Abidjan: Lente et honteuse agonie du pouvoir Gbagbo !

(Libre Opinion) — La Côte d’Ivoire de Laurent Gbagbo est mourante depuis le 28 novembre 2010.Et l’illusion de survie que lui octroient les entourloupettes diplomatiques s’estompe sous les bruits de bottes entendus à Abidjan et ailleurs. C’est le Peuple ivoirien qui se dresse et part à l’assaut de sa Liberté. C’est la Nouvelle Côte d’Ivoire née pacifiquement des urnes qui donne la dernière estocade au monstre et à ses chimères. La victoire est acquise même si une sienne configuration mentale, au multiples volets ou fichiers, fait croire à Laurent Gbagbo qu’il doit et qu’il peut se maintenir au pouvoir en dépit de sa défaite électorale. Le dernier volet de ladite configuration consiste, actuellement, à semer la terreur par un massacre particulièrement odieux de populations civiles qu’il pousse à l’exode. Mais c’est le dernier volet, par lequel tous ses rêves vont prendre fin et redevenir poussières.

Certes, en matière de configuration mentale, il n’est pas exclu qu’un fichier traîne quelque part dans le subconscient.Celui de sauver sa peau, qui pousse le tyran à s’offrir in extremis les services du bon sens.cependant, rien n’est moins sûr chez Gbagbo qui semble atteint d’une des folies dont on ne guérit pas. Celle de la grandeur qui pousse à croire jusqu’au dernier souffle que la situation peut changer, va changer…Un dernier souffle dans lequel le fou est précipité définitivement par une balle fatale…ou par des menottes qu’on lui passe ! Ou la mort ou les menottes du TPI, puisqu’il a repoussé orgueilleusement toutes les offres de sortie honorable ! Telle est l’issue inéluctable de la saga de Laurent Gbagbo et de sa Côte d’Ivoire de violences, de meurtres et de prédation en tous genres. Nous assistons donc à l’agonie pitoyable d’une fin de ‘’règne ‘’. Règne en effet que cette présidence de Laurent Gbagbo acquise et prolongée de façon douteuse ! Mais elle est en train de disparaître dans la honte et la pitrerie, comme elle a commencé ! Les bruits de bottes, c’est l’effectivité de la nouvelle Côte d’Ivoire qui enfonce profondément ses racines : irréversiblement.

Les volets précédents par lesquels Laurent Gbagbo a tenté de spolier le Peuple ivoirien de sa victoire, ce sont : la cohorte des menteurs professionnels de par le monde et particulièrement français – amis et flagorneurs de tout poil- alléchés comme toujours par l’appât du gain facile à soutirer à tout dictateur en déconfiture. Rangeons dans cette catégorie la tourbe à la cervelle putride des prétendus intellectuels Africains qui ont échoué les uns après les autres dans leur tentative sordide de retourner l’opinion à travers des textes indigestes de grande indigence. Un autre volet est représenté par ces avocats malicieux et vociférateurs, tels des mouches sur un cadavre, qui se sont prêtés au cirque en acceptant de défendre le faussaire Laurent Gbagbo habile à fabriquer pour sa cause perdue des pièces récusables dès le premier coup d’œil ! Et de crier avec le Menteur : « Recomptage ! Recomptage ! » Puis, c’est le silence ! Le faussaire a été démasqué et le projet abandonné.Or les avocats du diable ont eu les sous qu’ils sont venus chercher et pour lesquels ils ont amusé la galerie en criant « recomptage ». La liste des volets est sans doute longue, et on a tout dit si l’on ramène cette configuration mentale qui le conduit à tant d’impasses à sa conception de la CI.

Laurent Gbgbo, un accident grave de la vie publique ivoirienne !

