Affaire Bolloré: Pefaco regrette les amalgames et la garde à vue « scandaleuse » de Francis Perez (communiqué)

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Salle poker casino Lydia Ludic d’Abidjan / Ingrid Verhee chef RH de Pefaco avec Perez

COMMUNIQUE DE PRESSE – 26/04/2018

A l’occasion d’une enquête des autorités judiciaires françaises menées à l’encontre du Groupe Bolloré pour des soupçons de corruption dans l’obtention de concessions en Afrique , la presse française s’est fait l’écho ces derniers jours d’un lien avec Francis Perez et Grupo Pefaco.

Grupo Pefaco est une entreprise de droit espagnol créée il y a 20 ans, localisée à Barcelone en Espagne et présente dans 12 pays et sur 3 continents.

Les dirigeants de Grupo Pefaco ont pleinement coopéré avec les autorités françaises pour rétablir la réalité des faits :

• Grupo Pefaco et ses dirigeants n’ont jamais eu aucune relation d’aucune sorte avec le Groupe Bolloré, et ses activités n’ont clairement aucun lien avec celles du Groupe Bolloré.

• Le mouvement d’argent entre M. Perez et M. Dorent en 2010 correspond à un prêt d’argent à un ami. Ce prêt a fait l’objet d’un acte notarié.

Dans un climat délicat, M. Perez a fait preuve de pleine collaboration avec la justice française, prêt và répondre à leurs interrogations. Mais il a été retenu de manière scandaleuse, pendant plus de 24h, pour n’être finalement interrogé que 2h45, à la suite desquelles il a été libéré sans aucune charge de quelque sorte que ce soit retenue à son encontre.

Grupo Pefaco et son Président Francis Perez regrettent l’emploi d’un traitement faisant preuve de si peu de considération, étant donné la totale coopération dont ils ont fait preuve. Grupo Pefaco et son Président Francis Perez déplorent leur association à toute cette affaire, ternissant l’image de la société et de ses fondateurs sur la base d’éléments infondés et d’associations hâtives.

Grupo Pefaco est connu en Afrique pour son dynamisme, sa contribution à l’emploi local et ses actions sociales, et entend s’engager fermement pour la défense de l’honneur, de la réputation et de l’image de l’entreprise.

Barcelone, le 26 avril 2018

A propos de Grupo Pefaco
Grupo Pefaco est spécialisé dans les secteurs des Jeux & Loisirs et de l’Hôtellerie. Le groupe dirigé par ses fondateurs Francis Perez et Olivier Cauro, emploie plus de 3.000 collaborateurs dans 12 pays (Bénin, Burkina Faso, Burundi, Congo, Côte d’Ivoire, Niger, Nigeria, Rwanda, Togo, Paraguay, Espagne et Portugal). www.pefaco.com Pefaco International, filiale de Jeux & Loisirs de Grupo Pefaco, installe et exploite des machines récréatives dans des Espaces de Jeux et de Loisirs en Afrique sous sa marque commerciale Lydia Ludic. La société compte plus de 280 salles de jeux et 350 bars partenaires. Pefaco International a réalisé un chiffre d’affaires de 43 millions d’euros en 2014. La stratégie de l’entreprise repose sur un effort de croissance rapide, au travers de l’implantation dans de nouveaux pays, de l’obtention de nouvelles licences et de fusions et acquisitions, pour doubler le parc de machines récréatives en 5 ans (de 5 000 en 2015 à 10 000 en 2020). www.pefacointernational.com Pefaco Hotels, filiale hôtelière de Grupo Pefaco, conçoit, finance, co nstruit et exploite des complexes hôteliers de luxe en Afrique Centrale et en Afrique de l’Ouest. L’enseigne Pefaco Hotels comprend actuellement deux complexes hôteliers en exploitation en République du Congo : Pefaco Hotel Alima Palace 5*, à Oyo, et Pefaco Hotel Maya Maya 5*, à Brazzaville) www.pefacohotelmayamaya.com· www.pefacohotelalimapalace.com

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1 réflexion au sujet de « Affaire Bolloré: Pefaco regrette les amalgames et la garde à vue « scandaleuse » de Francis Perez (communiqué) »

  1. Votre communiqué, vous l’avez fait paraître en France et en Espagne ? Parce que c’est là-bas que ça se passe. Notons qu’on achève bien les chevaux : Bolloré est déjà un pestiféré. Et pourtant, tout le monde sait qu’un homme qui pèse tant dans l’économie français et l’emploi s’en sortira sans une égratignure, le but étant essentiellement de donner le change face à une opinion réputée grognonne et haineuse des riches. Comme en 1789, elle réclame encore la vue de têtes sur le billot.

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