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Ce qui ici, choque notre morale à géométrie variable, c’est le fait qu’il s’agisse d’actes homosexuels entre hommes. C’aurait été des filles élèves sous-officiers qui se feraient des « papouilles » et autres broutages de gazon, l’opinion en aurait juste ri. Plus sérieusement, l’école de police est un lupanar géant où les filles élèves sont l’objet de toutes sortes d’abus, c’est de notoriété publique. Sans compter les cas de viols qui ne vont nulle part. Notre justice n’est plus très loin de décerner des médailles aux violeurs tant la « mode » se répand plus vite que l’infection à coronavirus. Alors, en condamnant le sergent Boka, cuisinier de son état qui adore se faire des brochettes de jeunes sous-officiers, l’occasion serait belle d’en profiter pour régler tous les autres problèmes d’abus et de viol dans cette école.
La vie est d’un calme d’huile à l’école de gendarmerie, tout le contraire de l’école de police. Pourquoi ? En tentant de répondre à cette question, on expliquera pourquoi la gendarmerie est un corps respecté parce que sérieux, et pourquoi c’est l’exact contraire pour la police. Comme l’on est formé, et comment l’on se comportera après.