Confidentiel: La dévaluation du Fcfa au cœur des échanges entre Macron, Ouattara et Macky (1300 Fcfa pour 1 Euro ?)

Afrikipresse

Derrière le protocole et les discussions bilatérales convenues entre, d’un côté, Macron-Ouattara, et, de l’autre, Macron-Sall, personne n’a su que les visites d’Alassane Ouattara, le Président ivoirien, et de Macky Sall, le Président sénégalais, étaient liées.

Les déclarations communes qui ont suivi reprennent les éléments de langage habituels de la diplomatie : liens historiques, amitié partagée, coopération renforcée dans tous les domaines, mais rien n’a été dit sur un autre sujet de ces rencontres et la préoccupation majeure du Président français et des deux Chefs d’État africains.

Pendant que des médias entretiennent la « fake new » d’une rivalité entre Ouattara et Sall, le Président ivoirien et le Président sénégalais, en lien avec la France, avancent la main dans la main, dans un souci d’étroite coopération, sur le sujet principal des rencontres à l’Elysée, la situation économique des deux « zones franc » : l’UEMOA (l’Union économique et monétaire ouest-africaine qui comprend le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo ), créée en 1994 sur les fondements de l’Union monétaire ouest-africaine, elle-même créée en 1973 ; la CEMAC (la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale qui réunit le Cameroun, la République Centrafricaine, la République du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad).

Aujourd’hui, une crise économique frappe les deux « zones franc ». L’UEMOA résiste mieux que la CEMAC. La question qui se pose est la suivante : faut-il dévaluer le franc CFA de la zone CEMAC ? Un rapport du Trésor public français, transmis au président Emmanuel Macron, recommande une unification des comptes des opérations des zones CEMAC et UEMOA, afin d’éviter une dévaluation de la monnaie utilisée en Afrique Centrale, à une parité qui serait désormais fixée 1300 FCFA pour un Euro.

Telle est la raison des rencontres entre Macron et Ouattara et Macron et Macky Sall. Les Présidents ivoirien et sénégalais partagent le même point de vue : pas de dévaluation de FCFA de l’Afrique centrale, malgré une situation critique. La CEMAC est-elle à l’abri d’une dévaluation de sa monnaie ?

Quant à ceux qui prétendent qu’il faut abandonner le CFA et créer sa propre monnaie unique, ou revenir aux monnaies nationales pour régler le problème , ils font fi des réalités économiques. Il suffit de regarder la situation du dollar du Zimbabwe, la monnaie la plus faible au monde. L’idéologie et les réalités économiques ne font pas bon ménage.

L’avenir du FCFA en Afrique centrale : tel était le sujet qui explique les visites, au même moment, d’Alassane Ouattara et de Macky Sall chez Macron. Tous les autres sujets abordés, – lutte contre le terrorisme, coopération économique, stabilité politique dans les deux sous-régions -, sont certes très importants, mais ils s’inscrivent dans un ordre du jour habituel.

​​​​​​​​​​Alice Ouédraogo

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29 réflexions au sujet de “Confidentiel: La dévaluation du Fcfa au cœur des échanges entre Macron, Ouattara et Macky (1300 Fcfa pour 1 Euro ?)”

  1. Voici la bombe qui provoquera la a prise de conscience globale des africains CEMAC ET UMEOA, concernant leur monnaie dite commune : la dévaluation du CFA.

    Moqué en 2010, le pouvoir FPI aura abordé la question, sous la pression et dans l’urgence, à un moment où OUATTARA et ses supports avaient provoqué une asphyxie financière et monétaire dans le pays.

    On aura émis l’éventualité de la création d’une monnaie ivoirienne, appelée MIR par certains ivoiriens, dans ce cadre de détresse et d’urgence.

    Il est évident que la constitution d’une monnaie nécessite un cadre politique et économique plus serein, une évolution par étape, mais cela n’a pas empêché certains spécialistes de plancher sur la question. Des personnes qui d’ailleurs n’étaient pas forcement pro GBAGBO à l’époque, car il s’agissait d’étudier la faisabilité de la chose, mais aussi d’expliquer les contraintes et de développer les arguments qui militeraient contre l’établissement de cette monnaie.

    Le cadre était purement politique dira t-on et les ivoiriens ne se sont pas forcement senti concernés par les débats engagés encore moins par les approches techniques que l’honorable SIMONE EHIVET GBAGBO avait commanditées à l’époque, dans ces moment de braises.

    Maintenant, plusieurs années plus tard, après avoir subi ce pouvoir qui a vanté le mérite de la croissance retrouvée et à deux chiffres, le retour de la prospérité, l’embellie dite économique, les grands travaux, un sujet brulant est mis sur la table : la dévaluation du franc CFA, qui passerait de 1 euro pour 650 à 1 euro pour 1300 francs !!!

