PAR TOUTES LES VILLES/MAIRIES DES STANDARDS EXPLICITES DANS LA CONSTRUCTION DES MARCHES.

    Il est temps que les vendeurs eux-mêmes prennent conscience des installation anarchiques pouvant créées des cc et autres sources potentielles d’incendie.

  2. ETABLIR et faire RESPECTER …

    La dioulaterie étant au pouvoir et le milieu du commerce étant entre ses mains, on verra bien comment ce pouvoir fera pour imposer à ses ouailles des prescriptions sécuritaires contraignantes !!

    Non mon cher ami, s’il fallait se conformer aux conditions sécuritaires anti incendies, cela aurait été fait depuis longtemps. Si on n’y arrive pas, c’est qu’il y a des gens qui ont toujours passé outre les recommandations produites dans leur propre intérêt !!

    Et comme par hasard, ce sont toujours des maliens, sénégalais, dioulas et autres égorgeurs de moutons qui proclament être en ce jour au pouvoir et tout puissants dans les syndicats locaux !!

    Pop !! (Et non, moi je n’insulterai pas les culs des mamans des gens !! Je rougirai juste vos yeux par la vérité !!)

  3. CELA SE PASSAIT EN OCTOBRE 2008….

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    Incendie criminel ou accidentel ?: Le marché de Gagnoa totalement ravagé par le feu

    Le grand marché de Gagnoa a totalement brûlé dans la nuit du 25 au 26 octobre dernier, à partir de 20h45mn. Eu égard à l’intensité des flammes, les commerçants ont regardé impuissants leurs marchandises se consumer.
    Le grand marché de Gagnoa a brûlé toute la nuit du 25 au 26 octobre dernier. Rien n’y a été sauvé. Pas même la moindre aiguille. C’est la désolation totale. Les commerçants n’ont que leurs yeux pour pleurer. Le triste événement s’est imposé à toute la population de Gagnoa. Le bâtiment central à étages s’est affaissé après le passage des hautes flammes. Son contenu s’est réduit en cendres. Tous les magasins qui ceinturent le bâtiment central sont réduits aussi en cendres. L’incendie s’est déclenché concomitamment dans les 4 angles du marché central à partir de 20h45mn. Et les hautes flammes imposantes ont rapidement envahi le commerce, le centre des affaires de la cité du Fromager. Aussitôt, les populations alertées par des fumées épaisses et des détonations de bouteilles de gaz se sont déportées sur les lieux. Des commerçants qui avaient le souci de sauver leurs marchandises, des pilleurs de tous poils, de simples curieux et des âmes compatissantes se sont retrouvés spontanément autour du marché en feu. La consternation est totale. 
    Face à la montée des flammes et ayant réalisé qu’elle ne pouvait rien faire pour sauver et ses machines et les habits de ses clients, Mlle Brigite Guiza pète les plombs et tome dans les pommes. Autour du marché, des scènes similaires sont observées çà et là. Même des malades admis au centre hospitalier régional de Gagnoa perdent leur sang-froid et abandonnent leurs lits d’hôpital pour se rendre en famille.
    La rue sénégalaise grouille de monde plus ou moins intéressé. Des magasins sont éventrés et leurs contenus pillés. Entre-temps, M. René Mohiro Nioulé, préfet de la région du Fromager, préfet du département de Gagnoa, prend langue avec les soldats du feu basés à Yamoussoukro. Ceux-ci, eu égard à l’état défectueux de la route, pointent à Gagnoa à minuit 50mn. Tout avait déjà brûlé. Auparavant, dans sa recherche effrenée de solution, le chef de l’administration locale de Gagnoa, avait déjà fait plonger le secteur sinistré dans le noir. Ceci pour éviter que le feu prenne tout le centre commercial. 
    M. Doukouré Bakary, secrétaire général de la FENACCI-Gagnoa, est inconsolable. “Le marché est la 1ère usine d’une ville. Toutes les couches socio-professionnelles y ont des intérêts. On disait tout le temps que le marché de Gagnoa allait brûler. C’est chose faite maintenant. Mais ceux qui le souhaitaient doivent savoir que nous sommes tous perdants. Le marché a brûlé totalement et complètement. C’est la 1ère fois que je vois cela”, déplore-t-il. Il a sollicité l’aide du gouvernement en faveur des commerçants de Gagnoa qui subissent des coups durs depuis novembre 2004. En effet, en 2004, suite à la colère des Ivoiriens face à la destruction des aéronefs de l’armée ivoirienne par la force Licorne de l’ancien président français Jacques Chirac, les commerçants de Gagnoa ont fait l’objet de pillage. Le préjudice subi a été évalué à 1,270 milliard de franc CFA. En juillet 2006, le marché de Gagnoa était sous les eaux à la suite d’une forte pluie. Le préjudice de cette catastrophe naturelle avait été chiffré à 542 millions FCFA. Le clou de cette série noire cyclique s’est produit dans la nuit du 25 au 26 octobre 2008 à partir de 20h45, où tout le marché a brûlé totalement. Les commerçants ne savent pas ce qui leur arrive.
    Mme Simone Ehivet Gbagbo, Première dame, en tournée à Gagnoa, s’est rendue précipitamment sur les lieux du sinistre, le 26 octobre dernier, pour apporter sa compassion aux commerçants et autorités locales.

