*-Chronique «Kouma» changer notre pays, un mal sociétal non diagnostiqué se gangrène et pourri le corps social

(EXTRAIT DE LA CHRONIQUE du 31/03/24. De Lepetitfils Da Candy LC_CRS)

Bon ! En prélude de l’élection présidentielle de 2025, la danse des diables et des sorciers à commencer en côte d’ivoire, le ton est donné, bien saupoudré dans les presses écrites ivoiriennes supports des voix politiciennes. Oui, avant la compétition le candidat R?DP est dit « à roue libre et imbattable » pour les uns, et pour d’autres, « a dix-huit (18) mois de la présidentielle de 2025, Alassane Ouattara met K.O ses adversaires et gouvernera la côte d’ivoire encore jusqu’en 2030, n’en déplaise à l’opposition », ce qui est dit, est dit . C’est une sincérité absolue, quand on tient compte du cadre électorale, donc, une sincérité qui cache une autre sincérité, celles du serpent a sonnette R?DP, la morsure mortelle à venir est évidente, aux yeux de ce rapport certes professionnaliste, « journalistique » est livré de façon martial par des initiées, donc, rien à faire, c’est géré, c’est calé et c’est bouclé. La présidentielle de 2025 se trouve désormais dans le coffre présidentielle de Ouattara. Bon ! Pour notre part, nous répétons nos grands-mères au village en disant ici, SAFROULAYE ! Donc, il est clair et net que, la Côte d’Ivoire hallucinée, ira encore aux élections en 2025, ignorant tout du cauchemar auquel ces élections vont donner naissance. Un cauchemar qui va encore sans doute hanter bien des nuits à venir des ivoiriens et la LC_CRS. La LC_CRS ne serait jamais complice d’un système qui retire au peuple et aux citoyens, ce qui les revient de droit, la part de leurs destins communs, qu’ils peuvent maîtriser sans eux, les hommes politiques porteurs de crises sociales.
La LC_CRS ne composerait jamais avec un système électoral, d’une certaine race d’hommes politiques assoiffé de pouvoir absolu, Adorateur de Dieu l’argent, et fous de notoriété sociopolitique. Notre but a la LC-CRS n’est pas, et n’a jamais été d’arriver au pouvoir à tous les prix, par tous les moyens, à toutes les conditions, ou d’être dans une équipe dirigeante à tous prix, sinon dans un cercle ou proche d’un pouvoir à tous les prix, Non ! Nous somme a la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique, dans notre pays, conscient que nous sommes, que ceci acquit, tout le reste suivra, avec la paix électorale et l’acceptation des différences. Oui, ici, puisque le Gong de Ring a sonné avant l’heure, nous disons qu’à défaut d’un système électoral qui offre les mêmes chances à tous. Donc, capable de déclaré la défaite du tenant du pouvoir d’état avec ses moins de 20%, maintes fois exprimé depuis 2010 « bouclé, calé et géré » de l’électorat total, au terme d’une compétition, ou les citoyens-candidats partent sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, oui, à défaut, citoyen ! Redisons-le, la LC_CRS ne serait jamais complice d’un système qui retire au peuple électeur, ce qui le revient de droit, la part de son destin, qu’il peut maîtriser sans les porteurs de politiques de crise. Oui, là il y a une ligne rouge à ne pas franchir.

