C’était jour de retrouvailles le lundi 24 septembre au domicile de l’ex-première dame Simone Ehivet Gbagbo pour les anciens détenus de la crise postélectorale libérés par l’ordonnance d’amnistie du 06 août dernier du chef de l’Etat Alassane Ouattara.
Ces anciens détenus qui ont vécu pour la plupart jusqu’à sept années d’incarcération parfois sans même passer devant un juge d’instruction ont eu la même expérience carcérale : conditions difficiles, mauvaise qualité de vie, santé dégradée, perte de travail, familles disloquées, enfants déscolarisés, perte de papiers administratifs et même la mort pour certains.
Pour Simone Gbagbo, ces conditions de vie qui sont certes désormais lointaines ont été assez éprouvantes. Raison pour laquelle, elle a annoncé trois actions sociales à compter du mardi 25 septembre. Des consultations médicales pour savoir l’état de santé des ex-détenus dès le 25 septembre et sur 3 jours. Une aide pour l’établissement des documents administratifs et enfin un soutien scolaire par la distribution de kits scolaires pour soulager parents d’élèves CP1 au CM2 en cette période de rentrée scolaire.
L’ancienne première dame qui a aussi bénéficié de l’ordonnance d’amnistie du 06 août soutient qu’au-delà de la symbolique, ces actions sociales doivent marquer un nouveau départ pour tous ceux qui sont sortis de prison.
« Ces actions doivent marquer le début de la restauration pour chacun d’entre nous. Mieux, une ère de paix, de pardon et de réconciliation. J’insiste beaucoup sur le pardon car c’est le premier remède pour sortir de ce traumatisme vécu, des humiliations subies et vécues dans notre chair. Appeler à la réconciliation, c’est de prendre le dessus sur le traumatisme (…) et il est indispensable d’être guéri de notre traumatisme si nous voulons reprendre notre place dans la société. Pardonnez aux autres, tendre la main parce que nous avons un pays à sauver. Nous devons renoncer à la rancune et aux aigreurs. Et c’est parce que ce n’est pas facile que nous en parlons. Mais c’est un chemin qui est incontournable. Ce ne sont pas des discours politiciens mais c’est la seule façon de sauver le pays. Je vous fatiguerai là-dessus (la réconciliation). Parce qu’il faut que le FPI prenne les devants de la réconciliation. C’est un défi et ils sont très nombreux », a appuyé Simone Gbagbo.
Le secrétariat général adjoint du FPI chargé des affaires pénitentiaires et des prisonniers politiques dirigé par Michel Gbagbo ; L’Association des femmes et familles des détenus d’opinion de Côte d’Ivoire (AFFDO CI) de Désiré Douati et le Collectif des femmes et enfants des détenus politiques (COFED) de Simone Datté étaient les chevilles ouvrières de la journée de lancement des actions sociales de la première dame Simone Gbagbo.
A ce jour, ce sont près de 232 détenus qui ont été recensés par le FPI dont 197 libérés par l’ordonnance du 06 août 2018. Il reste à ce jour 35 détenus (des militaires pour la plupart) encore sous les geôles dont 28 en Côte d’Ivoire et 7 au Libéria. Il y a eu 9 décès en détention et une quinzaine après leur sortie de prison.
F. Ouraga, correspondance particulière
Je loue votre hauteur madame Simone Gbagbo, parce que j’imagine combien cela doit être difficile. Souvenons-nous que des déserteurs de l’armée ivoirienne se sont entraînées des mois au Burkina Faso avec pour photo de chevet le charnier de Yopougon, imprimé en grand et en couleurs. Pour un charnier de 57 morts dont seul 24 ont été identifiés, leur soif de vindicte a balafré ce pays et fait des dizaines de milliers de morts. Vous faites juste, madame, preuve de la sagesse de jugement de Salomon : il fallait qu’un camp fasse preuve de raison pour sauver le bébé, et c’est à vous qu’échoit cette responsabilité.
Vive Simone 2.0 et merci au Bravetchè pour le traitement de choc !!! Encore un petit effort et on vous proposera pour être l’ambassadrice de l’ONU contre les violences faites aux femmes (viols de femmes) !!!
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«cochon…Pour un charnier de 57 morts dont seul 24 ont été identifiés, leur soif de vindicte a balafré ce pays et fait des dizaines de milliers de morts….cochon »
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Le porc de Kôkôti@Coigny-kro commence à sortir son groin des décharges pour enfin reconnaître qu’il y a eu effectivement un charnier et que ce n’était pas un montage…même s’il tente de le minimiser.