    Marius Dangan Kpan

    SOURCE : NOTRE VOIE
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    Juste un rappel avant mon commentaire

  4. Des années glorieuses à nos jours

    Construits très souvent à la faveur des fêtes tournantes de célébration de l’indépendance, les grands marchés des capitales régionales étaient modélisés identiques.

    En 1968 oû Abengourou la capitale royale accueillait toute la Côte d’Ivoire, cette infrastructure avait été l’un des projets structurants de la ville. Avec le lycée, le CHR, l’hôtel de la SIETHO, un.nouveau stade de football etc…

    En 1968 la grande ECOLE AFRICAINE DES MÉTIERS DE L’ARCHITECTURE ET DE L’URBANISM, L’EAMAU, basée à Lomé au Togo, institution inter-états d’enseignement supérieur et de recherche, n’était meme pas créée !

    Elle sera fondée par une résolution du sommet des Chefs d’Etats de l’OCAM en 1975…donc bien après Abengourou 1968 !

    Les architectes d’alors ont eu du mérite. Le copie collé des projets a marché.

    Pour Man, Daloa, Abengourou, Odienné etc…Meme projet. Meme plan architectural.

    En 1968 un projet architectural de marché était dimensionné au mieux pour les 20 voire 30 ans à venir. Pas plus !

    Nous sommes en 2017. Soit 50 ans après la construction de ce marché et 20 à 30 ans après…sa durée de vie !

    Entre temps la population de la capitale Royale a…triplé au bas mot !

    Malgré les efforts de l’Etat et du conseil régional, la pression sur l’infrastructure est intenable !

    Les câbles électriques, point critique, moulés dans le béton sont pourris à 70%. Surcharge d’exploitation, vieillissement naturel etc .

    Quand on constate qu’ils sont défectueux, l’électricien du coin, refait un raccordement volant à la sauvette !

    À la veille des fêtes pour vendre plus il faut travailler jour et nuit. Donc de nouveaux surbranchements … Sans tenir compte des dimensionnements d’origine ni des contraintes multiples.

    La SECUREL C’EST POUR LES GRANDS !

    L’un dans l’autre un jour tout flamble !

    Malgré les louables efforts de la Protection civile en casernes et en formation (merci La France) nous sommes toujours surpris et dépassés.

    Rarement il y a un point d’eau pour les pompiers dans les 500m de l’incendie.

    Rarement il y a des extincteurs

    Rarement quand ils existent ims sont contrôlés et révisés…

    Rarement ….rarement on pourra faire de la vraie simulation et de la prévention efficace.

    AVEC L’EAMAU Il FAUT REPENSER L’AFRIQUE

    Urbanistes Architectes Geometres Topographes secouez L’Etat !

    L’EAMAU forme nos jeunes spécialistes. Donnons leur du travail !!!

    Un immeuble qui vaut 300 millions et qui abritera 50 personnes, pourquoi la confier au petit dessinateur du coin ? Alors qu’un architecte avec moins de 5 millions te fait un travail propre respectueux de toutes les exigences metier DTU, loi de Blondel et autres multiples décrets !

    Une prestation qui sauvera la vie des habitants ! Quand le controle de l’exécution suit……….

    Le pauvre Fiacre (salut General) aura beau se debattre les pompiers ne travaillent avec les mains vides.