    Une question qui était profondément politique, devient de fait une question sociale avec des conséquences qui seront dramatiques sur de nombreux foyers. Une dévaluation du franc CFA aura des impacts sur tout l’univers social autour de nous, la nourriture, les médicaments, le transport, l’énergie, les services, les plaisirs et loisirs,

    Il est presque certain que le niveau de vie ne sera pas ajusté proportionnellement à cette dévaluation : les salaires n’augmenteront pas, le portemonnaie de la ménagère ne sera pas plus lourd.

    De fait, une question qui aura provoqué l’hilarité des uns, le sarcasme chez les autres, l’indifférence pour la majorité, le changement de monnaie avec l’installation d’une monnaie ivoirienne, revient sur la table.

    Et au centre, ce qui choque le plus est ce qui suit : c’est le trésor français, qui est en charge de la gestion de notre monnaie, qui décide du besoin de dévaluer cette monnaie CFA.

    Dans la foulée, des présidents son convoqués, ou se convoquent eux-mêmes, pour en parler avec le président français !!!

    Je laisserai les débat financier et économiques aux sachants, mais entre nous, il y a forcement un malaise quand je vois que c’est avec la France que les choses se discutent.

    Désormais, il faudra trouver un mode de communication avec les populations ivoiriennes qui seront obligée de se confronter à ce problème de monnaie à leur corps défendant.

    La dévaluation c’est pour bientôt !!

    Et ça fait mal !!

    Épilogue !!

  2. @Marie Koukou

    Bien merci à toi de l’autre côté du mur pour les infos complémentaires, corrects ! Et dans ce document, l’élément clef à comprendre est ceci : Le manque de RESERVES ! Et, on n’acquiert pas des réserves juste avec un nouveau nom pour une monnaie. On les acquiert ESSENTIELLEMENT avec une économie dynamique qui peut VENDRE des BIENS et PRODUITS à l’extérieur. Voici la colonne vertébrale d’une monnaie. Ce n’est pas dénomination, idéologie ou émotions. Notre premier challenge c’est de rendre nos machines dynamiques. La monnaie accompagnera et on pourra avoir toutes les discussion qu’on veut.

    Disons donc, prenons une baguette magique aujourd’hui, et disons que la CEMAC se trouve une nouvelle monnaie maintenant appelée non-CFA. Quelle sera la différence de cet outil au niveau de la promotion du développement économique dont la monnaie est supposée être ? Et puis, si on change de dénomination et va la confier aux mêmes individus qui d’abord ont mal géré alors, ne faisons-nous que déplacer le problème ? Ou bien, si on change de dénomination et sommes incapables de vendre un produit à l’extérieur, que diantre croyons-nous arrivera au taux de cette nouvelle denomination ?

    Des gens continuent de fantasmer avec leur approche idéologique et leurs émotions pour appeler à la création d’une nouvelle dénomination.

    Bien entendu, la monnaie unique CEDEAO dans notre cas ne serait pas une mauvaise idée ?

  3. L’enjeu n’a jamais été la « dénomination » de la monnaie nôtre.

    S’il fallait juste changer le nom de notre monnaie, une conférence d’artistes divers, de littéraires et d’autres créatifs publicitaires pourrait proposer des milliers de noms pour remplacer le nom actuel.

    Non, nous sommes dans un cadre hautement économique et financier, qui interpelle les plus grands spécialistes de la question, qui connaissent le mode d’établissement et de fonctionnement de la monnaie en général, et du franc CFA en particulier.

    Nos approches sur ce site resteront profondément naïves, car il y a de nombreuses données dont on n’a même pas idée comme les mesures subjectives ou réelles de pression sur nos économies, les chantages divers et corruptions internes de nature à provoquer des dysfonctionnements dans la gestion de notre monnaie.

    Il y a donc ce que l’on sait, ce que l’on croit savoir, ce que l’on ne sait pas et ce que l’on ne peut pas savoir et que l’on ne saura jamais.

    Toujours est-il que le débat est lancé et est sur la place. Il y a de plus en plus de personnes qui se sentent indexées, interpellées, autorisées à s’exprimer sur le sujet.

    Et avec cette dévaluation, si elle est effective, exactement comme cela s’est produit pour la précédente, il y aura une interpellation sociale, qui amènera tout ivoirien à réfléchir sur la question de la monnaies nationale, sa valeur et sa fonction.

    Il est à redouter que cette situation soit récupérée politiquement dans de nombreux pays pour fustiger le pouvoir en place, tout comme les régent pourrait utiliser cette nouvelle situation comme prétexte pour cacher des tares structurelles ou pour se profiler.