Laurent Gbagbo conçoit la Côte d’Ivoire comme sa propriété.Voilà l’idée qui l’a habité depuis plus de dix ans et dont il ne peut plus guérir. Autant dire qu’il en a une certaine conception de, plus qu’une conception une Côte d’Ivoire qui est la matérialisations de ses rêves : cauchemar pour beaucoup et éden pour son clan de happy few ! Ces rêves l’habitent déjà dès le commencement de sa vie politique si turbulente et si trouble. Pour Mao, aime-t-on dire, le pouvoir est au bout du fusil ; pour Gbagbo il est obtenu par le mensonge et la contestation violente au nom d’un mot qui sonne faux dans sa bouche : démocratie ! En effet, il n’a jamais été un démocrate, encore moins un nationaliste. C’est un pseudo-nationaliste et un faux démocrate qui s’est attaqué au Président Houphoet-Boigny en qui il n’a toujours vu qu’un Baoulé. Autant dire que sa conscience politique ou ce qui en tient lieu n’a jamais dépassé celle d’un tribaliste pur et dur.Sa conscience est réfractaire à l’idée de nation.On est tenté de ne pas lui en vouloir, quand on y réfléchit. Cela semble tenir d’une psychiatrie particulière, très particulière que ses diplômes universitaires n’ont pas aidé à cautériser. La culture ne l’a pas transformé, ne l’a pas anobli, n’a pas tanné et assoupli et son esprit et son cœur. Il est donc resté sauvage, primitif et primaire. Et heureux de le rester ! Chez lui le plaisir est maître et l’image du Nègre grand sensuel si cher au Poète sénégalais vient à l’esprit, sans forcer ! Les preuves sont là, irréfutables.

Très tôt, aidé peut-être en cela par quelque libidineux Cynique ou Epicurien dégénéré, il s’accepta et plutôt que d’en faire un drame il décida de jouir pleinement de son état si anormal. Mais, comment faire pour ne pas heurter et se priver ainsi de cette aubaine si naturelle que sa personnalité de grand Nègre sensuel et cruel ? Très tôt, il devint rusé. Il s’offrit les services du Mensonge afin de jouir de ses « privilèges » surdimensionnés dans un monde policé, sans éveiller l’attention ni la méfiance. Sinon comment justifier, entre tant d’incongruités, son ascension jusqu’à la magistrature suprême, magistrature dont la gestion anormalement catastrophique prouve qu’il n’était pas fait pour ce type de fonction. Il a usé d’une bonne recette : le discours au timbre nationaliste, véritable miroir aux alouettes !

En réalité, un discours qui n’était qu’un voile, l’habillage d’un tribalisme que seulement on devait découvrir après dix ans de faits et gestes étrange et étrangers à son nationalisme de façade, qui se résume ainsi : aucune nationalisation, aucune réalisation sociale ni économique ; tout brader aux sociétés étrangères, etc. Mais le naturel ne put se cacher plus longtemps. Sa nature de violent se révéla et le désordre politique attisé par un discours tribaliste particulièrement odieux et meurtrier prit définitivement le dessus. La machine à détruire était lancée, huilée et entretenus par ses partisans les plus bornés.

Très nombreux sont les nationalistes qui succombèrent au discours pseudo-nationaliste de Laurent Gbagbo en dépit des faits. Les naïfs ! Ils n’ont pas compris le sens de l’acharnement de Gbagbo contre le Vieux. ! Mais il eut le temps de réaliser l’impassable, de concrétiser l’objectif principal et secret de sa lutte politicienne : lui le Bété remplacer le président Houphouet-Boigny le Baoulé ! « Remplacer » ! Seulement, qui peut remplacer le grand Sage ? Personne ! En effet, chez l’homme qui pense le contraire, c’est l’idée de nation qui n’existe plus et son corollaire : l’idée de « Peuple ». Principes chers à tout nationaliste comme on sait. Or chez Gbagbo, « nation » et « peuple » renvoient à sa tribu. Et ceux qui ne sont pas de sa tribu ne font pas partie de sa « nation » ni de son « peuple ». C’est ce qui explique la volonté d’exclusion et d’anéantissement des autres chez Laurent Gbagbo. Le piège s’est donc refermé sur les nationalistes qui l’ont suivi bêtement.

