Que veut l’Intelligent au ministre Lobognon ? Voici la Réponse de l’Intelligent d’Abidjan

Lu sur le banco.net
« Affaire  »un Ministre de Ouattara dépense 60 millions  »: L’Intelligent d’Abidjan manque d’intelligence

Les preuves

Mais diantre ! Que veut l’Intelligent au Ministre Alain Lobognon ?
L’on doit se poser la question.
En effet, depuis 2003, ce quotidien ne ménage pas ses efforts pour fustiger les Forces Nouvelles(FN) à l’époque notamment M Lobognon, directeur de communication des FN.
Pour mémoire, entre 2003 et 2006, ces différents correspondants basés à Bouaké mieux prédisposés à travailler car étant sur le terrain, voyaient leurs écrits tripatouillés par leur quotidien.
Ce quotidien poussait même le ridicule jusqu’à exiger des Forces Nouvelles des avantages .Ce que l’ex-rébellion ivoirienne refusait.
Le Directeur de communication devenu Ministre, voilà l’occasion tant recherchée par ces personnes tapies dans l’ombre et portant le masque  »Intelligent d’Abidjan » afin d’espérer porter le coup fatal au Ministre Lobognon.
Retour sur ce que l’on appellerait le non sens et l’inintelligence de l’Intelligent d’Abidjan.
Moriba Fofana c’est le facebooker par qui est passé l’Intelligent d’Abidjan pour tenter une énième fois son coup de nuire à M Lobognon de puis 2003 : « avec l’avènement au pouvoir du préfet Ouattara, c’est le bal des cancres. Tous les incompétents. bombardés ministres. Alain Lobognon, le néo ministre pro Ouattara dont le parcours scolaire a pris fin très tôt. Il a gaspillé la rondelette somme de 60 millions de FCFA. » Et le quotidien d’écrire au dessus  »voici le texte qui a mis en colère Alain Lobognon. » Ces écrits du pseudo Moriba Fofana (certainement un nom emprunté ) nécessitent une réaction après analyse :
Au regard de ces écrits, une classe d’opposants au régime du Président Ouattara et à ses hommes tente de nuire à la bonne réputation dudit Président. L’on peut alors comprendre cette liberté pour ce facebooker de vouloir ternir l’image d’un homme politique surtout un Président. L’attaque de l’intégrité d’un ministre également en fait partie. C’est le propre des refondateurs puisque c’est d’eux qu’il s’agit. Les expressions telles que  »cancres, préfet Ouattara, incompétents, parcours scolaire a pris fin très tôt »  font partie intégrante de leur mode de vie, de leurs conditions de refondateurs; bref de leur existence.
Le manque d’intelligence de l’Intelligent d’Abidjan en faisant du copier coller est le signe manifeste d’un manque de professionnalisme car se basant sur des propos non vérifiés et surtout écrits par un internaute utilisant de surcroit un réseau social ( facebook) pour exprimer sa pathologie, son mal à l’encontre des nouveaux hommes forts du pays. Coupé de la manne financière mal acquise, ce personnage poltron a cru bon de verser dans la racaille. Mais  »l’Intelligent » sans intelligence a cru bon de susciter la passion dans l’esprit des ivoiriens. Voilà bien une facilité et paresse héréditaire dont ne veut se séparer l’Intelligent. Car depuis près de neuf(9) ans, ce canard n’en finit pas d’invectiver des autorités ivoiriennes. Le combat ne fait que commencer pour ce quotidien puisque son ennemi juré, le ministre Alain Lobognon, désormais ministre, occupe un poste important du pays. Le ministre est ainsi averti. Ensuite le dédouanement: Jouant au pyromane et ensuite au pompier, l’Intelligent d’Abidjan en fin équilibriste, tente bien que mal de se fondre en donneur de leçons aux refondateurs : «carton rouge au pro Gbagbo, mais la transparence est nécessaire malgré tout». Des justifications par ci, d’autres par là pour montrer la bonne foi de ce canard. Et Charles Kouassi, le rédacteur (pyromane et pompier) s’en charge. Mais peine perdue car les ivoiriens qui ont d’autres préoccupations, ont plutôt éprouvé du dédain pour un quotidien dont l’intelligence reste à prouver.
Remplir sa besace d’espèces trébuchantes et sonnantes et nuire à l’intégrité d’un ministre déclaré ennemi juré au plus fort de la crise. Tel est la mission de ce quotidien. C’est le lieu enfin, d’interpeller le CNP (conseil national de la presse) pour qu’un code de bonne conduite s’établisse dans la régulation de la presse afin qu’elle soit plus objective, critique tout en proposant des solutions aux critiques relevées.