    Alors oui, on part de ce qui est hautement pointu et technique, objectif et réservé aux instruits et compétent, pour aboutir à l’opinion du plus simple des ivoiriens, qui devra se poser au moins une fois dans sa vie des question concernant une entité dont il fait usage pratiquement tous les jours : la monnaie !!

    Problème de dénomination ??

    Non !!

    Épilogue !!

  4. Oh la la…Je crois rêver. On sonne de plus en plus comme un pro-Peace101/011 et moins en moins comme un pro-Gbagbo.

    Vieux sujet. Et bien la machine à brasser de l’air et le vide pour gueuler à ne rien dire à commencer à tourner et faire ses bruits.

    Rappelons juste ici le concept de changement de « dénomination » pour ce dernier. En fait, j’explique et ai expliqué ici que changer de monnaie selon LA LOGIQUE des idéologues refondateurs échoués et cancres qui pullulent sur ce site et ailleurs, serait équivalent à juste un changement de dénomination. BLANC BONNET. BONNET BLANC. Donc, mon point a toujours été qu’un changement de monnaie n’est pas juste un changement de dénomination, et que cela ne se fait pas basé sur ses émotions. Ouhhhhh….

    Parmi, les points techniques clés, je souligne la capacité des pays à générer un flux constant et consistant de réserves comme saluer plus haut. Encore une fois, ce n’est pas un jeu basé sur des émotions de femmelette raté ou parce que l’on se retrouve dans le cercle des aigris damnés de notre si beau pays.

    @Peace101/011 a toujours dit et dira à tous les sourds aigris en langage des signes. Changer de monnaie ne se fait pas parce que l’on a subitement et stupidement perdu un pouvoir et qu’on se croit devenu les chantres mal inspirés ou de fortune d’un panafricanisme des années 1960.

    Donc, va brasser de l’air sur d’autres sujets…
    Le « coquilleur », mon employé, au boulot… J’en ai laissé plein plus haut…

  5. Alors on ira pas à pas !!

    Vous dites : « En fait, j’explique et ai expliqué ici que changer de monnaie selon LA LOGIQUE des idéologues refondateurs échoués et cancres qui pullulent sur ce site et ailleurs, serait équivalent à juste un changement de dénomination… Donc, mon point a toujours été qu’un changement de monnaie n’est pas juste un changement de dénomination »

    Ce qui veut dire que vous avez sur la base « d’idéologie » de forumistes divers « échoués sur ce site » et surement pas forcement qualifiés en la matière, tiré votre propre conclusion, un changement de dénomination, puis vous avez argumenté sur la base de VOTRE PROPRE CONCLUSION ???

    Bravo mon cher !! (C’est ici encore du sophisme, pour ceux qui veulent savoir. Enoncer un concept que l’adversaire n’a pas développé et l’attaquer en faisant croire qu’il en serait l’auteur !! Pas mal comme mode d’argumentation !! Mais périmé !!)

    Non, quand des spécialistes de la question se réunissent, à l’invite de l’honorable SIMONE EHIVET GBAGBO, pour réfléchir sur la création d’une nouvelle monnaie, ce n’est pas pour en changer banalement le nom !!

    Les mécanismes d’édification, d’implantation, de fonctionnement et de consolidation d’une monnaie sont connus (et cela les sachant ne peuvent l’ignorer pour aller à de la basse démagogie que vous avez d’ailleurs avalée goulument et naïvement, pour aboutir au constat que l’on voulait changer juste de nom) !!

    Vous avez choisi votre cible, vous avez vous même fixé le sujet et la thèse, vous l’avez attaquée, je respecte ce choix. Mais, pour votre gouverne, l’idéologie de la refondation, au moment de la crise, n’avait absolument rien à voir avec un « changement de nom » !!

    Au demeurant, si la volonté aurait été effectivement de changer de nom, je vous donne raison donc sur toute la ligne, quoiqu’un simple décret du président aurait pu le faire, sans efforts, mais aussi sans effets !! Mais ce n’était pas le but !!

    Si par contre le but était de changer de monnaie, vous pouvez mieux que moi expliquer pourquoi le pouvoir GBAGBO ne pouvait pas le faire, dans ce contexte de crise !! Vous êtes partiellement outillé pour l’expliquer !! Il aurait fallu juste énoncé les difficultés et retracer pourquoi cette action était impossible dans ce cadre, au lieu de faire croire que l’intention originelle serait de « changer de dénomination » !!

    Débat clos !!

    Épilogue !! (Tiens, le nuage d’invective est de retour !!)

