Côte d’Ivoire – Ces internautes qui saluent les injures du «philosophe» de Soro

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Les insultes du «philosophe» unanimement saluées par les internautes sur «lebanco.net»

Eléphant Déchainé

Les insultes de Franklin Nyamsi contre le fondateur de «L’Eléphant Déchaîné» ont été unanimement «saluées» par les internautes. Il faut dire qu’il est rare qu’un insulteur public fasse l’objet d’autant de soutiens de la part de ceux qui lisent ses surprenantes productions intellectuelles qui devraient être enseignées dans les lycées et Universités de référence que compte l’Afrique et particulièrement la Côte d’Ivoire où l’on voit chaque jour les effets bénéfiques de ses conseils prodigués au président de l’Assemblée Nationale. Par respect pour le «philosophe» des temps nouveaux, Franklin Nyamsi même si lui, n’a aucun sens du respect pour les personnes qu’il attaque – nous ne publions que les réactions les moins violentes et nous avons volontairement supprimé les passages les plus injurieux dans lesdites réactions. Histoire de montrer à cet homme que la dignité, la vraie, ne se proclame pas mais qu’elle est une attitude.

1/ «Soro gagnerait à engager des professionnels» Lago T: «Cet opportuniste Camerounais vantard et bavard qui se répand partout dans la presse à tel point qu’on l’a surnommé le « répondeur automatique » de Soro, c’est une « erreur » de la part de Soro. Soro gagnerait à engager des personnes professionnelles plus compétentes et expérimentées, en matière de communication et de relations publiques. Les responsabilités du Conseil en Communication : La communication est sans aucun doute le vocable qui, malgré tout l’intérêt dont il jouit, demeure tout de même un concept qui souffre de beaucoup trop d’incompréhensions. Ainsi, elle est largement perçue comme un art surabondamment chargé avec son lot d’effet boule de neige. Pourtant communication n’est pas synonyme de pédanterie, ni d’insultes. En effet, certains acteurs du débat politique notamment les partis, par ignorance coupable, collent des attributs que ne devrait porter aucun conseiller en communication. Auquel cas, le conseiller en communication devra se substituer au militant. Ce qui n’est pas son rôle. Par exemple faire intervenir le conseiller en communication du Président Soro de l’assemblée Nationale de Côte d’Ivoire sur des questions politiques telles que le bilan de Soro par exemple, c’est lui commander une posture à travers laquelle il ne devrait apparaître en tant que conseiller en communication. Au mieux, qu’il puisse servir le Président Soro, le conseiller en communication  » Franklin Nyamssi » devrait rester un militant « fantôme », « partout présent mais visible nulle part ». Sa fonction étant « strictement technique », doit tourner autour d’élaborations de formats communicationnels « adéquats » avec une utilisation autant variée que maîtrisée des canaux et supports de communication. La mission du conseiller en communication « Nyamssi » (même s’il ne le sait pas encore) englobe également d’autres compétences. Il se doit (par exemple) de pouvoir répondre aux questions du quoi faire/dire, pourquoi, quand, comment, avec qui, pour qui et avec quel (s) effet (s). Pour des raisons purement stratégiques, ces déclinaisons ont lieu dans le secret du Cabinet du Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire et non pas sur la place publique, comme c’est bien trop souvent le cas, avec ce bavard « pédant » de Nyamssi. La communication a horreur de l’espace public.

D’excès tout comme d’insuffisance d’actes ou de parole. Son ton est mesuré. Aujourd’hui donc, on peut s’étonner que les axes de communication du Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire soient souvent révélés à travers les médias et de façon intempestive et improvisée sur internet, toutes les fois que le « pédant » Nyamssi se répand en insultes et joue au « répondeur automatique » de Soro.»

