Edwige FIENDE
Le Renouveau pour la Paix et la Concorde (RPC) de l’ex-ministre ivoirienne Henriette Lagou a intégré le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) dimanche à Daoukro (centre), en présence du président de la conférence des présidents des partis membres de la coalition au pouvoir, Henri Konan Bédié.
Mme Lagou, ex-présidente de « deux millions de filles pour Gbagbo », un mouvement de soutien à l’ex-président ivoirien, a dit partager « les valeurs » de paix prônées par le RHDP et souhaité une « franche collaboration » avec les autres partis de la coalition, en présence de plusieurs cadres du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, allié au pouvoir), dont le secrétaire exécutif Maurice Kakou Guikahué.
M. Bédié, également président du PDCI, a pour sa part exhorté Henriette Lagou, ex-membre du PDCI, « à rester » au sein de l’alliance au pouvoir.
Mme Lagou a été ministre des Affaires sociales puis des Personnes handicapées de 2000 à 2003 sous Gbagbo. Elle a été candidate du RPC qu’elle a fondé en 2012, lors de la présidentielle de 2015.
L’entrée du RPC au RHDP porte à sept, le nombre de partis membres de la coalition dont le projet de création de parti unifié du même nom que l’alliance, est en cours .
EFI
ha voilà, quand ton parti n’a
aucun poids et que des postes
ministériels vont bientôt êtres
distribués, mieux vaut rejoindre
le RHDP. tu n’y aura plus rien à.
faire que de manger autant que
tu pourras car le RDR et PDCI
feront tout.
bonne arrivée alimentaire !
Elle repartira encore au FPI lorsque le whisky finira dans la bouteille á Daoukro.
Et biensur, en aucun moment la nièce du poussiéreux n’a pu expliquer à @Belo wah wah qu’il serait possible que la bonne dame subisse des pressions diverses pour se plier au RDHP, qui a besoin de ralliement de toute sorte pour prétendre obtenir un poids quelconque.
On a vu de nombreux « pro GBAGBO » changer de musique, dès que OUATTARA a pris le pouvoir. Le choix était simple, aller en exil, aller en prison, ou suivre le RDR dans ses perceptions. AFFI aura essayé de briser le FPI, puis sera devenu « l’opposition » ivoirienne qui aura crédibilisé « l’élection » de OUATTARA en 2015, après avoir subi le chantage par rapport à sa femme KILI qui aurait du rester en prison. Puis ce furent le tour aux hommes de GBAGBO LAURENT, persécutés en exil (GOSSIO par exemple) qui furent obligés de revenir dans le pays et de marcher « avec » le pouvoir en place.
Le prétexte choisi par le pouvoir est toujours le même, flagrant délit de tentative de déstabilisation de la république, association de malfaiteur, crime organisé, constitution de bande armées, viols et vols, destruction de biens publics, etc.
Avec ces menaces sur la tête (et parfois à cause de patrouille régulières de DOZOS déjantés devant sa maison), c’est tout a fait normal que certains ivoiriens aient choisi tout simplement de se plier … pour le moment.
Si GBAGBO avait fait confiance à LAGOU, c’était avant tout pour ses perceptions politiques, ses convictions. Il n’a jamais exigé d’elle qu’elle soit aussi forte que lui, qu’elle s’expose à la violence et à la brutalité de l’adversaire poussiéreux. Il n’a jamais jugé utile de faire pression sur elle pour obtenir quoi que ce soit, au contraire. Mais nous savons tous que OUATTARA n’a pas les mêmes vertus morales que GBAGBO. OUATTARA n’hésitera pas à frapper pour obliger.
Il est évident que OUATTARA est en train de déballer ses derniers arguments pour crédibiliser son RHDP boudé par le PDCI (pour le moment, car insatisfait).
LAGOU en fera les frais !!!
Yako à toi !!
Dabakala !!
Dans ce pays il y a deux camps et un profiteur.
d’un côté le rdr et de l’autre le FPI.
le profiteur se reconnaîtra.
Ce que ces deux disent c’est ce qui peut influencer notre avenir,