*- Les droits mis à zéro n’est Possible que si un coup de force a fait table rase, du système institutionnel existant.
Or la pauvre côte d’ivoire ira encore aux élections de 2025, avec DES candidats a mandatures illimitées qui cumulent des postes électifs tous confondues, « mandat législatif des deux chambres illimité, mandant municipales illimité, mandat conseils-régional illimité, mandat de gouverneur illimité », et surtout des candidats enquêtent de quatrième mandat présidentiel illimité par la mise à ZER0, déjà déclaré vainqueur imbattable. Elle ira à ces élections «la pauvre côte d’ivoire», en 2025 surement sans des potentiels candidats en exil extérieur, ou contraint à l’exil extérieur « dégouté, souvent avec le dossard perpète », condamné à la prison à perpétuité pour « atteinte à la sûreté de l’État », peine soutenu par la confiscation des biens pour les uns. Et pour d’autres « potentiels candidats » des condamnations judiciaires par défauts inscrites dans les casiers judiciaires, avec privations de droits civiques et politiques, qui sous-tend l’absence sur les listes électorales par effets judiciaires, donc, écarté de fait de la course électorale de 2025. Donc, des condamnions contre des pesants-acteurs, poids lourd politiques des élections à venir, qui de par leurs poids électoral peuvent changés les résultats des élections dans les urnes de votes, « si des gentlemen ivoirien ne vienne pas perturber la fête électorale avec la sortie dans les urnes des crabes poilues ». Donc, des condamnations qui serviront d’intimidation, de dissuasion de toutes revendications de droits civils et politiques. Parce que la Gestapo ivoirienne et les sicaires de la république seront aux trousses du peuple libre pour le rappeler les conséquences judiciaires d’une condamnation judiciaires par défaut, ce qui sent le « TROU » la prison ouvert.

Donc, pour nous a la LC_CRS, question : Quel avenir pour cette côte d’ivoire jetée aux orties par une nouvelle ploutocratie inhumaines, jetée aux affres les plus monstrueuses de l’épreuve de force politico-électorale et/ou des arrestations arbitraires. Cela au Nom des élections « supposées être fête populaire des peuples libres civilisés ». Bon ! Parlons-en, un quatrième mandat après la consommation totale et définitive, d’un délai de rigueur prescrit de deux (2) mandats constitutionnels, légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne source des deux (2) mandats consommé, et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels limité toujours à deux (2) mandats constitutionnels. « Mais, cette fois le troisième devient le premier et le quatrième le deuxième ». Cela en soutenant péremptoirement que le compteur des mandats consommés est remis à zéro. Cela peut paraitre aujourd’hui comme un débat dépassé, sinon peut paraitre « légal » si on se tient ou se limite au troisième « devenu premier mandat » qui ouvre sur un deuxième mandat qui veut que le quatrième mandat soit « devenu deuxième mandat ».

*- Les droits mis à zéro n’est imposable que si un coup de force a fait table rase, du système institutionnel existant.
A regarder à la lunette du droit international public coutumier, nous avons trouvé cela, ridicule et insensé. Parce qu’on ne peut pas faire table rase du droit préexistant consommé, de l’éligibilité à la présidence de la république avec un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, légalement consommé, sous l’empire d’une constitution dite ancienne «mis sous-sol» et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels initialement consommé par un citoyen/individu, qui revendique que ce droit consommé est mis à ZERO, en faisant table rase du passé, Non ! Ce n’est pas juridiquement explicable par la meilleure élucubration judiciaire du monde, Non ! Et ce n’est pas compréhensible non plus, en droit international coutumier, Non ! Et ce n’est pas soutenable par une argumentation audible et intelligible, en droit international des droits civils et politiques, Non ! Ceci n’est pas possible, ni en politique, ni en droit. Non ! C’est juridiquement impossible ! C’est socialement incohérent ! Mais seulement, par extraordinaire ou par exception « qui est le contraire du droit », ceci serait seulement possible si, un acte quel qu’il soit, avait entièrement fait table rase, du système institutionnel existant , en pulvérisant l’ordre juridique préexistant, en anéantissant et balayant toute les institutions républicaines sur son passage (Constitution, institutions, gouvernants, par voie de conséquence, président de la République » qui tire leurs légalité existentielle de la Constitution ancienne balayée « ce qui est par nature un coup de force, un coup d’état dans tous les sens».