A titre comparatif, avec Laurent Gbagbo le sentiment d’appartenir à une « Nation et Peuple ivoiriens » si fort au temps du Vieux s’est considérablement dégradé jusqu’à l’enfouis-sement. En fait, le Machiavel des Lagunes s’est méthodiquement acharné à effacer des cœurs et des esprits ce sentiment noble d’appartenance à une Cité, à une Maison commune. Son inclination pathologique a tribalisé les Ivoiriens, a forcé par les armes chacun à fuir « le Peuple ivoirien » pour se réfugier dans son contraire : l’ethnie, la tribu. Tout le monde sait ce que signifient les lettres « B » et « D » marquée sur une habitation à Abidjan. Voilà où Laurent Gbagbo a conduit « le Peuple ivoirien » : à un début de génocide. Il est donc incontestable que ce fascisme mural indique que Laurent Gbagbo est un tribaliste de la pire espèce car fascisme et tribalisme sont associés et sont ennemis de la Nation ivoirienne et du Peuple ivoirien. Ces derniers temps, la répression bestiale contre les libertés publiques en Côte d’Ivoire vont dans ce sens de l’assassinat pur et simple de ces idéaux et principes politiques. Or empêcher leur expression, c’est empêcher tout Ivoirien d’exprimer pacifiquement « le peuple Ivoirien » en miniature qu’il reste en face du tribalisme fasciste de Gbagbo.

Voilà l’homme en quelques mots, en qui la niaiserie a voulu voir le père de la démocratie ivoirienne ! Or la réalité injectée par cet homme contredit totalement cette idée. Sa turbulence politicienne au contraire a bloqué la naissance d’un régime démocratique. Au lieu et place, un pluralisme politique opportuniste favorisé par le repli tribaliste. Laurent Gbagbo a court-circuité le passage naturel du parti unique a la démocratie et poussé l’apparition d’un pluralisme politicien dangereux qui lui a beaucoup servi et dans lequel il veut maintenir la Côte d’Ivoie. Par conséquent, malgré l’existence du pluralisme, on ne peut absolument pas affirmer l’existence d’un régime politique démocratique digne de ce nom. Tout reste à créer ou à recréer.

Tout bien pensé, Laurent Gbagbo est devenu président par défaut, en l’absence d’une vraie démocratie dont il a empêché la naissance. Car avec elle il n’avait aucune chance de devenir président de la république. Bref, Laurent Gbagbo est un accident grave de la vie politique ivoirienne. Il a sécrété et profité de la partition de la Côte d’Ivoire, dont il a joui en parjure et sacrilège.

Laurent Gbagbo, théocrate parjure et sacrilège !

Laurent Gbagbo n’est pas un théocrate qui s’ignore. C’est le monde qui ne l’a pas pris au sérieux et les Ivoiriens les premiers qui ne n’ont pas compris le sens de ses références à Dieu de qui il a voulu faire croire qu’il tenait son pouvoir présidentiel, un pouvoir sacré qui faisait de lui un chef d’Etat au-dessus des autre avec droit de vie et de mort. A vrai dire, un sacré empereur romain des Lagunes qui n’avait plus de comptes à rendre ! Mais il a toujours pris soin d’être prudent et de considérer le Peuple pour partie non négligeable bien que méprisable dans sa pratique de la théocratie, dans sa théocrature. Théocrature pour dire que la théocratie dont il s’est prévalu n’est pas une théocratie à l’iranienne emmurée dans un rigorisme ombrageux. La théocrature gbagoienne sait flatter le Peuple quand, latiniste à ses heures, il a plus d’une fois égrené en public la Vox populi Vox Dei. Et le Peuple d’acclamer un président si démocrate. Formule magique donc, par laquelle il gagne la confiance du Peuple. En réalité, nous sommes au cœur du populisme qu’on reconnaît au Boucher des Lagunes. Et aussi au sein de son déisme si ténébreux. Populisme et déisme si défavorables à la démocratie et à la vie morale. La CI avec Laurent Gbagbo s’est enfoncée dans la médiocrité et le vice ; dans le crime et l’abomination ! Personne ne met en doute cette triste réalité. La faillite morale de Laurent Gbagbo est totale !

