Le Message de félicitation d’Eugene Djué
Au Professeur Michel Gbagbo.
Félicitations à toi cher camarade, ami et frère Michel Gbagbo.
Nous avons appris avec joie que tu viens de passer avec un brillant succès l’examen du CAMES .Tu n’es plus donc « Docteur Poulet » Mais bel et bien, un éminent Professeur, désormais Maître de conférences des Universités.
En attendant de pouvoir te le dire de vives et heureuses voix, toute la grande famille se joint à moi pour t’exprimer toutes nos félicitations.
Honneur à toi et fierté pour la famille. Tu viens de démontrer, si besoin encore était, que nous sommes bien des hommes de valeur et non ce que la méchanceté humaine veut faire croire.
Bravo le S.G chargé des affaires sociales du BEN FESCI 1993-1994.
Nous sommes Fesci
Nous sommes une Famille
Nous sommes Parents
Michel Gbagbo enseigne la psychologie au Département de Criminologie de l’Université d’Abidjan-Cocody
Wikipedia
Il est le fils aîné de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo et de sa première épouse, la Française Jacqueline Chamois. Né le 24 septembre 1969 à Lyon1, il possède également la nationalité française2.
Il a été emprisonné et condamné, accusé de « flagrant délit de destruction de biens d’autrui sur la voie publique » en compagnie de son père, quelques jours après le 18 février 1992, alors qu’il lui rendait visite en prison, par le parti au pouvoir à ce moment, le PDCI. Il était alors membre de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire1.
Libéré, il poursuit ses études. En 1997, alors qu’il était membre du bureau national de la JFPI (Jeunesse du Front populaire ivoirien), pour des raisons économiques, et face aux obstacles dressés par les autorités universitaires[Lesquels ?], il part en France pour poursuivre ses études. C’est en 2000 qu’il regagne Abidjan lorsque son père fut élu président de la République de Côte d’Ivoire1, il est consultant en gestion des ressources humaines, dirige en 2002 le cabinet Ivoire Kompetence qu’il fonde avec des amis, puis reprend ses études universitaires en 2006. En 2007, il soutient une thèse de psychopathologie de la vie sociale.
Après la parution, à l’issue d’un concours, d’une nouvelle intitulée La force du sang, il a fait paraître un recueil de poèmes intitulé Confidences en 2006. En 2007 sort Côte d’Ivoire, un air de changement, essai politique sur la crise ivoirienne. En 2009, il publie Problématique de la réintégration sociale des personnes ayant souffert de maladie mentale à Abidjan, Tome I.
Il est par ailleurs sénateur de la Jeune Chambre internationale sous le numéro 66445, et président de l’Association ivoirienne pour l’amitié entre les peuples (AIAP).
Il est aujourd’hui enseignant de psychologie à la faculté de Criminologie de l’université de Cocody (Abidjan), et directeur de la Formation, de la Communication et de la Sensibilisation au Comité national de pilotage du redéploiement de l’Administration (CNPRA).
Le 11 avril 2011, après dix jours de combats à Abidjan, Michel Gbagbo est arrêté au palais présidentiel d’Abidjan, en compagnie de son père, de l’épouse de ce dernier, Simone, de sa femme et de ses enfants et de membres de la famille de son père et de proches, par les forces républicaines. Michel Gbagbo est emmené au Golf Hôtel, résidence d’Alassane Ouattara, où il est filmé arrivant torse nu et ensanglanté3.
Il a depuis été envoyé à Bouna, situé dans le nord-est de la Côte d’Ivoire, à 600 km d’Abidjan, où il est retenu prisonnier, avec d’autres sympathisants de son père (Pascal Affi N’Guessan, Gnamien Yao, Bollou Bi Toto, Guy Roland Sinsin, Diabaté Bê, Serge Boguhé)4. Dans un film réalisé entre le 22 avril et le 13 juin, diffusé en juillet 2011 sur Internet, on le voit, lui et ses compagnons, écouter un discours accusateur de Morou Ouattara, puis faire des pompes sur son ordre4. Dans un entretien accordé à L’Intelligent d’Abidjan le 23 juillet5, Morou Ouattara se défend des accusations de mauvais traitement qui ont été faites par les soutiens de Laurent Gbagbo6. Les équipes de l’ONUCI ont pu visiter la prison de Bouna, et ont « constaté que [les prisonniers] étaient victimes de mauvais traitements » et que l’incarcération se faisait dans « des conditions inhumaines et dégradantes »7.