En l’absence de cette infraction criminelle assujettissante, briseur de souveraineté, on ne peut nullement revendiquer la mise à ZERO des compteurs de droits définitivement consommés. Et effacer l’origine juridique des institutions et les effets de la norme ancienne, en prétendant paradoxalement rester dans une logique de continuité juridique de l’état, Non ! Cela en faisant fi d’ignorer, que la norme juridique nouvelle ne peut effacer les effets juridiques, qui se sont produit sous l’empire de la norme juridique ancienne. Qu’on ne peut pas effacer les actes consommés sous l’emprise d’une prescription juridique ancienne, par les effets juridiques d’une prescription nouvelle. Sinon n’importe quelle prescription impérative pourrait être remise en cause dans le temps par une nouvelle prescription par rétroactivité. Et n’importe quel agissement, pourtant régulier et totalement consommer pourrait être remis en cause par une nouvelle norme juridique. Un droit positif de votation politique, à délai de rigueur consommé par le détenteur, est un droit anéanti à jamais, un droit soldé a jamais, un droit périmé a jamais, d’où le détenteur qui a consommer ses droits n’a aucune possibilité de s’en revendiquer. Même si ici le bon sens vous sommera que cette polémique, certes d’impair judiciaire est définitivement soldée par le 1er 3e mandat qui ouvre sur un 2e 4e mandat. Mais n’empêche les grandes sociétés s’appui sur le passé pour construire un avenir.

*- Ex-Afrique occidentale française, il y a matière à aller se référé aux sages du conseil constitutionnel Français.
Donc, un quatrième mandat en 2025, ne serait certes que formalité, qui découle du troisième mandat de 2020. Mais elle serait sans racine de Droit réel et sans substrat juridique défendable et légale. Ici, les faits « jurisprudence » qui plaident pour ceux, ci-dessus mentionnés sont lésion. Notons qu’en France, après la modification constitutionnelle qui a réduit la mandature du septennat au quinquennat, Jacques Chirac élu président de la République française en 1995 pour un mandat de sept (7) ans, Mandat marquées sur le plan institutionnel par le raccourcissement du mandat présidentiel à (5) ans, Jacques Chirac a été réélu en 2002 pour cinq (5) ans, après une modification constitutionnelle, d’inspiration chiraquienne. Mais Chirac n’a jamais revendiqué un troisième mandat après un seul mandat de la mandature nouvelle du quinquennat. En côte d’ivoire on nous afflige d’argument soporifiques que la constitution de 2016 à mis les compteurs du droit positif qui prescrit la limitation de mandats a 2 constitutionnels à Zéro. Qui ouvre sur un nouveau droit positif prescrit qui anéanti par rétroactivité le droit consommé au titre de la prescription du droit positif antérieur, que par conséquent donne Droit, de briguer deux (2) autres mandats de cinq (5) ans, un troisièmes puis un quatrième, les deux (2) premier ne comptant plus parce que mis à ZERO. (SIC)…

Or « pour exemple » la constitution Française avait déjà été réformée à dix-neuf reprises depuis 1958 a l’arrivée au pouvoir de Jacques Chirac, mais aucun président de la république Française n’a oser parler de la mise à zéro des compteurs de limitations des mandatures à deux (2) constitutionnels, qui a pourtant oscillé entre septennat et quinquennat. Et depuis 1958, la France, la Mère patrie, est sous la cinquième république «régime présidentielle» malgré sa kyrielle de modifications constitutionnelles, aucun pouvoir de Gauche ou de Droite, n’à oser donner le nom de sixième république, à une modification constitutionnelle. Donc, pourquoi, a l’avènement controuvée d’un bidonnage de texte, quel que soit, son caractère symbolique voulu par ses initiateurs, mais, qui ne modifie en Rien l’architecture institutionnel d’un régime présidentiel, la côte d’ivoire qui depuis 1960 est sous le régime présidentiel hérité de la France, doit-elle arriver à une troisième république, qui se subordonne tous les droits, « sans mentions expresse ou mentions exceptionnelle mais par simple déduction judiciaire interprétative », en mettant le compteur des droits à Zéro et les droits de mandatures limités à 2, anéantis, tout en maintenant la continuité de l’architecture du régime présidentiel avec institutions vermoulues Non ! «Ça ne coche pas comme Rome, ce n’est pas catholique». Il convient pour un Ex-Africain occidental français d’aller se référé aux sages du conseil constitutionnel Français.

