Protestation de l’ancien président gabonais contre les conditions de détention de sa femme Sylvia et de leur fils aîné, Noureddin Bongo-Valentin, dauphin déchu.
Ses conseils ont déposé plainte en France pour « séquestration aggravée par des actes de torture et de barbarie ».
Depuis sa résidence de La Sablière, privé de ses mouvements et de ses moyens de communication, c’est par la voix de ses conseils français qu’Ali Bongo Ondimba a annoncé le début d’une grève de la faim « pour protester contre la séquestration et les actes de torture et de barbarie infligés à [sa] famille », le 14 mai.
Ses deux fils Bilal et Jalil, eux aussi sont assignés à la villa privée…
La fin de l’article dans Jeune-Afrique
Jeanne Le Bihan
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