  6. Encore à brasser du vent pour ne rien dire. Encore une fois, il n’y a absolument pas de mal à sonner pro-Peace101/011. Pour le reste retourne dans les archives. Et verras les explications fournies.

    Baver, comme tu le fais ce n’est point débattre. Clairement, tu ne saurais comprendre cette différence. Vieux débat. Très vieux débat. Répétons-le. Une nouvelle monnaie ne se crée pas basée sur les émotions d’aigris et crabes. Voilà !

  7. Que je retourne pour voir des archives d’un personnage qui débat sur ses propres perceptions ??

    Non, vous savez avec qui vous avez débattu à ce moment là et le fait que le débat soit ancien ne signifie pas pour autant que vous ayez eu raison !!

    Et si vous faites de moi un pro-Peace, cela signifie clairement que ne je ne pourrais en aucun cas avoir militer pour une idéologie (conçue par vous même, si je vous lis), autour du changement de « dénomination » de monnaie !!

    Par contre, là où vous avez raison, c’est qu’une nouvelle monnaie ne se crée pas, basée sur des émotions, soient t’elle d’aigris ou de crabes et c’est aussi pourquoi cela n’a pas marché en 2011.

    Le mécanisme de création est formellement décrit, aussi bien sur la base sociale, politique, psychologique, juridique qu’économique.

    Pro peace sur cette question ??

    Oui, je le suis !! Mais je désapprouve le fait de débattre sur une thèse que l’on produit soi-même !!

    Épilogue !!

  8. On se comprend donc sur cette question. Fort heureusement, je n’ai produit aucune thèse de la sorte dans le cas d’espèce.

  9. Je lis vos propos (sans les interpréter s’il vous plait. C’est encore écrit plus haut).

    Je n’invente rien du tout !!

    Étant représentant de ma faction, je peux certifier qu’il n’a jamais été question d’un changement de « dénomination » et je ne connais pas dans mon entourage un seul pro GBAGBO qui aurait pu penser que le but recherché est de changer de « nom de monnaie » !!

    Les approches du pouvoir GBAGBO étaient plus que sérieuses et pensées.

    D’ailleurs la réaction de la banque centrale et de l’occident a été cinglante et appropriée, allant jusqu’au gel des ordres d’impression de billets et de frappe de pièces, et au verrouillage géographique et économique du pays, empêchant tout autre pays de nouer une quelconque coopération financière avec le pays.

    Des actes qui auraient été traités de terroristes dans un cadre autre.

    C’est pour dire que c’était une altercation extrêmement sérieuse qui a poussé la France à poser des actes illégaux pour contrer les actions du gouvernement AKE NGBOH !!

    Au final, la France a été obligée de déclencher une guerre, (à visage découvert quand cela se devait) pour contrer les actions du pouvoir GBAGBO, qui développait des solutions pour contourner le rouleau compresseur !! Il ne s’agissait pas d’émotions d’aigris ou de crabes, mais d’une véritable lutte républicaine pour survivre (un peu comme celle qui s’imposera à nous bientôt, si on entre dans la spirale de la dévaluation. Le destin est commun et non de faction !!)

    Mais bon…

    Les spécialistes qui ont planché sur la question de la monnaie vivent encore et sont soit dans le pays, soit en exil !!

    Débat clos ???

    Débat clos !!!

    Épilogue !!

  10. En pleine réminiscence du passé dont il est le prisonnier aigri le plus rigolo. Gueuler encore sur ce coup te donnera-t-il bonne mine ou raison ? Que NON. Ton développement pathétique de ces ordures ne changera rien à ce que je t’ai dit plus tôt. Donc, ouvre bien ta bouche et je vais te déverser cela encore une fois dans ta poubelle : “En fait, j’explique et ai expliqué ici que changer de monnaie selon LA LOGIQUE des idéologues refondateurs échoués et cancres qui pullulent sur ce site et ailleurs, serait équivalent à juste un changement de dénomination. BLANC BONNET. BONNET BLANC. Donc, mon point a toujours été qu’un changement de monnaie n’est pas juste un changement de dénomination, et que cela ne se fait pas basé sur ses émotions. Ouhhhhh….” Ce débat a été rouvert ici récemment dans ce pays avec les refondus aigris et rigolos de ta clique et assimilés avec certains allant jusqu’à parler de référendum.