2/ «Pourquoi Soro s’entoure d’un «médiocre»? Akissi D: «Le fait que la presse ait, de manière générale, plus envie de parler de faits divers notamment, de ces « trains qui n’arrivent pas à l’heure» est un « piège » dans lequel le « répondeur automatique camerounais » de Soro ne devrait pas tomber non plus… Par souci d’existence et d’écoulement de ses produits, la presse pense devoir mettre en avant ces « faits divers » qui se vendent mieux, plutôt que de s’appesantir sur des réalisations gouvernementales avec comme corollaire des soupçons de complaisance envers le régime. Peut-on reprocher à la presse sa liberté éditoriale? Oui et non à la fois. Oui, parce que la presse joue un rôle de stabilisateur et doit veiller à apporter de la hauteur et de la sérénité dans les débats qu’elle suscite avec une couverture de l’actualité qui puisse tenir compte de tout cela. Non, parce que la presse joue essentiellement un rôle de contre pouvoir. Par conséquent, prolonger l’actualité autour de ces « faits divers » poussera les gouvernés à constater, en toute objectivité, l’insuffisance des ruptures annoncées. De la même manière on ne saurait reprocher à la Cellule de Communication du Président de l’Assemblee Nationale, Soro, le fait de n’avoir pas réussi à faire l’actualité autour des réalisations du gouvernement et du parlement ivoirien. L’honneur de faire l’actualité revient, à mon humble avis, plutôt à la presse qui malheureusement n’en fait pas toujours bon usage. Il est donc erroné de penser que c’est le peuple qui commande l’actualité. Il la subit pour la plupart. Le peuple ivoirien, que je sache, n’a donné aucune indication pour qu’on mette au devant de la scène « un mandat d’amener ou des écoutes téléphoniques »… La presse a voulu en faire un cas et il en est devenu un. Si l’attitude de la presse était de les reléguer au second plan, le débat se situerait à un autre niveau, toujours voulu par la presse. Ce qui est surprenant est la réaction de Nyamssi qui insulte le premier ministre d’un pays frère et entretient « le cirque Soro ». On l’a surnommé le « répondeur automatique » de Soro. Question: Pourquoi est-ce que Soro s’entoure d’un « médiocre » alors qu’il a les moyens de se payer (en tant que Président de l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire) de bien meilleurs conseillers en communication et relation publique? That is the question???»

3/ «Il manque à Nyamsi, les deux pieds d’une bonne Communication» Aya L.M: «En définitive, la communication est un art dont l’utilisation demeure encore un chantier dans notre pays. Surtout si « nos dirigeants » s’entourent d’aventuriers camerounais pédants, alors que le potentiel communicant de la Côte d’Ivoire reste tout de même intact grâce à (l’ESCA de l’INP FHB de Yamoussoukro, et à l’INSTITUT Polytechnique DES SCIENCES & TECHNIQUES DE LA COMMUNICATION d’Abidjan, ainsi que le département de communication de
l’université FHB de Cocody à Abidjan,) qui ont formé et continuent de former des professionnels de communication aguerris. On retrouve ainsi des anciens de l’ESCA qui font de la communication ( professionnelle et de haut niveau) dans toutes les grandes sociétés de la place et au sein de beaucoup d’agences spécialisées des Nations Unies…(L’agence de publicité Vodoo (par exemple) a été fondée par un ancien de l’ESCA). Le seul handicap qui résiste au développement de la communication « politique » en Côte d’Ivoire se situe à son utilisation quelque peu bancale. Une bonne communication marche avec deux pieds. Le premier pied relève du savoir, savoir-faire et savoirêtre. Tandis que le second pied prend en compte la liberté et l’intelligence du communicant, et non pas son zèle de « militant », comme on le voit avec le camerounais Nyamsi, « philosophe pédant », qui s’improvise « communicant » auprès de Soro. Malheureusement, pour des raisons tristement politiques, des responsables en communication se sont vus « ôter » ce second pied. Dans le cas de Nyamsi, il lui manque les « deux pieds » pour être un bon « communicant ». En effet, il n’y connait rien en communication et d’autre part, il n’est pas libre (intellectuellement) car c’est un indigent « bon flatteur » camerounais qui vit aux dépends de Soro, qu’il flatte, mais qu’il dés-sert!»
4/ «Que fait la Présidence?» Sauvy: «Je trouve cela triste. Si Soro n’a pas le courage de rectifier ses soit disants conseillers, que fait la présidence? Car c’est l’image du pays qui vole en éclats. S’il vous plaît arrêtez ces mercenaires de la plume. Ils ne rendent aucun service à Soro et à notre pays. S’il vous plait faites quelque chose avant qu’il ne soit trop tard » Please, c’est plus que de l’humiliation que ces mercenaires de la plume infligent à notre pays et pas seulement à Soro. Si eux les conseillers de Soro, ne savent pas qu’il faut plus qu’une dénonciation pour prouver l’innocence de leur chef, la majorité des africains est consciente que Soro est l’une des personnes que nous avons entendus sur la bande publiée.»

