« Je ne vois pas pourquoi moi, (…) [je] devrais être trimbalé à la CPI », lance Soro Guillaume, dans une interview accordée au journal Le Monde.
Pour l’ancien rebelle, « ce serait d’une incohérence et d’une conséquence inégalée » d’être transféré à la CPI après avoir agi dans le sens de la communauté internationale. L’actuel président du Parlement ivoirien reconnait qu’il y a eu des violences, « mais celles-ci ne sont pas suffisantes pour être envoyé à La Haye », assure-t-il.
Texte: Ivoirejustice
Photo: Thierry Charlier/AP
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