En politique, lorsque certains individus égarés sèment le trouble, il est plus qu’impérieux de les rappeler à l’ordre en vue d’y sauvegarder l’honneur et l’intégrité des personnes ressources.
Depuis quelques jours nous constatons avec désolation qu’une vidéo ayant pour but de dénigrer le président Abel Naki circule sur les réseaux sociaux. Cette vidéo dont l’auteur se nomme Zadi Djédjé présente ce dernier animant une conférence dont nous ignorons la nature.
Quel est donc le contenu du message du conférencier ? Dans cette vidéo en effet, l’on voit bien monsieur Zadi Djédjé du FPU accuser énergiquement et absolument monsieur Abel Naki d’avoir livré Charles Blé Goudé à la police quelques heures avant son arrestation au Ghana. Abel Naki aurait selon ses dires indiqué le lieu de résidence de Charles Blé Goudé en exil au Ghana. Parce que, monsieur Abel Naki serait le seul individu possédant le contact et l’adresse de l’appartement de Charles Blé Goudé.
Sans preuve ni aucune autre forme d’investigation, monsieur Zadi Djédjé, alors ex chauffeur du ministre Charles Blé Goudé accuse gratuitement monsieur Abel Naki d’avoir livré un frère de lutte à la furie du gouvernement Ouattara.
Il est clair que les intentions de monsieur Zadi Djédjé sautent à l’œil. Dans ce canular, tel un charognard, l’indélicat vise le cynique dessein de ternir politiquement l’image de monsieur Abel Naki aux yeux de l’opinion national et international. Un tel acharnement d’un ennemi de cet ennemi de la démocratie sur monsieur Abel Naki peut s’expliquer quand l’on sait la grandeur et la portée politique de ses actions à travers l’Europe et le monde entier. Depuis plusieurs années en effet, celui-ci se bat inlassablement pour la libération du président Gbagbo, du ministre Charles Blé Goudé, et de la plupart des autres prisonniers politiques. Nul besoin de rappeler ici et maintenant les grands sacrifices consentis par monsieur Abel Naki dans l’arène politique ivoirienne depuis 2011 jusqu’à ce jour.
Par ailleurs, qui est Zadi Djédjé ? Voici un monsieur dont le camp Ouattara s’est servi comme un larbin, et mis au garage après une piètre prestation de service auprès du pouvoir. Zadi Djédjé a joué le tristement et célèbre rôle de Judas après la chute du régime Laurent Gbagbo pendant que ses camarades de lutte fuyaient la répression.
Aussi fraichement que l’on s’en souvienne, aux lendemains de la guerre d’Abidjan en 2011, ce dernier alors proche et fidèle des fidèles du ministre Charles Blé Goudé n’avait même pas eu besoin de laisser passer le deuil de la nation ivoirienne en cendre et dans les larmes pour s’afficher avec monsieur Hamed Bakayoko à la télévision nationale. Alors que tenez-vous bien, celui-ci partageait le lit Charles Blé Goudé en 2010 et années antérieurs. Ainsi, en échange de rentes et faveurs du gouvernement Ouattara, celui-ci s’était lancé dans une vaste campagne de communication en collaboration avec le pouvoir pour ridiculiser les pro-Gbagbo. Quelques mois plus tard, pour narguer le FPI, avec l’aide de ses parrains, il créa la FPU. Il sillonna les villes et communes d’Abidjan en vue de porter des messages à la jeunesse ivoirienne en les invitant à tourner la page du président Laurent Gbagbo. Pour lui Gbagbo était fini. L’objectif premier du pouvoir Ouattara étant de faire oublier au plus vite Laurent Gbagbo, il s’était attacher les services de ce jeune leader assoiffé biens matériels.
Ce monsieur n’est pas inconnu de la scène politique ivoirienne. Un homme sans destin politique ni même aucun soupçon d’avenir possible. Lorsqu’on pactise avec des personnes peu recommandables l’avenir ne peut que prévoir l’orage et l’obscurité à l’horizon. Monsieur Zadi Djédjé n’est que la parodie de lui-même et rien de plus. C’est à dire un opportuniste sans cervelle. Et lorsque les choses s’avèrent ainsi, l’individu représente un danger pour lui-même, ses proches et sa famille. Cependant, que cela soit clair dans son esprit, monsieur Abel Naki n’est pas un leaders vide et avide comme lui. Il a une histoire avec la Côte d’Ivoire.
Que représente Zady Djédjé aujourd’hui sur l’échiquier politique ivoirien ?
Nous laisserons à chacun la latitude d’apporter une réponse efficiente à cette question.
Cependant nous voudrions seulement par cet éclaircissement prévenir les ivoiriens de ne jamais se laisser distraire par les agitations d’un agneau de sacrifice déjà immolé avant l’heure. Le président Abel Naki reste constant dans ses actions. Sachez nous faire confiance. Jamais nous ne trahirons. Et c’est justement parce que certains sont convaincus de la justesse de notre engagement qu’ils attaquent et à tout prix, quitte à s’adonner aux calomnies, injures et autres formes de bassesses déshonorantes. En guise de preuve de loyauté, il suffit de vous référer aux activités du président Abel Naki depuis 2011 jusqu’à ce jour et vous comprendrez qu’en politique, il y a une race de personnes (les jaloux, aigris, sorciers…) qui viennent suivre et tirer les autres vers le bas, et il y a cette autre race de leader éclairés qui n’ont pas choisi la politique mais que la politique a choisi pour accomplir un destin commun de société. Rappelons par ailleurs, que nous ne faiblirons jamais et que la récréation aura trop durée, nous avons longtemps toléré ce genres de lâchetés. Désormais nous agirons conformément à la dimension et à la mesure de ces attaques.
Il faut rappeler que ce discours de Zadi Djédjé est un extrait d’une vidéo qui date de 2014, au moment où ce monsieur était en mission auprès du régime de M. Ouattara pour salir la réputation des pros Gbagbo.
La question que nous nous posons est de savoir pourquoi cet extrait ressurgit subitement et maintenant alors que la vidéo elle-même était morte de sa plus belle mort depuis 2 ans ?
Qui est derrière cet extrait de vidéo ? Et pourquoi l’on veuille à tous prix créer un conflit entre deux fils de la même région : Guibéroua ?
Pourquoi c’est au moment où la candidature du Président-Fondateur du Cri-Panafricain aux législatives est reçu avec beaucoup d’enthousiasme à Guibéroua et ses sous-préfectures que soudain rejailli en surface cette vidéo mensongère ayant pour but de salir l’image du fils de Kpogrobouo ?
Dieu merci le ministre Charles Blé Goudé est encore vivant et ses collaborateurs également. Un jour, il aura le courage de dire à ces derniers qui lui rendent visite en longueur de journée, le nom de celui ou ceux qui en réalité l’auraient trahi.
Nous espérons aussi que ses collaborateurs auront un jour le courage de poser cette question à leur chef pour que la vérité éclate enfin.
Mais pour l’heure, nous entendons continuer le débat devant un juge d’instruction, car monsieur Zadi Djédjé devra nous apporter la preuve de ses allégations pour que cela serve d’exemple aux aventuriers venus en politiques pour faire le lit des autres.
Gaël Lakpa Ahouman, Chargé de communication du président Abel Naki.
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