    Il faut tout l’environnement nécessaire pour toute infrastructure bâtie accueillant une taille donnée d’exploitants.

    A Douala les marchés brûlent. A Niamey, Lomé, Cotonou, Ouaga, Bamako, Lagos, Kinshasa …idem.

    Ce n’est donc pas une affaire de Haoussa, de Dioula ou de Bete ou de Bamileke ! Seuls les aigris peuvent le croire. Aux commerçants, c’est un beau métier, on peut imposer des normes.

    Certes tout le monde n’est pas au départ discipliné mais on l’apprend.

    Sortons des mauvaises fixations qui font penser qu’il ne faut pas donner sa maison 3 pièces à louer à un Bété parce qu’il va tout saccager avec une famille de 30 personnes !

    Bon dimanche a tous.

    JOYEUX NOEL A TOUS…

  5. Encore l’enfant d’enculée de @poop-kala qui s’adonne à son jeu favori.

    « Et comme par hasard, ce sont toujours des maliens, sénégalais, dioulas et autres égorgeurs de moutons…”

    Voici les paroles d’un sauvage bété aigris, haineux et violents qui comme tout bété ne manque jamais de pointer du doigt les étrangers, les autres. Un sauvage élevé aux mamelles de l’aigreur et haine d’une porcine de mère. Tu es misérable comme cette porcine de mère à l’anus aussi puant.

    Ah bon, donc les imbéciles de la refondation n’avaient pas compris le sens de ETABLIR et faire RESPECTER… Eh beh, je sais, je sais, quand on vous dit la vérité vous commencer à retourner sur vos nattes pour une « grâce » matinée. Selon donc les abominables de la bhétépack, les étrangers et Dioulas seraient responsables ? Et les bétés sauvages eux ils sont responsables de quoi ? Déchets toxiques ? 100 milliards ? Pillages ? Assassinats ? Guerre ? Et j’oubliais, entreprises fictives ? Hmmm ?

    Imbécile congénital comme ta génitrice…

  6. GBAGBO DECIDE….GNOHITE DIT NON !
    ou
    QUAND L’ETAT SUBISSAIT LES HERESIES D’UN MAIRE

    Le marché de Gagnoa avait brûlé en 20p8.

    Gbagbo President, saisi par la population, fait un geste de 20 millions aux victimes et s’est engagé pour construire un nouveau marché en conformité avec les normes.

    Le nouveau marché abritera un poste de police, une garderie d’enfants, une infirmerie, des toilettes et des parkings payants, avait précisé le Président Gbagbo.

    La suite….

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    PHASE I
    Un nouveau site consensuel pour la construction du nouveau marché de Gagnoa
    AIP | 6/1/2009 

    Après plusieurs réunions infructueuses tenues à l’invitation du préfet de la région du Fromager, René Mohiro, les commerçants du grand marché de Gagnoa, dévasté par un incendie le 25 octobre dernier, sont parvenus à trouver un site pour la construction du marché moderne que leur a promis le Président Gbagbo lors de leur rencontre le 15 décembre. 

    Situé sur un plateau au quartier Barouhio, dans la partie ouest de la ville, non loin du stade Biaka Boda, le site du nouveau marché répond, selon le porte-parole des commerçants, Lassissi Karim, au critère d’un marché moderne tel que décrit par le Président de la République.

    Le choix du site de Barouhio a suscité, dit-on, l’opposition de certains commerçants qui l’ont trouvé trop éloigné du centre ville, optant plutôt pour la place du marché incendié, quand d’autres voulaient un autre emplacement au centre ville, à la place du marché de bois. Les discussions entre commerçants ont finalement permis de dégager une majorité en faveur du site de Barouhio.

    Le préfet de région, le représentant du maire, le représentant du conseil des chefs de village de Gagnoa et tous les intervenants ont approuvé le choix des commerçants, qui ont à nouveau remercié Laurent Gbagbo pour son soutien.

    Le Président de la République avait remis le 15 décembre une somme de 20 millions FCFA aux sinistrés et promis aux commerçants de Gagnoa de reconstruire en six mois un nouveau marché moderne avec toutes les commodités.

    M. Gbagbo avait souhaité que le choix d’un nouveau site lui soit communiqué le plus tôt possible pour commencer les travaux, jugeant inadapté le site du marché incendié, situé dans une zone marécageuse. Le nouveau marché abritera un poste de police, une garderie d’enfants, une infirmerie, des toilettes et des parkings payants, avait précisé le Président Gbagbo.