Michel Gbagbo a déposé plainte en France contre Guillaume Soro et tous les commandants de zone dont Morou Ouattara pour enlèvement, séquestration et traitements inhumains et dégradants8. Convoqué à deux reprises par le juge d’instruction, Michel Gbagbo sera empêché de se rendre au tribunal par les autorités ivoiriennes9,10.
félicitations Michel !
grâce à toi on voit qu’abidjan n’est pas si diabolique que ça sous Ouattara.
on peut étudier et avoir des diplômes.bizarre,un prisonnier enseignant à l’Université.
quel bourreau bizarre ce Ouattara ?
sanga-la-rose,20 ans de prison ferme !mais il est chez lui à la maison.
bizarre non?
beloo !
@ beloo
Tu sais, a les entendre la CI est comme Beyrouth des années 80 .
Ou la Syrie de Assad
« félicitations Michel !
grâce à toi on voit qu’Abidjan n’est pas si diabolique que ça sous Ouattara. »
Toujours aussi niais, le patient ne peut s’empêcher de produire un aveu de taille : il reconnaît ouvertement le caractère maléfique du régime OUATTARA, qu’implicitement, il espère voir perdurer.
Son émoi se manifeste par le fait que OUATTARA ait « accepté » de laisser MICHEL GBAGBO obtenir un diplôme qualifiant l’autorisant à passer maitre de conférence à l’université.
Et pourtant, le nombre de pro GBAGBO qui obtient cette qualification est plus qu’au dessus de la moyenne. Les pro GBAGBO n’ont donc aucuns soucis en ce qui concerne l’obtention de diplômes, tout comme les pro OUATTARA, à priori.
Le fait donc que MICHEL GBAGBO obtienne cette position n’est pas un exploit dans l’absolu, surtout vu son niveau d’intelligence et sa trajectoire académique qui ferait pâlir tout poussiéreux en arme à BOUAKE, par contre ce qui rend la situation exceptionnelle, c’est le fait qu’il s’agisse bien de MICHEL GBAGBO, le fils du fameux et célèbre GBAGBO LAURENT.
En effet, dans ce pays, les hommes politiques sans carrure sont nombreux, et certains hommes politiques doivent leur trajectoire aux armes et à la violence quand d’autres obtiennent leur diplôme et excellent dans leur domaine de compétence respectif, avant d’être militant de parti politique.
Alors d’où vient l’aigreur du patient @belo ??
Tout simplement du fait que les pro GBAGBO, au delà de l’oppression quasi permanente du pouvoir OUATTARA sur eux, continuent leur vie et avancent, sinon excellent dans tous les domaines de la vie courante. Non, tout n’est pas politique et il faut bien subvenir aux besoins de sa famille, ou tout simplement à ceux de son intellect qui a soif de savoir.
Par contre, quand on incarcère des pro GBAGBO, on se souhaite qu’ils puissent avoir des avocats, qu’ils puissent être jugés ou libérés, c’est selon, et qu’il puissent jouir de leur droits, tout comme cela devrait être, sinon sera, quand ce pouvoir tombera et que de nombreux pro OUATTARA demain se retrouveront dans les cellules de l’état !!
Alors, oui, c’est parce que la répression aveugle contre son opposition règne, c’est parce que l’on détient le pouvoir et que l’on décide d’incarcérer a tout va, que l’on a l’impression de dominer. Et pourtant, l’on sait très bien que ces actions sont injustes et iniques. On sait très bien que l’on provoque la naissance d’un cercle vicieux, qui demain autorisera les autres à vous appliquer la même chose.
Alors oui, un régime diabolique, oui, le patient le reconnaît car il sait la nature des artison que son mentor a posée à l’endroit de son opposition, sinon des ivoiriens dont MICHEL GBAGBO fait partie.
« sanga-la-rose,20 ans de prison ferme !mais il est chez lui à la maison. »
Et non, la « prison ferme » ne peut autoriser que l’on soit chez soi. C’est la condamnation sans mandat de dépôt qui permet de rester chez soi. Mais je ne vous apprends rien.
Alors oui, on croit pouvoir se sauver, se mettre à l’abri du traitement que l’on subira dans quelques années en voulant faire croire que OUATTARA serait magnanime en « autorisant » MICHEL à obtenir son siège de maitre de conférence ou en « permettant » à SANGARE de vivre chez soi.
Non, la normalité veut que les hommes politiques ne soient pas inquiétés pour leurs opinions ou positions.
Pour le moment, étant au pouvoir et ayant autorité sur tout, on se fout bien de ce principe politique fondamental, mais c’est seulement quand on perd le pouvoir que l’on se rend compte que le respect des principes est d’importance seulement si toutes les parties se l’imposent.
Sachant que ce clan tribaliste ne pourra que subir, et voulant anticiper sur cette situation future, on voudra se dédouaner en citant MICHEL GBAGBO ou SANGARE comme des exemples de « normalité » ou de bonté de la part du pouvoir.
Non mes amis, ça ne va pas vous louper !!
Vous avez fait trop de mal aux ivoiriens et transformé toute la cote d’Ivoire en Beyrouth !!
Dabakala !!