Culte d’action de Grâce à l’église évangélique Réveil international, dirigée par le Pasteur Kpan Réné
Simone EHIVET GBAGBO :
«Je voudrais remercier le Pasteur Kpan qui me donne l’opportunité d’exprimer ma reconnaissance en Dieu. Ma libération est un Miracle de Dieu, j’avais le cœur très chargé en prison à Odienné, et lors d’une de mes séances de prière, je réclamais vengeance de la part de Dieu, pour tout le mal et l’injustice subis et Dieu m’a répondu que je ne devrais pas lui demander une telle chose car il est un DIEU qui pardonne. DIEU est Pardon, et comme je suis sa fille alors j’ai décidé de pardonner, comme Lui.»
COMSEG
>DIEU est Pardon, et comme je suis sa fille
Et c’est reparti pour un tour, dans la névrose et l’hystérie exaltée. D’abord, la foi est une affaire personnelle, individuelle et privée. Ensuite, notre République n’a pas vocation à devenir ni chrétienne, ni musulmane, ni bouddhiste, ni animiste, les Constitutions successives ayant bien pris le soin de décrire la Côte d’Ivoire comme Etat laïque.
Simone nous livre ici un échantillon de cette exaltation qui les habitait son époux et elle aux heures où s’amoncelaient les nuages dans le ciel : plutôt que de préparer la défense du pays, nantir l’armée et nommer les officiers qu’il faut à la place des généraux (vendus) décorés comme des sapins, non. On a organisée des bêlées (pardon, veillées) jusqu’au matin et s’en remettre à des prophéties sorties d’esprits aussi agités que les leurs. Finalement, le camp rebelle a démontré sa propre incompétence en devant compter sur la France et l’ONU, face à un camp qui a refusé toute approche cartésienne dans une confrontation armée. Le résultat a été sans surprise, Dieu ayant sincèrement mieux et plus important à faire dans un univers comptant des milliards et des milliards de galaxies. Nous sommes tous habités par la foi, mais quand elle rend aveugle, ça devient autre chose.
Félicitons-la en attendant d’avoir choisi le pardon plutôt que la vengeance, c’est un acte qui grandit. Un acte de bon sens qui n’a pas à être inspiré par autre chose que le sens aigu des responsabilités, dans un pays qui a tout à gagner à se réconcilier.
@ ndja coigny
On ne va pas refaire l histoire de ce pays .
La Simone qui dit choisir le pardon à la vengeance a t elle le choix?
Elle sait que des propos incendiaires la conduira à la case prison.
Le DAO il blague pas .
Chaque fois que vous parlez de la prise de l agouti de mama vous dites les français ont fait L onu a fait !!!!!
Soit :
Seplou n avait il pas d allié dans ce conflit ? ( libériens angolais sud africains biélorusses Et j en passe)
Même dans le choix des alliés le fils MARAKA a été médiocre.
Simone peux encore attendre les anges à eux promis par Mal à chier.
République avance
Si ce farfelu de @didiga pense que Simone a peur de la prison bah il se trompe lourdement. Et puis, il ne faut pas croire que ce cher Dramane avait lui aussi vraiment le choix.
@fran6
pendant 7 ans la CUNEGONDE a été trimbalé d odienné a agban .
vos gueules étaient fermés .
l autre fait un geste de magnanimité et comme a vos habitudes vous roucoulez .
allez y demandez a SIMONE de libérer GUEI ET SA FAMILLE
Qu’est-ce qui arrive à Madame Ehivet Gbagbo? Ses disciples, sans doute des niais, croient qu’elle est atteinte par la grâce, disons divine pour être modéré, là où la raison distingue une forme de délire que l’on rencontre en général chez les illuminé(e)s.
Ceux qui ont trouvé injustes les humiliations physiques et morales qu’elle a subies dans ce qu’elle a de digne en tant que femme ; et qui a révolté leurs consciences, ne peuvent qu’être déçus par la prosélyte qu’elle est devenue.
Ceux qui, pour dénoncer son incarcération à tort, ont battu les pavés, écrit pour dénoncer le régime sanguinaire qui l’avait embastillée sont malheureux de la primauté qu’elle accorde à la dévotion.
La voici guidée par une dévotion sans borne. Elle se trouve dans une forme de théâtralisation où elle use de Dieu comme un accessoire pour mieux jouer son rôle de comédienne d’une pièce, qui a été écrite spécialement pour elle, avant sa libération.
Il suffit d’ouvrir un journal pour la découvrir, dans telle ou telle église, louant, chantant, dansant à la gloire de sa libération grâce à Dieu.
Or, sa libération n’est pas due à ce qu’elle croit. Elle est le résultat des efforts conjugué des diplomates et du harcèlement sans cesse renouvelé des soutiens de Dramane Alassane.
Ce harcèlement a permis de mettre en évidence (à nue) l’incapacité de leur serviteur à instaurer des conditions d’une cohésion nationale pour une paix durable en Côte d’Ivoire.
Les employeurs du régime ont donc été conduits à imposer à leur faire valoir, la libération de Mme Gbagbo. Il n’avait pas de choix au risque d’y perdre l’octroi des crédits qui maintiennent son régime,ou même la perte du trône sur lequel il a été placé.
Sortie de l’enfer, si c’était ailleurs, quand des otages sont libérés, ils sont dirigés vers des centres où ils sont examinés et suivis par des médecins, psy et autres pour qu’ils s’acclimatent et soient mis au parfum pour leur éviter des déclarations insensées, genre l’Ange Gabriel m’a sauvé des mains de mes ravisseurs…
Le passé apparemment n’a pas servi de leçon. La surenchère de l’absurde qui prévalait quand le pays a été attaqué, est encore plus vivace aujourd’hui.
Au lieu d’organiser la défense de la République, une clique d’individus, illuminés, encadrée à l’époque par un parvenu du nom de Malachie, Maladie ou Malédiction, autoproclamé prophète, a endormi les ivoiriens.
Les armées de l’éternel encore plus puissantes allaient libérer le pays et combattre les voyous rebelles.
Quelle hérésie !