Chers frères d’armes FDS, ayant rejoints la légalité, nous nous permettons de révéler aux jeunes recrues d’où sont parties la déchéance et la décadence de notre armée ivoirienne.
En octobre 2000, les refondateurs avec à leurs têtes Laurent Gbagbo nomme un ministre dénommé LIDA KOUASSI MOISE : Laurent Gbagbo le présente aux autorités de l’armée nationale comme un expert en affaires militaires. Où a-t-il fait son expertise ? Quelle école militaire a-t-il fréquenté ?
Lida Kouassi nomme en son cabinet KADET BERTIN, un autre expert en tueries (escadron de la mort- chef du village de MAMA, village maternel de Laurent Gbagbo).
Le calvaire de la grande muette ivoirienne débuta ainsi jusqu’à nos jours avec sa cohorte de tribalisme et d’ethnocentrisme qu’ils y ont enraciné.
La grande muette devient la grande politicienne où seuls le militantisme au FPI et la délation sont les moyens d’avancement, de promotion. La guerre des clans fait rage et les médiocres deviennent des experts.
Le lieutenant-colonel GOUALI TAPE, un éternel prisonnier militaire est nommé commandant du GSPR (Groupe de Sécurité de la Présidence de la République) une unité d’élite. “ Chasser le naturel, il revient aux galops”, GOUALI TAPE se retrouve en prison sur ordre de Laurent Gbagbo après les attaques du 19 septembre 2002.
Tous les postes de responsabilités sont confiés à des militants purs et durs du régime en place, notamment :
• GUAI BI POIN
• KASSARATÉ
• AHOUMAN NATHANEL
• GABO
• DOGBO BLÉ
• VAGBA FASSIGNAUX
Chers jeunes recrues, pensez à méditer ce qui vient d’être lu par vous car la suite détaillera le déclin de notre armée.
19 septembre 2002, la guerre éclate à nos portes, les experts Lida Kouassi, Kadet Bertin, dans leur course à l’enrichissement illicite, de concert avec l’attaché militaire de l’ambassade d’Angola sur notre sol et les ex-états de l’Est, achètent du vieux matériel pour équiper notre armée face à une situation qu’elle n’avait jamais vécu.
Par la suite, un incapable des incapables et irresponsable dans la responsabilité est nommé Com’ théâtre, PHILIPPE MANGOU et ayant pour adjoint NANDJE ZADI.
Mangou dans son ignorance totale ainsi que l’expert Lida Kouassi annoncent aux ivoiriens que Bouaké sera prise à dix-huit (18) heures.
Le bilan de cette opération mal ficelée est lourd en pertes de vies humaines. Laurent Gbagbo, toujours illuminé débarque Lida Kouassi, l’expert en bêtises et l’on voit l’ascension de Kadet Bertin, le chef de village de “ Mama”, encore un autre ignare en affaires militaires. Le dernier promu créé le tristement et sinistrement célèbre “escadron de la mort” dont Maître Bahi Patrice, bien connu des ivoiriens est un maillon essentiel à Abidjan, Mangou et Scorpion en sont les bras séculiers à Yamoussoukro.
Le jeune Mangou fait exécuter froidement les colonels TRA HIE et OYENAN et autres frères d’armes qui après maintes difficultés rencontrées pendant la traversée de la forêt, ont pu rejoindre Yamoussoukro en zone loyaliste, en provenance de Bouaké. La seule raison c’est que venant de Bouaké, ils sont sûrement des rebelles infiltrés or ceux-ci ont peiné pour rejoindre l’armée ivoirienne en territoire loyaliste, armée à laquelle ils ont consacré toutes leurs vies.
LES AMIS DU CAPITAINE KASSI
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