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    PHASE II

    Cote d’Ivoire: Reconstruction du grand marché de Gagnoa – Conflit entre le préfet et le Maire

    Par Tapé Jean-Baptiste

    La cité du Fromager connait des discordes au niveau des ces autorités politiques. Le préfet de région et le maire ne parlent pas le même langage concernant la construction du marché promis par le président Laurent Gbagbo aux commerçants sinistrés.

    Plus rien ne va à Gagnoa entre le préfet de région, Réné Mohiro, et le maire, Roger Gnohité. La discorde est née de la volonté du second d’offrir un nouveau marché aux populations de sa commune sur le site détruit par un incendie qu’il a lui même qualifié de « criminel », le 25 octobre dernier. L’autorité préfectorale s’en tient aux recommandations du chef de l’Etat. Recevant les 1.049 commerçants sinistrés, le président Laurent Gbagbo, leur a promis un nouveau marché.


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    VOICI POURQUOI….il est difficile de trouver des projets de Gbagbo démarrés et… terminés !

    N’importe quel élu local remettait en cause sa décision et rien ne bougeait !

    Vous voulez un autre exemple ????

    Qu’est ce qui reste alors ?

    LES BELLES ET GENEREUSES INTENTIONS

  7. PROMETTRE et METTRE EN PLACE – LE TRAVAIL D’UN MAITRE !

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    Phase : Promesse

    Foot-Gagnoa: Dominique Ouattara offre un terrain synthétique au Sporting

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    Le stade Biaka NBoda de Gagnoa aura une pelouse synthétique. C’est une promesse de la Première Dame Dominique Ouattara appuyée de son époux, le chef de l’Etat Alassane Ouattara.

    Gagnoa est au paradis. Son mythique stade, le Biaka Boda aborera des artours modernes en oubliant à jamais le gazon naturel pour passer au synthétique. Ce 28 septembre, le coupe présidentiel a promis doter l’enciente sportive d’une pelouse moderne synthétique. Dominique Ouattara n’a pu résister aux larmes des supporteurs du Sporting qui brandissaient sur des bandéroles leurs suplications pour avoir un terrain synthétique, lors de la visite d’Etat. Emue, l’épouse du Chef de l’Etat a donné son assurance de faire du Biaka Boda le 3e stade ivoirien synthétique. Mieux, son époux Alassane Ouattara a martelé qu’il réalisera ce voeu de Gagnoa car la demande vient de son épouse.

    Joint au téléphone Diabaté Yssouf ne cache pas sa joie. « Merci à la Première Dame qui a vu nos larmes, les larmes de Gagnoa. Nos messages sur les banderoles et sur les écrans géants l’ont émue et elle a promis doter le stade Biaka Boda d’un terrain synthétique. C’est la victoire du Sporting, car le sport était oublié dans le livre blanc remis au Chef de l’Etat. C’est notre ingénieuse idée qui offre aujoudh’ui un terrain synthétique à Gagnoa. Bravo aux supporteurs et merci au Président Alassane Ouattara et à la Première Dame« .

    Jean-Michel Méa

     Vuvuzela net

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    Phase 2 : LE SUIVI

    Foot (Pélouse synthétique de Gagnoa): Les travaux vont démarrer

    C’est le PPU (Programme d’Urgence Présidentiel) qui réalisera les travaux du terrain synthétique de Gagnoa. De source proche de la Présidence ivoirienne, l’on apprend que le président Alassane Ouattara aurai donné des instructions fermes au PPU pour construire la pélouse synthétique du stade Biaka Boda de Gagnoa. A travers ce geste, le père de « l’Ivoirien nouveau »  se donne toutes les chances de voir le voeu de Gagnoa se réaliser.

    Pour rappel, en visite d’Etat, le 28 septembre dernier, à Gagnoa, le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara, avait donné son accord de construire un terrain synthétique au stade Biaka Boda. Le Président répondait à une demande du Sporting Club de Gagnoa, doléance formulée à l’endroit de son épouse Dominique Ouattara. Aujourdh’ui, le président Ouattara joint l’acte à la parole en confiant le dossier au PPU.