Si Laurent Gbagbo fait semblant de s’incliner devant le Peuple, c’est toujours pour encaisser les votes indispensables à sa théocrature. Elu président, le voici bientôt prince et roi après avoir par séduction et petits crimes remplacé le mandat présidentiel en règne, la constitution par quelques passages bibliques, les prérogatives présidentielles – qui ne sont que des devoirs- en passe-droits. Dès lors il pouvait, comme Louis XIV, se dire : « L’Etat c’est moi » ; cumuler les pouvoirs politique, économique et religieux. Et faire sienne le « cujus regio, ejus religio » Mais quelle religion ? Grande question.

D’une façon générale, le déisme des Gbagbo s’attire les bonnes grâces de la religion chrétienne qu’ils font semblant de servir. De plus leur familiarité avec le clergé catholique ivoirien, sans oublier les voyages au Vatican, pourrait indiquer clairement que la religion chrétienne a leur faveur. Par ailleurs Simone Gbagbo se livre aussi à des pratiques d’un certain christianisme qui la pousse à ouvrir la chambre à coucher présidentielle aux télévisions occidentales ! Ce qui réjouit les croyants de voir un couple présidentiel à la vie si religieuse. Cependant, pourquoi tant de morts violentes, pourquoi tant de crimes et de souffrances sous le ‘’règne’’ d’un président si chrétien ? La religion chrétienne n’est-elle pas une religion de l’Amour ? Vous direz que les Rois de France eurent aussi leurs morts violentes, leurs assassinats, leurs persécutions etc. Pour consolider leur pouvoir politique et la religion d’Etat. Il en va de même avec Laurent Gbagbo sauf que ces morts violentes ne peuvent avoir été commises pour la suprématie de la religion de l’Etat car en Côte d’Ivoire, il n’y a pas de religion d’Etat bien que le Peuple croie en Dieu, si présent dans les cœurs comme dans la vie de tous les jours. Mais ce Dieu n’est pas celui d’une religion particulière ni celui des Gbagbo. Or, le Dieu qu’imposent les Gbagbo dans leurs faits et gestes ne ressemble à aucun Dieu des religions conventionnelles connues en Côte d’Ivoire même si le couple adosse ses pratiques religieuses à la religion chrétienne. On serait bien inspiré de regarder vers les Dieux de l’Hindouisme pour cerner au mieux le Dieu des Gbagbo, un Dieu qu’ils ignorent peut-être mais qui les inonde de son influence et qu’ils servent avec enthousiasme et dévotion morbide ! On peut penser à Kal Niranjan et à Kali, Dieu et Déesse de la Négativité-même. Divinités désignées par une image bien pâlotte en Afrique et ailleurs : Satan le Tentateur ! Tous les faits et gestes de ce couple découlent de l’influence directe de ces divinités. Simone et Lurent Gbagbo sont donc des suppôts de ces Dieux communément appelés SATAN. J’en veux pour preuve, sans évoquer le goût immodéré du sang d’autrui répandu pour garder le pouvoir, la versatilité de l’homme et ce plaisir qu’éprouve Laurent Gbabo à rouler les autres dans la farine ; de même que l’impudence démoniaque à prêter serment alors qu’il a perdu l’élection présidentiel. Ce qui s’appelle parjure et sacrilège. Chez Simone Gbagbo, on peut citer cette haine et cette envie de déchirer si incisives dans sa voix et dans ses gestes ….La religion chrétienne est un paravent commode pour cacher leurs forfaitures abominables et des pratiques sataniques. Qu’on peut aisément imaginer. Laurent Gbagbo roule tout le monde, même le clergé catholique pourtant sensé reconnaître Satan dans ses pompes les plus anodines ! Mais qui y pense en ces temps d’abomination ?

