La Russie a annoncé ce lundi avoir entamé une procédure pénale contre la Cour pénale internationale (CPI) basée à La Haye au Pays-Bas.
La procédure pénale vise les juges de la CPI. La décision fait suite au mandat d’arrêt de la CPI contre le président Poutine.
La commission d’enquête russe sur les crimes graves a déclaré qu’il n’y avait « aucune raison » de poursuivre Poutine.
De plus, le président russe bénéficie d’une immunité totale en tant que chef de l’État. Internationales ».
Depuis vendredi, la CPI a émis un mandat d’arrêt «fantaisiste» sur demande de certains pays occidentaux, contre Poutine pour «présumés» crimes de guerre en Ukraine.
La CPI a avancé une «présumée» déportation d’enfants ukrainiens vers la Russie comme principale raison.
Pour de nombreux spécialistes en Droit pénal international, cette dernière sortie «sur commande» de la CPI qui, en retour a reçu plus de 5 millions d’euros supplémentaires de pays occidentaux, signe le début de la fin de ce tribunal téléguidé par l’UE et ses alliés.
Dmitri Medvedev, vice-président du Conseil de sécurité russe après Poutine, a fait allusion ce weekend à une attaque au missile hypersonique [indétectable par les radars actuels] contre la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye sur Telegram.
« Il est tout à fait concevable qu’un missile hypersonique tiré d’un navire russe en mer du nord soit utilisé pour un bombardement stratégique du tribunal de La Haye », écrit Medvedev, qui a été président de la Russie de 2008 à 2012.
En 2002, les États-Unis avaient adopté une loi spéciale pour protéger leurs ressortissants contre les poursuites de la CPI. Appelée The Hague Invasion Act, cette loi toujours en vigueur, autorise le président américain à utiliser des moyens militaires pour libérer des suspects américains détenus à La Haye, éventuellement par la force en envahissant la ville hollandaise.
AGD
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