5/ «Si Soro ne licencie pas ce type» Loethiers M: «Si Soro ne licencie pas ce type peut-être (bardé) de hauts diplômes mais peu qualifié pour faire le conseiller, c’est lui qui en remettra en payant des honoraires salés. Car chaque fois que Soro est attaqué, Nyamsi ne sait que se démontrer arrogant, impulsif, déversant injures et infamies sur les autres. Visiblement, même le plus inculte lecteur découvre les limites du conseiller. Aucune analyse profonde et convaincante pour confondre les ennemis de Soro. Sincèrement que lui conseille-t-il?»

6/ «Soro doit savoir qu’il est à la tête d’une institution représentative.» Patrice A: «Le président de notre assemblée nationale doit savoir qu’il est à la tête d’une institution représentative, pas d’une obscure caba(n)e partisane. Il faut absolument ramener à la raison ce mal (. ) de la plume qu’est Nyamsi. Comment comprendre que le site du président de l’Assemblée Nationale soit devenu le dépotoir de toutes les pédantes âneries de Nyamsi ? La soi-disant tribune internationale est un espace ridicule où on lit n’importe quoi. Pendant une année, la prétendue tribune internationale a servi de plateforme pour une propagande en
courageant la modification de la constitution au Burkina Faso. Nyamsi et Djibo ne prenaient même pas la peine de masquer leur immixtion dans les affaires du Faso. Après les insultes vraiment sauvages de Nyamsi contre Konan Banny et Essy Amara, on a vu les insultes contre Kafando, Kaboré, puis Zida. De grâce, si M. Soro veut payer des insulteurs publics, au moins qu’ils fassent leur sale boulot ailleurs avec des pseudonymes au lieu de le faire sur un site officiel de la seconde personnalité de l’Etat. Un sursaut républicain est nécessaire pour réduire ce Nyamsi au silence et le renvoyer dans son pays où le même président règne depuis 1982. Pourquoi faut-il que ce pseudo-intellectuel camerounais, un professeur agrégé de lycée avec des vacations à l’université vienne jouer les savants insulteurs chez nous ? Pourquoi faut-il qu’on soit ainsi humiliés par la (. ) de ce griot qui vient s’en mettre plein les poches ? On dirait qu’il a « gbassé » le président Soro. Le panafricanisme, je veux bien, mais un peu de décence, que Nyamsi aille donc insulter les personnalités de son pays. Nyamsi souffre d’un narcissisme profond. On dirait quelqu’un qui veut prendre une revanche sur la vie en se servant de notre pays. Je viens de visiter ses posts sur twitter. Partout, il s’agit de nombril, moi, moi, moi, moi ici, moi là-bas, moi partout. Il y a même des photos de lui donnant un cours au Mali. Cet exhibitionnisme est indécent et montre un individu bourré de complexes. Quel genre de professeur passe son temps à raconter sa vie professionnelle de façon aussi pitoyable ? Vraiment n’importe quoi.»