    Retour plus haut. Tes balivernes n’y changeront rien. Et puis, c’est ton droit de t’abrutir avec ce que tu penses je je penses ou dit. Allez, vas-y ! Essaie encore. Quel idiot quand nous le disons.
    ——-
    Débat clos ?!??! Hum…Je ne savais pas que tes grands-parents propriétaires de ce site t’avait donné également le pouvoir ou capacité de CLORE UN DEBAT que tu ne fais que rouvrir. Vous avez dit I.D.I.O.T. ? L’aigreur te détruit vraiment petit a petit…

  11. Vous dites : « j’…ai expliqué…que changer de monnaie …. serait équivalent à juste un changement de dénomination. »

    Voici vos propos clairement repris dans cette assertion « reproduite » encore une fois par vous même !!

    Je n’invente rien !!

    Cette phrase précise clairement que le changement de « dénomination » est l’interprétation que vous faites de l’idéologie produite par des pro GBAGBO autour du changement de monnaie.

    C’est donc votre opinion et non leur propos !! Vos explications sur votre « interprétation » ont surement été rejetés par vos contradicteurs, car ils ne pensent pas comme vous !!

    Je vous lis et vous relis.

    Vos écrits sont têtus, mon cher ami !!

    Même si vous les copiez et collez mille fois, ils revêtiront exactement le même sens !!

    Quant au passé dont je serais prisonnier, il est rare de voir des personnes en liberté pénétrer dans la cellule d’un prisonnier et jeter la clé derrière eux !!

    Si ce débat est mâché pour vous, il faudrait le clore !!

    Si je ne le fais pas, vu que vous me refusez ce pouvoir, faites le donc et passons à autre chose !!

    A moins que vous vous plairiez dans ce bain nostalgique plus que le prisonnier « aigri » que je serais !!

    Épilogue !!

  12. Fais un tour aux archives si tu es si concerné par mes écrits pour voir ma position et explications sur ce sujet. Voyons, ne sois pas si fainéant ! Ton obsession quant à ma position est flattante. Je sais, je sais, je sais, tu es devenu un pro-Peace101/011, mais n’empêche, il faut savoir aller aux archives. Demande à tes parents, ils t’aideront dans ce domaine…

    Quand tu finiras, tu verras. Clore ?!? Moi. Non et non. Je n’ai rien ouvert pour clore quoi que ce soit. Si au fond de toi tu penses avoir ouvert quelque chose, alors clos cette chose ou….beh boucle-là !

    Quel idiot !

  13. Je suis concerné par vos écrits actuels et je m’en contente. Ils sont flagrants et ne peuvent être interprétés autrement !! Mon point est donc fait plus haut, en réaction !!

    Aller dans vos archives, là où vous m’invitez si craneusement et pompeusement, à répétition, à corps et à cris, là, c’aurait été de l’obsession (soit la mienne, soit la vôtre, selon l’angle de vue. Il faut savoir qui est demandeur et qui veut s’en passer) !!!

    Ce que je devais clore, je l’ai déjà fait, mais vous m’avez refusé le droit de le faire !!

    Maintenant vous m’autorisez à le faire !!

    Faut savoir ce que vous voulez à la fin !!

    Bon, débat clos !!

    Épilogue !!

  14. Okay?!? Tu ouvres, tu clos, rouvre et clos encore. Okay?!?!? Qui devrait savoir ce qu’il veut ? Ma position sur ce sujet est claire et connue.

  15. Oui, position connue !! Vous attaquez une thèse que vous même avez développée !!

    Épilogue !!

  16. Absolument pas ! Et ton nombril, si gros semble-t-il être dans ton « univers », je précise, ne changera cela. Ton avis d’aigri et de refondu échoué sur ma constance et consistence dans ma position sur cette question m’importe moins que peu. Ni hier, ni aujourd’hui. Ni demain !

  17. « j’…ai expliqué…que changer de monnaie …. serait équivalent à juste un changement de dénomination. »

    Personne ne parle de changement de dénomination !

    C’est vous qui en parlez !!

    Les experts qui ont travaillé sur se dossier existent encore !!

    Ma constance, ma position, je précise…

    Hummm ….

    Votre position est connue !! Oui !!

    Épilogue !!

  18. Bon, il n’y a pire sourd que celui qui refuse d’entendre. Il n’y a pire crétin que celui qui refuse de comprendre. C’est pourtant clair. La libido que tu ressens soudainement sur ce sujet ne rendra pas vrai tes imaginations sur ma position.

    Quel idiot !

  19. Vous dites : « il n’y a pire sourd que celui qui refuse d’entendre. Il n’y a pire crétin que celui qui refuse de comprendre. C’est pourtant clair. »

    Non mon cher ami, il faut juste lire la phrase par vous produite et qui dit tout :

    « j’…ai expliqué…que changer de monnaie …. serait équivalent à juste un changement de dénomination. »

    Le mot « équivalent » est facile à comprendre par tous.

    Il s’agit bien d’une interprétation de propos tenus par un autre !!

