Hier lundi, après-midi, suite à la manifestation que voulaient organiser des partisans de l’ex president ivoirien en protestation aux bombardements Franco-onusiens contre les forces armées du clan de Laurent Gbagbo, de nombreuses arrestations ont pu être observées place du Trocadéro, dans le 16e arrondissement de Paris. Précisément sur le lieu dit Parvis des droits de l’Homme. Il y a eu une trentaine d’arrestations dont celle concepteur de « Facebooker » pour Laurent Gbagbo, Abel Naki. Tous les personnes arrêtées ont été conduites manu militari au commissariat du 18e arrondissement de Paris. Ce mardi matin, la police parisienne n’a pas voulu se prononcer sur une éventuelle remise en liberté de ces personnes arrêtées hier. Par ailleurs Les semaines et jours à venir s’annoncent difficiles pour les propagandistes et idéologues du clan Gbagbo résidents en Europe, aux USA et au Canada. En effet, de nombreuses plaintes pour incitations à la haine, au tribalisme, au meurtre et à l’assassinat pourraient être déposées contre ces soutiens avérés à la dictature de Laurent Gbagbo en Côte-d’Ivoire. On apprend aussi que l’ONU soutenue par la CEDEAO et l’Union Africaine s’apprêterait à lancer des enquêtes impartiales sur les massacres à grande échelle de civils constatés en Côte-d’Ivoire, particulièrement dans l’Ouest, dans le périmètres Duékoué, Guiglo, Toulépleu. Les camps Ouattara et Gbagbo s’accusent mutuellement de ces massacres alors que les deux camps sont indexés par l’ONUCI et des ONG dont la Croix-Rouge comme responsables de ces tueries de civils.
Connectionivoirienne.net
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