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    Phase 3 : La réalisation

    ET AFRICA SPORTS VIENT INAUGURER LA PELOUSE SYNTHÉTIQUE PAR UNE DEFAITE

    Le Sporting club de Gagnoa voudrait inaugurer la pelouse synthétique du Stade Biaka Boda par une victoire sur l’Africa Sports d’Abidjan

    Le match Sporting club de Gagnoa-Africa Sports d’Abidjan comptant pour la 8ème journée de la Ligue 1 marque l’inauguration de la pelouse synthétique du Stade Victor Biaka Boda offerte par la Première dame, « Ozoua Dominique Ouattara ». 

    Le Sporting club de Gagnoa (5ème avec 12 points+4) reçoit l’Afruca Sports d’Abidjan (2ème avec 14 points+6), dans le cadre de la 8ème journée de la Ligue 1. Cette rencontre revêt un caractère particulier pour la simple raison qu’elle marque l’inauguration de la pelouse synthétique du Stade Victor Biaka Boda. Une pelouse acquise grâce à la Première dame, Dominique Ouattara. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elle a été baptisée la pelouse synthétique Ozoua Dominique Ouattara. « Je vous invite ce samedi 2 décembre au Stade Victor Biaka Boda pour inaugurer ensemble la pelouse synthétique Ozoua Dominque Ouattara. Ce joyau que la Première dame a offert à la population de Gagnoa par le canal du maire Bamba Médji, sous la supervision de la FIF. Je demande à la population de Gagnoa de venir massivement au terrain pour soutenir notre chère équipe. Cette année, nous avons une équipe très jeune qui a vraiment besoin du soutien de sa population afin de la pousser jusqu’à la victoire finale », a dit le président du Sporting, Yssouf Diabaté.

    Il reconnait que ce match ne sera pas une partie de plaisir « Ça va être difficile, ça ne va pas être un match facile parce que nous jouons contre l’Africa Sports d’Abidjan qui est deuxième du championnat. Comme je l’ai dit, ça ne va pas être un match facile, mais il faut qu’on vienne de façon disciplinée, il faut qu’on montre aux yeux de toute la Côte d’Ivoire que le fair-play à Gagnoa, c’est notre devise. Ça va être un match difficile, mais avec la détermination de nos jeunes gens, je sais qu’on va avoir les 3 points », espère-t-il.

    Il est vrai que le dynamique président du Sporting souhaiterait avoir le gain du match, mais en sportif bien averti, il sait que tout peut arriver dans une rencontre de football. « Mais on sait que c’est le football, il y a 3 résultats : la victoire, la défaite et le match nul. Je souhaiterais qu’on prenne ça avec beaucoup de fair-play. Que le résultat sur le terrain soit pris en compte. On accepte le résultat, mais par la grâce de Dieu, je sais que nous allons remporter ce match-là avec la détermination de nos jeunes gens. Je souhaite que ceux qui vont venir à cette fête partent dire à la Première dame que cela s’est bien passé, on s’est bien amusé et que le meilleur a gagné. Je souhaite que le meilleur soit le Sporting club de Gagnoa », a-t-il conclu.

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    Phase 4 : La Maintenance

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    Phase 5 : Le débat puéril DE LA PATERNITÉ du projet…

  8. Ne faut-il pas être un enfant d’enculée bété sauvage comme @poop-kala pour oser attribuer la responsabilité des incendies aux étrangers et Dioulas ? Un problème récurrent en Afrique et ce cafard et ces cafarde maudits ne pensent qu’à indexer les autres.

    Sa crasseuse de mère aliénée bété doit être si fière de lui ainsi que ses ancêtres sauvages…

    Quel idiot !

  9. On ignorera donc ici comme toujours les déjections malodorantes du cher @peace…

    Mon cher mai @wara nous fait par contre une démonstration de ce que pourrait être la mauvaise fois de la plus pure des formes.

    Il s’agira ici de comparer ce qui n’est pas du tout comparable.

    LA seule vérité du @wara sera de donner L’UNE des causes qui fait en sorte que des projets initiés par des présidents m’aboutissent pas, surtout quand ils sont soumis au bon vouloir d’élus locaux qui pensent avoir leur mot à dire.