    Je n’imagine donc rien du tout, je vous lis !!

    Épilogue !! (Pourquoi diantre ai-je l’impression d’ insulter votre « intelligence », sans vous insulter, moi qui serait « crétin » et « idiot » ??)

  20. Si le penser satisfait cette libido soudaine de ta part sur ce ce sujet, crois-le autant que tu veux ! Je le repéterai bien encore. C’est plus clair que l’eau de roche. Et vlan…Essaie encore.

    Quel idiot !

  21. « crois-le autant que tu veux »

    Mais c’est ce que je fais.

    Je suis libre de le faire !!

    Et il n’y a pas de « libido » soudaine.

    Ce sont vos propos qui m’ont orienté jusqu’ici.

    Rien de plus !!

    Épilogue !!

  22. Et c’est ce que je dis. Tes émotions ont toujours raison de toi.. Courage….Rires…Rigolo…

  23. Ça serait une bonne décision pour l’économie, mais une mauvaise nouvelle pour le pouvoir d’achat des ivoiriens.

    Accessoirement cela augmenterait l’attrait pour les benguistes et autres V.I., du coup il y aurait encore plus de jeunes a aller crever dans le désert du Sahara ou dans la Méditerranée…..ce qui aurait pour effet collatéral de diminuer la pression démographique et le taux de chômage……oh qu’est ce que je peux être cynique parfois LOL

  24. IL serait de bon aloi de retranscrire en intégralité quand on veut se faire l’écho d’une note confidentialité
    Je vous republie l’article dite confidentielle:
    Lu pour vous
    Friday, 16th June 2017
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    home Économie, International DÉVALUATION : Le Franc CFA, ce que l’on redoutait est désormais sur la table de Macron
    DÉVALUATION : Le Franc CFA, ce que l’on redoutait est désormais sur la table de Macron
    By Ici Brazza Posted in Économie International Posted on 15 juin 2017
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    Franc CFA
    DÉVALUATION PROGRAMMÉE du Franc CFA
    Le Trésor français vient de communiquer au Président Emmanuel Macron un rapport sur la situation du franc CFA en relation avec le compte des opérations d’où il résulte qu’il faut conforter la division géographique de la zone CFA Afrique centrale et Afrique de l’ouest. Le président Macron a successivement reçu les présidents Alassane Ouattara et Macky Sall pour des entretiens à ce sujet. On se rappelle que la Directrice du FMI Madame Christine Lagarde était déjà venue au Cameroun en compagnie du ministre français de l’économie et des finances Michel Sapin pour entretenir les chefs d’états de la CEMAC sur une éventuelle dévaluation du franc CFA XAF. Il est désormais manifeste que cette dévaluation du franc CFA ne concerne pas le franc CFA XOF de l’UEMOA.
    Les conclusions des économistes du Trésor français sont précises que l’Afrique de l’ouest a mieux géré ses réserves monétaires dans le compte des opérations françaises que l’Afrique centrale. La première dévaluation du franc CFA était le fait de l’Afrique centrale et c’est pourquoi l’Afrique de l’Ouest ne veut plus le lien monétaire entre elles. Et notamment Monsieur le président Ouattara a bien géré ses devises en bon économiste, en important moins et en consommant plus les produits locaux. Car plus on importe plus on épuise ses réserves dans le compte des opérations. C’est le lieu de rappeler que la Cote d’Ivoire dispose de 40% des devises de toute l’UMOA et d’une balance commerciale excédentaire. Il est clair que l’Afrique de l’ouest cible avec bonheur ses importations alors que l’Afrique centrale importe tout en chine jusqu’à l’ail qui est pourtant produit localement. La conséquence est que les importations sont garanties par le compte des opérations en France, lequel compte est précisément destiné au paiement de nos dettes et de nos importations en devise.
    Il s’avère donc qu’en important tout, les pays de l’Afrique centrale ont épuisé rapidement leurs réserves dans le compte des opérations. A contrario, les pays de l’UMOA, pilotés par la Cote d’ivoire et le Sénégal ont encore des réserves dans leurs comptes des opérations.
    Face à cette situation, le président français Emmanuel MACRON a proposé aux présidents de Cote d’Ivoire et du Sénégal d’aider la zone CEMAC en leur faisant des avances de devises. Ce à quoi ces deux ont opposé une fin de non-recevoir au motif, dit le président Ouattara, que « chacun assume ses propres turpitudes » et qu’on ne demande pas aux uns (qui ont bien géré leurs devises) de venir au secours des autres (qui ont mal géré). Comme chacun sait la fourmi n’est pas prêteuse.
    Le trésor français face à cette situation a proposé au président Macron d’envisager la dévaluation du franc CFA XAF (de la CEMAC) au taux de 1 Euro = 1300 francs CFA XAF soit de 50% la valeur actuelle et de réévaluer le franc CFA XOF au taux de 1 Euro = 500 francs CFA XOF (de l’UMOA).
    Il est clair que cette situation déplorable est le résultat d’une gestion catastrophique de certains pays de la CEMAC qui impacte sur tous les autres. Les importations massives au préjudice des produits locaux dont la promotion n’a pas été assurée est, à n’en point douter, à l’origine de la dévaluation projetée.
    C’est pourquoi le Parti politique Les Patriotes (ancien PADDEC) demande instamment aux chefs d’Etats de la CEMAC de réduire les importations et les cantonner au strict nécessaire vital.
    Le parti politique Les Patriotes demande à la France, terre des droits de l’homme, de liberté et de justice, de faire une lecture attentive des accords de coopération monétaire qui lient la France aux pays de la CEMAC et notamment en ses articles 7 et 9 qui disposent que la France garantit la convertibilité illimitée du franc CFA. Ainsi la France en exécution de son obligation contractuelle doit injecter les devises dans les économies exsangues de l’Afrique centrale pour éviter la dévaluation projetée qui sera préjudiciable aux peuples africains.
    Par ailleurs, la France doit prendre toutes les dispositions pour que le Franc CFA redevienne une devise internationale, comme avant la dévaluation de 1994 intervenue en toute violation des accords de coopérations monétaires sus visés.