Pourtant il est écrit que ce ne sont pas ceux qui crient « Dieu ! Dieu ! » tout le temps, comme les Gbagbo, qui font Sa volonté. Les Gbagbo, des esprits dispersés à coup sûr qui parlent de Dieu comme s’ils étaient en termes intimes avec Lui. Or leur sincérité est remplie de fausses notes. Ils ne désirent qu’une chose : utiliser Dieu pour leur propre égoïsme.Pour dominer les autres. Hélas pour eux, c’est seulement un rêve. Fuyez-les !

C’est pourquoi il ne faut pas voir dans leur hostilité vis-à-vis de certaines populations non chrétiennes un prosélytisme qui ne peut s’empêcher d’une croisade contre les musulmans. Seulement, quand cette croisade de façade s’attaque uniquement à des musulmans d’une région bien déterminée du Pays, on n’est plus en religion mais bien dans le tribalisme et ses pratiques fétichistes ! Surtout que les Gbagbo s’entendent bien avec les dirigeants et hommes d’affaires musulmans du reste du monde.

Une Nouvelle Côte d’Ivoire est née le 28 novembre 2010 !

Voilà l’homme et la Côte d’Ivoire que le Peuple ivoirien a rejetés le 28 novembre 2010. Cette Côte d’Ivoire que Laurent Gbagbo veut maintenir par la terreur et l’horreur doit mourir. Car, en rejetant Laurent Koudou Ggagbo et sa Côte d’Ivoire de malheurs, le Peuple ivoirien a exprimé plus qu’un ras-le-bol : il a favorisé la naissance de la Nouvelle Côte d’Ivoire ! C’est une révolution par les urnes, c’est « la Révolution ivoire » dont on n’a pas saisi toute la symbolique.Il faut donc tourner la page et aider le nouveau Président Alassane Ouattara à sortir la Pays de l’impasse et de l’enlisement.

Simone et Laurent Gbagbo doivent « faire don de leurs personnes ». Ils sont deux monstres du tribalisme ivoirien opposés depuis toujours à l’Houphouétisme de paix et de concorde nationales, de développement harmonieux et de l’effort fraternellement partagé. Il n’y a pas photo en effet entre les deux doctrines politiques ! Cela saute aux yeux rien qu’en comparant les conséquences sociales et économiques des deux systèmes. L’Houphouétisme est construction, le tribalisme ou gbagbaoisme est démolissions et désolations, démoralisation et dépravation. Le gbagboisme est satanismme !

En effet, il faut rappeler au criminel Laurent Gbagbo qui souille encore le Pays du Sage par son inconduite sacrilège que la nouvelle Côte d’Ivoire est née le 28 novembre 2010 grâce à l’effort du RHDP et des Ivoiriens de bonne volonté dont le nombre ne cesse de grossir au fil des semaines. Une révolution considérable s’est opérée. Ce fut la traversée à pieds secs de la Côte d’Ivoire du criminel Laurent Gbagbo à la nouvelle Côte d’Ivoire conçue et enfantée par le RHDP et tous les Ivoiriens de bonne volonté. Quelque chose de grandiose comparable au passage de l’Ancien Testament au Nouveau : de la Haine tribaliste à l’Amour des Ivoirien-nes pour les Ivoirien-nes. C’est une chance fragile pour l’Afrique mais une chance. Les Ivoiriens doivent lutter pour la consolider et l’installer définitivement.

C’est le fruit exceptionnel de la confiance ! C’est un don du Ciel que deux personnes, adversaires ou ennemis hier, se rassemblent au nom de l’intérêt national en un nouveau pôle politique ! Et gagnent l’élection présidentielle ! Encore un deuxième don du Ciel. Que les autres hommes politiques fassent de même et le cercle sera parfait ! L’Afrique de demain commence avec la nouvelle Côte d’Ivoire. Tous les Ivoiriens doivent être heureux d’avoir montré le chemin de l’honneur et de la grandeur. C’est pourquoi l’attribution du Prix Nobel de la Paix à leurs Excellences Alassane Drame Ouattara et Henri Konan Bédié devrait être sérieusement envisagée. /.

Par Agon PICDAGOU

Région Parisienne

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