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té ande
@tilapia
La vraie question à laquelle vous devriez pouvoir répondre aisément c est qui a fait le charnier c est a dire entassé tous ces morts.
Personne ne conteste la réalité de ces morts dans le contexte en question.
On attend également les preuves de l implication de Mme Gbagbo dans la mort de kieffer.
Au vu de l efficacité actuelle de notre justice profitons pour nous éclairer et que les coupables payent pour qu’ on avance cher ami.
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Monsieur @Raymond-Assouman alias madame @marianne injection cinétique des week-ends
A moins que vous soyez né (e) après l’avènement ou totalement atteint (e) d’amnésie, il y a eu des enquêtes balistiques et autres qui ont toutes pointé du doigt l’escadron de la gendarmerie d’Abobo dirigée à l’époque par feu le commandant Békpan mort hanté par l’esprit des patronymiens du charnier. Un semblant de procès avait été organisé au sein même du camp de la gendarmerie d’Agban où il avait été demandé aux témoins de prendre leur woro-woro et gbakas pour venir pointer du doigt les bourreaux gendarmes restés en liberté durant toutes les enquêtes. Aucune protection des témoins n’a été prévue…résultat : aucun témoin n’a osé se présenter … imaginez la suite du procès !!!
À cette époque tous les microbes refondus, vous y compris(e), chantaient à l’unisson que c’était un montage. Il a fallu qu’on vous rentre dedans accompagné d’un traitement de choc, pour que vous réalisez aujourd’hui que des patronymiens ont été tués et entassés dans un charnier sans montage !!!
Vos esprits de CANCRE s’ouvrent un peu un peu … krrrr krrrr Krrrr !!!
té ande
>Le porc de Kôkôti@Coigny-kro commence à sortir son groin des décharges pour enfin reconnaître qu’il y a eu effectivement un charnier et que ce n’était pas un montage
Pov’ tâche de @Tilapia ! Quelqu’un a-t-il dit qu’il n’y avait par charnier à Yopougon ? Le doute porte sur les circonstances dans lesquels ces corps ont été entassés là, et pourquoi c’est un militant du RDR qui les a découvert et alerté la presse internationale. La question demeure sur l’identité de ces corps dont seuls 24 ont été identifiés, sur la présence de noyés dans le groupe, etc. En épousant ta logique, certains devraient frémir d’horreur ce qui explique qu’ils dorment la kalash sous l’oreiller : pour 24 morts, vous avez (comme tu l’exprimes si poétiquement) “qu’on vous rentre dedans accompagné d’un traitement de choc”. Au même ratio, imagine ce que feraient les Guérés qui ont perdu un millier des leurs en 1 journée ? Tu sais calculer, j’espère ? Mais bon, certains sont plus réfléchis, raison de la référence à la justice rendue par Salomon. Même si vous continuez à voir la sagesse comme “faiblesse d’attacheurs de pagne”. Mais c’est sûr, tout ceci te vole très au-dessus du bonnet d’âne que tu portes.
,@tilapia
Ahi mais pourquoi depuis huit ans que vous êtes là vous ne reprenez pas ce procès bâclé selon vous, les complices étant toujours en liberté ?
Et vous confondez des tueries ca et la au cours d affrontement (je me sviens très bien de l atmosphère à ce moment là) et un charnier qui consiste pour des assassins à cacher leur crime en les entassant dans un endroit à l abri de témoins.
Chaque mort mérite justice. Chaque personne tuée l a été dans quelle circonstance et par qui?
Qui a réuni tous ces corps en ce lieu car transporter un cadavre d un lieu à un autre sans informer l autorité, c est puni par la loi.
Moi je ne veux que la vérité.
Mais et kieffer???
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Monsieur @Raymond-Assouman alias madame @marianne injection cinétique des week-ends
Ah vous aussi !!! …. Nous deux sommes en palabre, et ça se transforme en palabres entre nos deux familles. Je réussis à botter votre papa et votre maman que j’enferme dans une cage de chiens pendant 7 ans … A quoi ça me sévirait de chercher à savoir lequel de vos frères a blessé ma petite sœur oubien revenir vous donner des claques chaque matin ???
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Kieffer ??? Qu’a donné l’enquête faite par Gbagbo, puis que c’est sous son pouvoir que ce blanc a disparu ???
Au moins pour Jean Hélène, le sergent de police Théodore Séry Dago ne connaissait pas la technique de faire disparaître la victime comme pour Kieffer !!!!
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té ande