    À chacun sa lorgnette !!!

  25. mmuniquer au Président Emmanuel Macron un rapport sur la situation du franc CFA en relation avec le compte des opérations d’où il résulte qu’il faut conforter la division géographique de la zone CFA Afrique centrale et Afrique de l’ouest. Le président Macron a successivement reçu les présidents Alassane Ouattara et Macky Sall pour des entretiens à ce sujet. On se rappelle que la Directrice du FMI Madame Christine Lagarde était déjà venue au Cameroun en compagnie du ministre français de l’économie et des finances Michel Sapin pour entretenir les chefs d’états de la CEMAC sur une éventuelle dévaluation du franc CFA XAF. Il est désormais manifeste que cette dévaluation du franc CFA ne concerne pas le franc CFA XOF de l’UEMOA.
    Les conclusions des économistes du Trésor français sont précises que l’Afrique de l’ouest a mieux géré ses réserves monétaires dans le compte des opérations françaises que l’Afrique centrale. La première dévaluation du franc CFA était le fait de l’Afrique centrale et c’est pourquoi l’Afrique de l’Ouest ne veut plus le lien monétaire entre elles. Et notamment Monsieur le président Ouattara a bien géré ses devises en bon économiste, en important moins et en consommant plus les produits locaux. Car plus on importe plus on épuise ses réserves dans le compte des opérations. C’est le lieu de rappeler que la Cote d’Ivoire dispose de 40% des devises de toute l’UMOA et d’une balance commerciale excédentaire. Il est clair que l’Afrique de l’ouest cible avec bonheur ses importations alors que l’Afrique centrale importe tout en chine jusqu’à l’ail qui est pourtant produit localement. La conséquence est que les importations sont garanties par le compte des opérations en France, lequel compte est précisément destiné au paiement de nos dettes et de nos importations en devise.
    Il s’avère donc qu’en important tout, les pays de l’Afrique centrale ont épuisé rapidement leurs réserves dans le compte des opérations. A contrario, les pays de l’UMOA, pilotés par la Cote d’ivoire et le Sénégal ont encore des réserves dans leurs comptes des opérations.
    Face à cette situation, le président français Emmanuel MACRON a proposé aux présidents de Cote d’Ivoire et du Sénégal d’aider la zone CEMAC en leur faisant des avances de devises. Ce à quoi ces deux ont opposé une fin de non-recevoir au motif, dit le président Ouattara, que « chacun assume ses propres turpitudes » et qu’on ne demande pas aux uns (qui ont bien géré leurs devises) de venir au secours des autres (qui ont mal géré). Comme chacun sait la fourmi n’est pas prêteuse.
    Le trésor français face à cette situation a proposé au président Macron d’envisager la dévaluation du franc CFA XAF (de la CEMAC) au taux de 1 Euro = 1300 francs CFA XAF soit de 50% la valeur actuelle et de réévaluer le franc CFA XOF au taux de 1 Euro = 500 francs CFA XOF (de l’UMOA).
    Il est clair que cette situation déplorable est le résultat d’une gestion catastrophique de certains pays de la CEMAC qui impacte sur tous les autres. Les importations massives au préjudice des produits locaux dont la promotion n’a pas été assurée est, à n’en point douter, à l’origine de la dévaluation projetée.
    C’est pourquoi le Parti politique Les Patriotes (ancien PADDEC) demande instamment aux chefs d’Etats de la CEMAC de réduire les importations et les cantonner au strict nécessaire vital.
    Le parti politique Les Patriotes demande à la France, terre des droits de l’homme, de liberté et de justice, de faire une lecture attentive des accords de coopération monétaire qui lient la France aux pays de la CEMAC et notamment en ses articles 7 et 9 qui disposent que la France garantit la convertibilité illimitée du franc CFA. Ainsi la France en exécution de son obligation contractuelle doit injecter les devises dans les économies exsangues de l’Afrique centrale pour éviter la dévaluation projetée qui sera préjudiciable aux peuples africains.
    Par ailleurs, la France doit prendre toutes les dispositions pour que le Franc CFA redevienne une devise internationale, comme avant la dévaluation de 1994 intervenue en toute violation des accords de coopérations monétaires sus visés.