    Il est important ici de souligner que cette action des élus locaux est en parfaite conformité avec notre régime constitutionnel démocratique, car la volonté du président qui est un élu ne peut si simplement s’imposer à tout le monde (les élus, maires et députés, n’ont pas le même mandat impératif de soumission au président de la république que les nommés, préfets, gouverneurs, etc. Vive les contre pouvoirs qui font l’équilibre de toute république bien née). Il y a forcément des limites, que l’on pourrait éliminer en faussant le jeu démocratique, en mettant l’opposition en prison et en formatant des élections dans la fraude, pour que tous les élus soient en majorité de sa propre faction, ce qui faciliterait les choses bien évidemment (et oui, le maire qui était ROGER de vient BAMBA et nous sommes bien à Gagnoa)!!

    Non mon cher ami, le programme d’urgence présidentiel n’est pas une invention de OUATTARA et il y en avait déjà un sous GBAGBO LAURENT, un programme qui gérait d’autres priorités que vous n’avez pas du tout pu (ou voulu) noter, bien évidemment.

    Et pendant que vous parlez de pelouse de football, moi je vous parlerai des heures chaudes pendant la crise militaire ivoirienne, je vous parlerai d’actions initiées par SEM GBAGBO LAURENT, qui auront par exemple consisté à organiser des sites de secours destinés aux personnes qui auront fuit la commune d’ABOBO et ses escadrons invisibles. Il s’était agi de dégager des fonds importants (largement plus que 20 millions de balles), de trouver un site propice au relogement et organiser toutes une équipe autour de ces milliers de personnes, de familles venues nombreuses, qu’il fallait nourrir, habiller et réconforter, dans une ancienne école à ANGRE (A propos, le préfet de l’époque est toujours en exil, recherché justement pour ce soutien indéfectible aux actions du président GBAGBO LAURENT)

    Non mon cher ami @wara, il ne suffit pas de faire ici des étincelles pour produire une démonstration incohérente que l’on comparera avec une réfection de gazon synthétique sur un stade (et donc non homologué au niveau le plus élevé de la FIFA en terme de rencontres sportives), mais plutôt de tenir compte des nombreuses réalités liées à chaque mandat et à chaque période, selon le contexte et les conjonctures du moment et du lieu (Et non, SIMONE EHIVET GBAGBO devant les affres de la guerre n’aurait jamais validé une réfection de gazon, quand son pays brule et quand les ivoiriens pleurent de douleurs à DUEKOUE et à MAN ! Imbécile !!).

    S’il fallait donc citer les actions posées par GBAGBO LAURENT pour maintenir un certain équilibre dans le tissu social ivoirien et économique, équilibre qui a fait croire à des millions d’ivoiriens que le pays allait bien, équilibre qui a forcé de nombreux savaneux a venir se refugier au sud, à l’abri de la rébellion et de la guerre qu’on lui imposait, équilibre qui a obligé de nombreux observateurs économiques autour du PPTE à décerner à GBAGBO LAURENT des qualificatifs flatteurs copte tenu de la situation, il n’y aurait aucune base de comparaison avec OUATTARA qui ne vit pas les mêmes contraintes.

    Heureusement que les ivoiriens ne sont pas dupes et qu’ils sauront comparer les deux périodes, sur la base de réalités que vous ignorerez pour mettre au devant des situations que vous formaterez uniquement dans votre sens !!

    Et le plus délirant, c’est de constater les actions posées par les gouvernements GBAGBO pendant la crise, produites dans le but d’améliorer le quotidien de populations en ZONE CNO.

    Une aberration !!

    Mais bon, il faut bien des gens comme le petit @wara pour faire un monde !!

    Franchement, que le prochain pouvoir arrive et on verra quel bilan il dressera de l’épopée mandingue OUATTARA, d’autant plus que c’est une loi non écrite qui régit tout : « le pouvoir en place se réserve le droit de fustiger le ou les pouvoirs précédents ».

    On se fera plaisir !!

    Pop !!

  10. @peace …

    JOYEUX NOËL à votre mère !!

    Moi, je la respecterai pour changer un peu et parce qu’elle le mérite !!

    Je ne veux juger de l’éducation qu’elle vous a offerte !!

    Je n’en ai pas le droit car je ne la connais pas !!

    Elle a été bénie car DIEU lui a donné l’a chance de faire des enfants contrairement à des centaines de milliers d’autres femmes qui n’arrivent pas à enfanter !!

    Elle aura connu les joie de la procréation et la faveur unique et divine de donner la vie !!

    Bonne fête à elle !!