Oui, au surplus de la question de la mise à ZERO des compteurs des droits a délai de rigueur, convenons-en, qu’une Constitution n’est pas une norme de loi ordinaire. C’est la loi des lois, c’est un acte solennel par lequel une société déclare les principes de droit qui la fonde, qui la rassemblent et qui l’organisent. Ce texte-là, ne peut être changé aussi facilement qu’une loi ordinaire. Il faut une procédure particulière, consensuelle, d’intérêt public, plus solennelle, plus exigeante, qui corresponde à la qualité de l’acte à modifier et qui cadre à l’extrême perfection avec la volonté du peuple souverain et les intérêts de la totalité sociale. Donc, dès lors, il faut une procédure normale d’intérêt public, d’intérêt général, débarrassé des intérêts politiciens. Cette nouvelle norme doit être rédigée par une assemblée constituante élue à cette fin unique. (Ce qui est en droit internationale coutumier plus légale et plus légitime que la rédaction unilatérale commandité par le pouvoir exécutif, qui certes peut s’avérer plus rapide « Là où on a nullement besoin de course contre la montre » Mais dont irréfragable-ment la légalité juridique conforme au droit et la légitimité populaire conforme à la volonté du peuple souverain, prête à caution, en raison de la possible utilisation de la nouvelle norme dans l’unique objectif de faire légitimer le dessein de domination sociopolitique de l’exécutif commanditaire), donc, une assemblée constituante élue ou des commissions spécialisées étudient des propositions « venu du bas vers le haut » qui sont ensuite discutées et adoptées en séance plénière. Le mandat de l’assemblée constituante cesse dès qu’elle a adopté le texte, à soumettre à la votation politique référendaire. L’ordre international, la paix national et la paix international en dépend. Mais ici, il y a quelque chose qui ne va pas du tout.

*- L’avenir, est déjà décidé sans nous, sans notre droit de regard, par des puissances économiques et financières.
Oui, rappelons-nous, avant de parler des élections de 2025, que les crises électorale sciemment entretenue qui troublent l’ordre social, ont conduit des milliers de personnes a la mort chez nous en côte d’ivoire, ou la logique de mettre les compteurs de droits a ZER0 appliquée, se trouve désormais dans les discours des hommes politiques Africains, d’autres pour s’en plaindre, et d’autres pour y adhérer comme jurisprudence constitutionnelle. Ce qui met incontestablement la paix internationale a danger, surtout en Afrique Noire, détentrice des leviers de forcing ou coup de force, qui mettent les compteurs de droits à ZERO. Or, de toute évidence, on n’a pas besoin de chercher longtemps des arguments pour appuyer l’idée que le fait de préparer et de mener une société a une crise est, au point de vue moral, le pire des crimes imprescriptibles, contre l’humanité et contre la paix. Ici la question n’est pas de savoir comment rendre les crises électorales impossibles, mais comment des actions politiques, fondée sur les droits civils et politiques universels et les règles démocratiques coutumières que l’humanité s’est donné, pèseront dans la balance pour préserver désormais la paix, et pour permettre aux hommes et aux femmes de bonne volonté de vivre les élections libres et sous la protection des mêmes normes juridiques de régulations sociopolitiques.