  26. Quel était le but au juste de trouver un nom à une monnaie pour un problème d’élections surtout que dans son programme électoral le régent comptait jouer les bons offices pour élargir le CFA aux états ghanéen et nigérian?

    Moi Mr moi Mr : c’était juste pour de la propagande comme l’avait fait un certain Mobutu en pleine période de crise politique.

    À chacun sa lorgnette !!!

  27. La question monétaire n’est pas émotionnelle en montrant ces dents fraîchement blanchies dans un cabinet dentaire quelque part en Afrique du Nord mais plutôt une bonne stratégie économique.
    Et les puristes vous diront que ce n’est pas la monnaie qui est le déterminant d’un développement économique.

    Tchrr….
    À chacun sa lorgnette !!!

  28. @quoi …

    « Quel était le but au juste de trouver un nom à une monnaie… »

    Je vois que vous buvez à la même source de propagande que votre ami !!

    Non, Il ne s’agissait pas banalement de « problème » d’élections, mais de conditions économiques et financières particulières, (validées par OUATTARA et son camp et au détriment de l’état et de tous les ivoiriens qui ne pouvait plus avoir accès à leur épargne et à leur salaire) issues des contraintes infligées par la France et tous ses soutiens monétaires à la république de Cote d’Ivoire.

    Le pouvoir GBAGBO, asphyxié de toute part, se devait de trouver une solution à cette situation en développant des mécanismes pour se financer, pour payer ses fonctionnaires et pour survivre tout simplement.

    Dans tout ceci, l’éventualité de changer de monnaie et e trouver un mécanisme pour la rendre viable a été émise, avec pour ce faire la convocation des plus grands spécialistes financiers dans le domaine, qui ont apporté leur contribution à la réflexion scientifique engagée et d’ailleurs discuté devant l’assemblé nationale !!

    Ces spécialistes sont d’ailleurs encore en activité sous ce régime OUATTARA, au service de ce pouvoir.

    Alors oui, penser qu’il ne s’agissait juste que d’un changement de nom, est une grosse connerie, mais vous êtes libre de le faire.

    Ce qui m’inquiète, c’est de voir que nous nous retrouvons implicitement dans la même situation et que de nombreux colloques financiers dans la sous région (notamment au Sénégal) se sont tenus avec pour thème l’adoption d’une monnaie régionale indépendante.

    Ce qui motive ces réflexions économiques et scientifiques est exactement identiques aux conditions qui ont provoqué ces réflexions ivoiriennes en 2011 : la main mise du trésor français sur la monnaie ivoirienne, la pression des organes monétaire comme le FMI sur la monnaie et les économies africaines, le jeu de pouvoir et d’influence entre les pôles économiques occident contre orient.

    Alors oui, on peut s’en amuser, se moquer, et parler de « changement de nom » comme vous le dites si bien, mais au fond, il s’agit d’une question fondamentale et cruciale, actuelle et républicaine, qui provoquera des approches et raisonnements, voire des actions qui seront en tout point similaires à celle que le gouvernement GBAGBO aura initié en 2011, dans l‘urgence et sous la pression.

    Quant au reste de vos assertions, elles sont valides. Le savoir autour des monnaies n’est pas caché ou réservé !!

    La monnaie est (aussi) le déterminant d’une activité économique, certes, mais c’est aussi un facteur de souveraineté !!

    Se sentir souverain est une émotion !!

    Quant on dépend des autres, on n’est pas souverain !! Et quand les autres vous écrasent à travers votre monnaie, encore moins !!

    On verra ce que OUATTARA fera, se coucher ou négocier ??

    Que dis votre lorgnette ??

    Épilogue !!

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