blank
Photo afreekelection

Droit de réponse de L’Intelligent d’Abidjan à un article au sujet du Ministre Alain Lobognon
Monsieur le directeur

Votre site le banco.net a publié un texte mettant en cause l’intelligent d’Abidjan. Ce texte viole les dispositions relatives au droit de réponse dans la presse. C’est M Alain Lobognon et non M. Kouamé Guy qui est concerné. C’était au ministre de répondre. Ensuite c’est dans l’intelligent d’Abidjan que la réponse devrait se faire. Cela dit, nous nous réjouissons de cette publication qui concourt au débat d’idées, et démocratique. Nous vous en remercions et souhaitons à notre tour profiter de votre tribune pour exercer notre droit de réponse, en rappelant que les colonnes de L’intelligent d’Abidjan restent ouvertes au Ministre Alain Lobognon ou à ses porte paroles officiels. D’ailleurs il a fait une déclaration ce jour sur la question à son arrivée à Abidjan. Ceci est pour la forme et les usages de langage. Concernant le fond de la question, nous estimons que Monsieur Alain Lobognon devrait s’en prendre à lui-même. L’intelligent d’Abidjan a plus de 2000 parutions, depuis septembre 2003. Si je ne m’abuse nous n’avons pas parlé plus de dix fois à la une, d’Alain Lobognon. Si le ministre avait eu de la sérénité et de la maîtrise sur son mur au sujet du tract de LMP du sieur Moriba Fofana, nous n’en serions pas là. L’intelligent d’Abidjan ne porte pas de cagoule. Ses dirigeants et responsables sont connus et malgré tout ce qui a été dit et écrit, ce journal a démontré à tous et au monde entier qu’il n’avait pas de dettes vis à vis de Laurent Gbagbo, en soutenant le suffrage des Ivoiriens exprimé le 28 Novembre 2010. Si le répondeur automatique de Lobognon, que nous avons deviné ( ?) trouve des journaux meilleurs en Côte d’Ivoire, tant mieux pour lui. Nous respectons ses choix d’autant que nous n’avons rien contre ces journaux. Nous nous avons une éthique et nous l’assumons. Le chemin pour être ministre est connu dans ce pays, il n’y a pas d’école ni de diplômes pour cela. Nous avons créé une entreprise. Le rôle du ministre est aujourd’hui d’en créer. Alors pourquoi devrions-nous rougir et lui reprocher de vouloir faire avec les moyens de l’Etat et de l’action politique, ce que nous avons réalisé à notre modeste niveau ? Accepter une fonction publique, implique d’accepter les critiques et de garder de la hauteur. Et il ne sert à rien de se cacher derrière le net, pour sévir….La Côte d’Ivoire est libre, les anonymats doivent prendre fin. M Alain Lobognon s’est prononcé à son retour à l’aéroport pour donner des explications et des précisions. Il n’a pas manqué de faire la leçon aux journalistes et à l’intelligent d’Abidjan, sur le fait de prendre des informations sur facebook, lui qui passe des heures à tweeter et à faire des post sur facebook. L’intelligent d’Abidjan publiera ses propos demain, ainsi que d’autres réactions. Cependant il suffisait que le ministre des jeunes donne ces mêmes explications hier, pour clore le débat. C’était tout simple, c’était si simple ! Le FPI a sans doute fait du mal aux Ivoiriens, mais ce n’est pas dans le rôle du ministre Alain Lobognon de menacer de disparition le parti, alors que la justice suit son cours. Dire cela ne signifie point que l’on est contre un ministre. Souhaiter qu’il clarifie les choses ne veut pas dire qu’on est contre lui. Publier un texte pris sur le net, comme nous avons publié un texte pris hier sur le banco.net, notamment le texte de Famahan Samaké sur Affi Nguessan, ne veut pas dire que nous allons passer notre temps à perturber le sommeil du ci-devant ministre Alain Lobognon. Cette simplification ne passera pas et n’empêchera pas la critique juste et utile. Par l’intelligent d’Abidjan. Merci et à bientôt….

Charles Kouassi, L’Intelligent d’Abidjan
Abidjan le 11 Juillet 2011

Commentaires Facebook

Les commentaires sont fermés.