Le procès des deux militaires accusés de violation de consigne et association de malfaiteurs a débuté ce jeudi en Côte d’Ivoire.
La justice militaire leur reproche d’avoir été en contact avec des djihadistes qui ont perpétré l’attentat de Grand-Bassam le 13 mars. Une vingtaine de personnes, à majorité ivoiriennes avaient trouvé la mort dans la tuerie survenue dans la station balnéaire de Grand-Bassam, située à une trentaine de minutes de la capitale économique du pays, Abidjan.
La justice du pays reproche également aux deux militaires d’avoir omis de communiquer des informations à leur hiérarchie.
L’attaque avait été revendiquée par Al Qaida au Maghreb islamique, qui avait déclaré aussi avoir commis des attentats d’autres pays de la région, notamment au Mali et au Burkina Faso.
Avec BBC Afrique
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