    Amicalement !!

    Pop !!

  11. On ignore @Peace tout en l’élevant. Hmm ? Il faut être vraiment le premier des cancres bétés pour comprendre les choses ainsi. Riressss…. Mais rien de nouveau dans ce sens…Allons-y…

    Pour le reste, la couleur de ton poop et de ta diarrhée reste la même. Tes âneries et aboiements de petits haineux et fainéants bétés, là encore, rien de nouveau.

    Cabri des brousses bétés…

  12. Sans blagues… L’enfant d’enculée en train de se lancer des fleurs séchées dans son apparent cirque en se jouant les « grands » sur son petit strapontin de maudit qu’il est.

    Je suis certainement sûr que l’éducation de ta maudite chienne de mère qui t’a rendu aigri, haineux, violent, et par-dessus tout abruti est à sa gloire, comme ses sorties « glorieuses » aux funérailles bétés où elle excelle à se faire sauter…

    C’est tout compris… Allons-y…

    Cancrelat…

  13. @Pop

    Au marché effectivement on achète les légumes qu’on peut payer et cuisiner.

    De tout ce qui précède tu n’as retenu que la promesse tenue du stade.

    Après avoir arrivés les malinkes de contrevérités et d »insanités.

    La réponse sans insolence vous était destinée.

  14. A votre mère j’adresse mes vœux sincères vu que vous ne les méritez point ou n’en voulez pas, vu les mots (maux) que vous assenez !!

    Je ne vous ai pas élevé du tout !!

    Mais bon, vous n’êtes pas obligé de partager !!

    Faites vos ablutions régulières et passer votre chemin !!

    Pop !!

  15. @wara ….

    Ce que j’ai retenu est de mon ressort et je ne suis pas obligé de penser comme vous !!

    J’aurais aimé vous voir me faire mentir sur mes assertions au lieu de vous voir remuer la vase !!

    Si vous voulez savoir ce que GBAGBO LAURENT a réalisé, il vous faudra tout d’abord une sacrée dose de bonne foi et de bonne volonté !!

    Mais si votre travail est une action de clan et de frappeur de tam tam mandingue, je comprends que vous ayez choisi de verser dans la démagogie sulfureuse pour redorer le blason de votre clique, en vilipendant GBAGBO LAURENT et le travail d’équilibriste qu’il a abattu pendant 10 ans pour donner aux ivoiriens l’impression d’avoir un pays solide, malgré les coups assénés par la rébellion et ses soutiens !!

    Et pour en revenir au sujet, si vous voulez voir les marchés survivre aux incendies, il faudra faire le ménage dans vos syndicats, dans vos étals et auprès de personnes qui ont en main ce domaine économique ivoirien, très proches de vos ouailles et très réfractaires aux actions du gouvernement car se croyant eux-mêmes au pouvoir depuis l’arrivée de OUATTARA au commandes !!

    Pop !!

  16. Et devinez donc, qui sont les gens qui viennent pour piller les magasins en pleine incendie ?

    Des petits dioulas biensur !!

    Pop !!

  17. Mes mots étaient aussi sincères que tes vœux. Je réitère leurs sincérités encore une fois.

    Je ne saurais connaitre la définition pratique du terme péjoratif d’ablution que tu lances ici à mon endroit mais je crois que ta mère en aura besoin bien plus que moi dès son retour des funérailles bétés ce long weekend pour les raisons innombrables que tu sais.

    Vraiment, quel… ?!?!

  18. Les vœux sont donc échangés !!

    Merci pour les formalités d’usage de fin d’année !!

    Amicalement !!

    Pop !! (Après les ablutions, vous êtes en droit de vous sécher le paquet !!)

  19. Ouiiiii… De la même manière que ta mère sèchera son entre-jambes ce long weekend après son nettoyage pour éviter cette puanteur qui s’y dégage !

    On s’est donc compris ! (Rassure-toi, moi non plus je ne peux juger de l’éducation que le cas social qu’elle est vous a donné)…

    Vraiment, quel pinailleur idiot !

  20. Indeed…

    Ta chienne de mère aura ses vœux quand elle reviendra de ses parties de jambettes en l’air des funérailles. Je ferai un bon paquet enveloppé dans une boule de neige. J’espère qu’elle appréciera certainement et pourra les mettre sous-couverts… Hmmm ?

    SAUVAGE…

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