Les médias ivoiriens sollicités pour une intensification de la sensibilisation des populations dans la gestion des ordures ménagères

L’Agence nationale de gestion des déchets (ANAGED) sollicite les hommes des médias dans sa dynamique de donner la propreté à la Côte d’Ivoire, par l’intensification de la sensibilisation des populations.

Au cours d’un atelier de formation tenu mercredi 20 au jeudi 21 septembre 2023 à Abidjan, au profit d’une trentaine de professionnels des médias, la directrice générale de l’ANAGED, Sarrahn Ouattara, a rappelé le rôle important de ces professionnels dans la sensibilisation de masse des populations.

« Consciente du rôle indéniable que jouent les médias dans les actions de sensibilisation de masse, l’ANAGED envisage de renforcer le cadre de collaboration avec les professionnels de médias intervenants en Côte d’Ivoire », a-t-elle affirmé.

« Il s’agit d’une collaboration qui vise à intensifier la sensibilisation des populations sur les questions de gestion des déchets ménagers », a ajouté Sarrahn Ouattara, expliquant que cette formation répond à trois défis, à savoir le manque d’informations des professionnels des médias sur la politique de gestion des déchets, l’insuffisance d’articles de presse sur la gestion des déchets et la faible implication des médias dans la sensibilisation des populations.

Des visites guidées, notamment au centre de valorisation et d’enfouissement technique (CVET) à Kossihouen et dans les centres de transfert (CT) des opérateurs Ecoti-SA et Eco-Eburnie ont également marqué l’atelier qui a porté sur le thème « Atelier de renforcement des capacités des journalistes pour une plus grande implication des médias dans le processus de gestion des déchets solides ».

(AIP)

Gak/kp

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1 réflexion au sujet de « Les médias ivoiriens sollicités pour une intensification de la sensibilisation des populations dans la gestion des ordures ménagères »

  1. Tout un chacun, nous avons notre rôle à jouer. Au-delà, c’est aussi cela le civisme. L’état joue sa partition, et nous aussi avons la nôtre à jouer. Quand on va à Dubaï, Arabie Saoudite ou dans bien de pays pas nécessairement développés au sens commun du terme, on ne voit pas les rues et caniveaux bondés d’immondices et/ou décharges pas contenues. L’exemple qui me plaît le plus c’est celui du Rwanda. C’est juste l’incivisme dont fait preuve bien souvent nos populations dans nos quartiers. Nous devons tous, chacun à son faire mieux. Et la.presse peut y contribuer, bien entendu. On doit avancer ensemble sur ce volet… Merci.

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