Côte-d’Ivoire réforme de la CEI, le gouvernement répond à l’opposition: « L’Arrêt de la Cour africaine revêt un caractère déclaratoire »

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Le gouvernement ivoirien a répondu dans la déclaration ici-bas à son opposition qui exigeait l’application des reformes indiquées dans un Arrêt rendu par la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, le 18 novembre 2016.

L’Arrêt de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples revêt un caractère déclaratoire * Pas nécessaire de conditionner l’organisation d’élections à l’exécution de cet arrêt.

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4 réflexions au sujet de “Côte-d’Ivoire réforme de la CEI, le gouvernement répond à l’opposition: « L’Arrêt de la Cour africaine revêt un caractère déclaratoire »”

  1. Ben voila !!

    En clair, tout ce que la cour Africaine jugera, ce ne seront que des déclarations produite en l’air !!

    BRAVO pour l’acrobatie !!

    On en prend acte !!

    Pop !!

  2. Quand je pense que c’est sur un avis « déclaratoire » du panel de haut niveau de l’UA que nos mêmes hommes du rhdp ont trouvé la légitimité pour bombarder et attaquer Laurent Gbagbo.

    Quelqu’un (actuellement dans un asile quelque part à bingerville kiakiakia) me disait que ce n’est pas la CEI qui fait gagner une élection. Dans ce cas on assiste à une sorcellerie politique.

    Je comprend que de part et d’autre on est dans une posture politique voire politicienne. Mais ceux qui ont les manettes décisionnelles en main doivent nous épargner l’imprévisible.

    Je rappelle que chaque fois qu’il y a un blocage politique ou une surenchère politique c’est la population qui en fait les frais.

  3. Du TRÈS GRAND n’importe quoi !

    – Comment un arrêt « Obligatoire » peut présenter à vos yeux un caractère « Déclaratoire » ?

    – « En tout état de cause, les réformes institutionnelles induites par la Constitution du 08 novembre 2016, entreprises pour rendre toutes les lois organiques et ordinaires actuelles conformes à cette Loi fondamentale (…) ». On croit rêver là. On se rappelle les cris d’orfraies du groupuscule rebelle qui, au passage, a traité Gbagbo de boulanger quand ce dernier affirmait que certains accords se heurtaient à la réalité constitutionnelle, Loi fondamentale qui se saurait être assujettie à des accords entre copains et coquins.

    – « C’est pourquoi, il ne me paraît pas nécessaire de conditionner l’organisation des futures échéances électorales à l’exécution de l’arrêt de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des peuples susvisé ». Et puis quoi encore ! L’arrêt de la Cour Africaine vous a donné 1 (un) an, délai échu depuis longtemps pour procéder à la refonte de la CEI. Sans oublier que son président est forclos depuis 2006, soit 2 (deux) ans ! Bande de faux-jetons ! Vos petits tours de djinamori pour faire du namara en direct live ne prospèrent plus ; on a tous vu dans le ventre de la pile.

    Quand je parlais de PECALL (Politicien En Conflit Avec La Loi), vous pouvez en juger sur pièce. L’habitude ne date pas d’aujourd’hui. Et c’est Ahoussou, cadre du PDCI, parti qui milite pour une refonte de la CEI et un re-découpage électoral, qui est envoyé au front pondre cette bouse. Oh Honte !

  4. Ils continuent de mettre le peuple en colère .

    Les nombreux décrets signés par Ouattara Dramane n’ont jamais été des « Déclaratoires ».

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