Lu pour vous
« Je veux ici m’adresser à ceux de nos compatriotes qui se sont enfermés dans un autisme moral total, je les appelle au pardon. Il est temps qu’ils ouvrent leurs cœurs, comme nous ouvrons les nôtres ; qu’ils demandent pardon comme nous demandons pardon nous-mêmes ; qu’ils participent pleinement au jeu politique et que chacun respecte des règles justes, des mécanismes transparents dans la conquête, l’exercice et la transmission du pouvoir.
Osons la Repentance. Osons le Pardon. Osons la Réconciliation. Osons l’Amour. Notre commune humanité nous le commande. Notre pays attend cela de nous. Nos amis et nos voisins nous y encouragent. Notre fraternité est bien plus forte que nos divergences politiques, idéologiques, sociales, ethniques, religieuses. »
(Guillaume Soro: Discours du 3 avril 2017)
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