Les communautés Baoulé et Wê, sorties de la forêt classée du Goin-Debé, du fait d’un conflit qui les opposait, ont commencé à regagner leurs lieux d’installation depuis le lundi 16 octobre 2017.
Un convoi d’une vingtaine de véhicules pour les Baoulé a pris le chemin du retour vers les campements (Princekro, Guizokro, Porkro, etc) tandis que les Wê avaient 4 mini-car pour Canaan. Ils retournent ainsi dans la forêt classée du Goin-Debé d’où ils ont été obligés de sortir parce qu’ils étaient en palabres depuis deux mois environ. Cette fois devrait être la bonne, à en croire les autorités administratives et politiques de la ville, avec à leur tête le préfet Koné Massemba, présentes au moment du décampement des populations.
Le jeudi 12 octobre 2017, une première tentative des Baoulé de regagner leurs campements avait échoué; des jeunes Wê les ayant empêchés de pénétrer la forêt classée.
S’agissant des accords entre les parties en conflit, le député Serodé Guy Hervé qui a parlé au nom des élus dit qu’ils restent en vigueur. Ces accords prévoyaient que chacune des communautés retourne sur ses bases avant que le gouvernement ne règle définitivement le litige.
Un litige né autour de l’exploitation de 9000 hectares dans la forêt classée du Goin-Debé.
Chris Monsékéla
Afrikipresse
Nous remercions toutes les forces vives de ce pays qui sans tambour battant, y compris le PDCI (avec dons et émissaires de tout genre) sont intervenus pour calmer et rétablir la situation pour que tous nos frères et sœurs puissent revivre ensemble comme l’aurait voulu Nanan Boigny…
Maintenant, maintenant, n’oublions pas que les mêmes causes produisent les mêmes effets. Il faut agir en aval maintenant pour empêcher que cela ne se reproduise. Apprenons de nos erreurs.
Nous disons, we want peaceeeeeeeeee, n’en déplaise bien entendu aux sauvages bétés aigris et haineux en déliquescence continue. Ah, ces sauvages, toujours les mêmes…
Allezzzz….Avançons dans le pays…
Il faut toujours que ce dégénéré, après avoir dit des choses sensées que l’on aurait presque applaudies, finisse toujours par exprimer son traumatisme infantile du père bhété qui ne l’a jamais reconnu !!
Quel misère morale !!
Je me demande même si à ton âge tu as de la force pour battre les mains ou applaudir. Et puis, qui a besoin des applaudissements d’un animal ? Riresss…Conserve la petite énergie qui te reste pour voir si ta ménopausée de cochonne pourra elle t’applaudir dans ta case ?
Enfant bété batard comme tes géniteurs sauvages.
Viagra-tchè…Va prendre ton comprimé et peut-être que tu pourras sourire ce soir. SAUVAGE comme ta mère prostituée enculée.
Vieux sénile que tu es à la fois ta-h-ré mental et physique.
Animal bété sauvage que tu es…Maudit comme tes géniteurs…
Répétons-le HAUT et FORT pour le vieil animal bété et ses aïeuls eux-mêmes animaux sauvages : « Nous disons, we want peaceeeeeeeeee, n’en déplaise bien entendu aux sauvages bétés aigris et haineux en déliquescence continue. Ah, ces sauvages, toujours les mêmes… »