7/ «Nyamsi a déclaré que Soro a acheté une villa aux Etats-Unis pour Yacou Zida» S. Wilfried: «C’est quand même incroyable de la part d’un soi-disant professeur de philosophie. Le papier pour lequel il s’attaque au patron de l’éléphant déchaîné est signé JN et moi qui ait l’habitude de lire ce journal, je sais que Assalé Tiémoko ne signe jamais ses papiers de cette façon et le fait qu’il soit le patron de ce journal ne signifie pas que c’est lui qui a fait écrire ça. J’ail lu le journal de ce jour (mardi 8 décembre, ndlr), et j’ai vu qu’Assalé Tiémoko y a signé deux articles rédigés depuis Paris, ce qui veut dire qu’il n’est pas en ce moment en Côte d’Ivoire. Pourquoi alors Franklin Nyamsi s’en prend à sa personne au lieu d’attaquer le fond de ce billet? A-t-il au moins les preuves de ce qu’il affirme contre ce journaliste qui, de mon point de vue, est l’un des plus professionnels de la Côte d’Ivoire et qui écrit rarement sans avoir des preuves? Monsieur Franklin Nyamsi devrait surveiller ses réactions épidermiques. Il y a quelques jours, il déclarait, en réaction aux propos du premier ministre du Burkina au sujet des écoutes téléphoniques, que c’est Soro Guillaume qui acheté une villa aux Etats-Unis pour Yacouba Zida et que c’est le même Soro Guillaume qui a acheté son premier terrain au Burkina pour le même Yacouba Zida. Qu’est ce que les gens avaient à foutre de savoir ça dans une affaire d’écoutes téléphoniques? Et puis, où est ce que Soro Guillaume a-t-il trouvé l’argent pour acheter une villa aux Etats Unis pour Yacouba Zida et pour quels services rendus a-t-il posé cet acte pour un militaire burkinabé? Ce Franklin Nyamsi, à mon avis, devrait être éloigné, non pas de Soro Guillaume mais plutôt de la Côte d’Ivoire. Car, s’il n’est pas arrêté, cet homme va créer de graves problèmes diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et plusieurs pays voisins. Ce n’est pas seulement à Soro Guillaume qu’il fait du mal peut-être avec son accord mais plutôt à la Côte d’Ivoire. Franklin Nyamsi, s’en prendre à un journaliste de façon aussi gratuite, cela revèle votre petitesse d’esprit. C’est tout!»

8/ «Nyamsi n’est pas un conseiller.» Sawadogo J: «Franchement celui là n’est pas un conseiller. Et Soro qui est exigeant ne devait pas laisser ces soi-disants conseillers ternir son image.I l ne fait que qu’écorcher l’image de son employeur. Je ne pense pas que Soro puisse descendre à la dimension de ce (.) ?»
9/ «Il est temps pour Soro d’arrêter ces «camerou-niaiseries» Kamerou N: «Il est grand temps pour Soro d’arrêter ses « camerou-niaiseries » et de se séparer de cet « aventurier » camerounais de (.) pour engager de vrais professionnels de la communication et des relations publiques. (Il faut bien noter que ce « camer » n’insulte jamais Biya qu’il ménage avec respect et bienveillance, mais, par contre, au nom du « panafricanisme » (à la sauce camerounaise) Nyamssi s’ingère dans la politique ivoirienne et burkinabé et pense que cela lui donne le droit d’insulter entre autres, Essy Amara, Banny, Kafando, Kaboré, puis Zida…). De sa plume de « mercenaire », Nyamssi a déclaré (d’une part) être contre tout changement constitutionnel dans son Cameroun natal, qui prolongerait le mandat de Biya, mais le même Nyamssi (a d’autre part) soutenu le projet de changement constitutionnel (de Blaise Compaoré au Burkina. C’est dire donc que ce Nyamssi n’a aucune crédibilité (.)»
10/ Akobla: «Qui est le conseiller vestimentaire de Nyamsi?»

Dossier realisése par La redactIon de «L’elephant dechainé». source: «Lebanco.net»

Motion: «L’Eléphant», ce «torchon satirique» selon le mot de notre immense «philosophe» Nyamsi, demande au président de l’Assemblée Nationale de rappeler à l’ordre son «Conseiller». Qui ne dit rien étant consentant, si cet «intellectuel» que toutes les meilleures universités du monde recherchent mais qui préfère vadrouiller au nom d’un «panafricanisme» sonnant et trébuchant, se hasarde encore une fois-sous le prétexte de défendre Soro Guillaume qui est une personnalité politique ivoirienne que la presse ivoirienne a le droit de critiquer sans injures – à s’attaquer à toute l’équipe de «L’Eléphant» au lieu d’adresser un droit de réponse démontrant la hauteur d’esprit qu’on est en droit d’attendre de quelqu’un à qui on donne le titre d’Agrégé de lycées (heureusement.) C’est Soro Guillaume qui devra en tirer les conséquences. Nous encourageons donc vivement Franklin Nyamsi à rechercher déjà les preuves des accusations qu’il a portées contre le journal et son premier responsable. En grand intellectuel, il sait que le fait de sortir du contexte d’un article pour porter des accusations sans preuves contre une personne est un acte qui dans un pays civilisé comme la Côte d’Ivoire, est déféré à l’appréciation d’une institution comme la justice.

LA REDACTION

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