Côte d’Ivoire: La compagnie de transport UTB augmente de 1.000 FFA le prix de trois trajets à l’approche de Pâques

Jean-Marc BOUAZO

L’Union des transporteurs de Bouaké (UTB), leader du transport routier en Côte d’Ivoire, a augmenté jeudi de 1.000 Fcfa, le prix du ticket de trois trajets dont Abidjan-Bouaké (Centre), à trois de la fête de Pâques, a appris ALERTE INFO auprès des responsables de la compagnie.

Le prix du ticket du trajet Abidjan-Bouaké, est passé de 6.100 à 7.100 F Cfa, celui d’Abidjan-Béoumi (Centre) de 7.100 à 8.100 F Cfa et de 3.100 à 4.100 F Cfa pour le trajet Abidjan-Gagnoa (Centre ouest)

Cette augmentation survient à l’approche de la fête de la pâque, période pendant laquelle, le trafic est important.

Le prix du ticket pour les autres villes est resté inchangé.

En fin février, la compagnie de transport UTB a augmenté le prix du ticket de transport de 1.000 F sur le tronçon Abidjan-Daloa en raison des charges du péage sur le trajet Abidjan-Yamoussoukro.

Alerte info/Connectionivoirienne.net

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1 réflexion au sujet de « Côte d’Ivoire: La compagnie de transport UTB augmente de 1.000 FFA le prix de trois trajets à l’approche de Pâques »

  1. Non mais franchement, quel beau pays ! Une compagne se lève et prend prétexte des frais de péage sur l’autoroute pour taxer les passages à hauteur de 1.000 FCFA par tête de pipe, dans un car transportant de 60 à 70 personnes. Soit donc entre 60.000 FCFA à 70.000 FCFA par voyage. Ce qui serait instructif, c’est de savoir combien coûte le passage (payable 2 fois : 1 fois pour le tronçon Houphouët-Boigny datant de 30 ans, et une fois pour le tronçon Gbagbo/Ouattara datant de moins 10 ans). Evidemment, s’il y avait des vrais syndicats de transporteurs et non une mafia déguisée, cela n’aurait pu être. Evidemment, s’il y avait de vraies associations de défense des droits des consommateur et non des flibustiers, cela n’aurait pas été possible. Et bien sûr, s’il existait un ministère des transports au travail et attentif à la régulation du milieu du transport, nul doute qu’il y aurait eu réaction.

    Oui, quel beau pays où le citoyen est vu avant tout comme un mouton à qui il ne reste quasiment plus de laine sur le dos à force d’être tondu.

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