Le droit internationale coutumier est intransgressible et irréfragable quant à la gouvernance d’un état républicain de droit. Ici, le contrôle systémique de la souveraineté populaire du peuple et sa volonté populaire électorale doit échapper totalement à un pouvoir d’état. Souvent lequel même est fondamentalement opposé par abus à ce que la souveraineté populaire appartient au peuple souverain. Il y a certains pays d’Afrique notre destin commun, qui donnent de très bons xemple en la matiere: «qui ont agencés douze (12) présidentielles au suffrage universel, avec trois (3) Alternance sans accroc, dont une (1) dès le premier tour, et surtout zéro coup d’état depuis l’indépendance en 1960, voici ce qui devrait être enviable en Afrique. Donc, il est question pour nous « ivoiriens » d’ouvrir largement le jeu électoral sans réserve, avec une commission électorale qui rassure tout le monde « politiques et citoyens » et de mettre une fois pour toute, notre pays sur les rails de la démocratie, dans le respect du droit universel, des libertés, de la stabilité politique et de la paix sociale pérenne. Sans casse, ni cassure, ni GbanGban ! D’où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Citoyen ! Au premier coup de Gong du Ring visqueux des politicards effrénés nous avons Kouma malgré nous. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir, droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

UN EXTRAIT DE LA TRIBUNE. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Commentaires Facebook

1 réflexion au sujet de « *-Chronique «Kouma» changer notre pays, un mal sociétal non diagnostiqué se gangrène et pourri le corps social »

  1. Je rigole quand j’entends dire droit international ? Quel droit international ? L’auteur de cette pièce vit-il sur cette planète ? Eh bêh, cher leader de Leadership Citoyenne, êtes-vous suffisamment aveugle ou de mauvaise foi pour ne pas voir ou comprendre les deux poids deux mesures qui abondent dans le concert des nations ? Je ne perdrai aucune seconde à rentrer dans quelque détail que ce soit car c’est tellement évident si vous descendez juste 30 secondes de votre petite tour d’ivoire “intellectuelle” avec les cas palestiniens, ukrainien, russe, nations unies, congolais (est) et j’en passe. Le droit international et/ou justice internationale sont à géométrie variable dépendant de votre bord ou obédience, voire même histoire.

    De deux, puisque vous ne jurez que par le droit vous devez savoir qu’une nouvelle république n’est une continuité constitutionnelle que lorsqu’elle mentionne la précédente explicitement. Sans cela, c’est une RUPTURE. En effet, quand ce n’est pas le cas, alors les nouvelles dispositions détrônént les anciennes. Pourquoi Bédié (paix à son âme) était-il éligible en 2020 alors qu’il etait frappé par la limite d’âge de la précédente constitution ? Pourquoi pensez-vous que le sieur Koudou a-t-il accepté d’être le futur candidat des membres de sa confrérie en 2025 ? C’est à cause de la nouvelle constitution sinon il est également frappé par la limite d’âge de la constitution précédente. Quand on porte le chapeau de légaliste et passionné de justice ou droit alors pourquoi vouloir d’un
    côté Koudou soit candidat en applicant le principe sacro-saint de nouvelle constitution donc nouvelle république donc nouveau départ, et de autre côté le refuser à Ouattara ? Arrêtons d’être ridicule à ce point et manquer criardement de rigueur scientifique.

    De trois, allez faire un tour en Allemagne, la première puissance européenne, et vous verrez qu’il n’y a pas de limites. Chez nous, il y a une limite et il y a eu référendum constitutionnel où le OUI a brillamment gagné. Ça aussi c’est la démocratie et le droit. Ne restez pas dans vos petites tours à boycotter ou ne pas battre campagne pour le NON et convaincre les populations pour après proférer des boutades d’amateurs de militants d’opposition ou frontistes et distraire la doxa.

    Personnellement, en tant qu’observateur, je souhaiterais une nouvelle génération aux affaires. Mais cela ne signifie pas que Ouattara est inéligible. C’est sa décision discrétionnaire à lui. Ce n’est pas parce que je souhaite que mon voisin change la couleur de son portail que je peux ne pas aimer qu’il doit le faire ou viole la loi.

Laisser un commentaire