Message sem GNAMIEN YAO, dnc Diaspora – Pourquoi voter Gbagbo ?

MESSAGE DE S.E.M. GNAMIEN YAO

Thème: Voter GBAGBO pour sauver la Côte d’Ivoire

Honorables aînés,
Mesdames,
Messieurs,
Très chers frères et sœurs,

En 64 ans d’existence, c’est la première fois que le PDCI-RDA notre grand parti, le Parti créé par le Président Félix Houphouët-Boigny perd une élection nationale en Cote d’Ivoire.
Une telle contre-performance donne lieu à des supputations. Evidemment comme le rappelle le père-fondateur, « la victoire a plusieurs pères, la défaite est orpheline ».
Dans ces conditions, c’est-à-dire en cas de défaite, il est plus facile d’accuser l’autre au lieu de voir la cause en nous-mêmes. En général, quand on refuse d’accepter la défaite, quand on se surprend en train de rejeter la faute sur les autres, on tombe dans la diffusion d’information infondée, dans la médisance, dans l’intoxication, dans la désinformation toutes choses capables d’ébranler la cohésion nationale, de dresser les peuples les uns contre les autres.
Face au danger qui se profile à l’horizon, si nous laissons ces rumeurs nous envahir et s’enraciner dans nos campements, villages, villes, quartiers, et bases, notre mouvement, le Mouvement pour la Réhabilitation du Débat et du Dialogue au sein du PDCI-RDA (MRDD-PDCI) composé de membres des instances du PDCI-RDA, de militants de base et de sympathisants, appuyé par nos aînés restés fidèles aux idéaux de justice, d’équité de paix et d’amour du Président Félix Houphouet-Boigny dont l’évocation du nom suffirait pour dire que Gbagbo a gagné, notre mouvement dis-je a décidé de se prononcer sur les enjeux de la Présidentielle 2010, de prendre solennellement position devant la communauté nationale et internationale.
Qu’avons-nous à dire ce jour ?
Aujourd’hui, nous avons choisi d’analyser tour à tour :
a) les causes de la défaite du PDCI-RDA ;
b) la signification qu’il faut donner au second tour de l’élection présidentielle en Cote d’Ivoire,
c) avant d’appeler à voter massivement pour le candidat Laurent Gbagbo sauvant ainsi la démocratie dans notre pays, la République et les institutions nationales.
Mesdames, messieurs,
Pourquoi le PDCI-RDA a-t-il perdu ? Gbagbo a-t-il volé les voix du candidat du PDCI-RDA?
Voici deux interrogations auxquelles nos parents du centre de la Cote d’Ivoire communément appelé le V Baoulé veulent nous voir donner des réponses claires et objectives afin de décider du comportement à adopter vis-à-vis de l’avenir de la Cote d’Ivoire. Etant modestement membre de cette communauté, je voudrais solennellement m’engager à donner une suite à leur requête.
Avant tout propos permettez-moi de saluer le Président Laurent DONA-FOLOGO, Président du Conseil économique et social, le père du sursaut national dont la vision et la détermination ont permis à la Cote d’Ivoire d’éviter de sombrer sous les menaces et les pressions de tous ceux qui ont une phobie pour la loi, l’ordre et la discipline.
Quand le premier décembre 1993, un mercredi comme aujourd’hui, à la maison du PDCI-RDA à Cocody, le Président DONA-FOLOGO alors secrétaire Général de notre Grand parti nous demandait de nous mobiliser pour faire échec à la volonté pour certains militants du PDCI-RDA, certains pseudo-disciples du Président Félix Houphouet-Boigny d’user de force pour détraquer la boussole, c’est-à-dire la constitution ivoirienne qui faisait du Président de l’Assemblée Nationale, Président de la République en cas de vacance de la présidence de la République, nous étions loin de nous imaginer que 17 ans après, ce serait notre tour d’inviter nos militants et nos compatriotes à rester fidèles à la république, à ne pas céder aux menaces de tous ordres, à la diversion et à la provocation dans leur lutte pour la sauvegarde de la Nation ivoirienne.
Ce refus d’accepter l’ordre établi par le Président Félix Houphouet-Boigny s’est transformé en cafouillage pour la reconnaissance du nouveau Président de la République suite au décès du Président Félix Houphouet-Boigny. Plus tard, soit le 30 avril 1994, ce même refus va donner naissance à une formation politique sortie des entrailles du PDCI-RDA. Dès lors la lutte entre la légalité et la dissidence pour le contrôle de la philosophie et de la pensée du Président Félix Houphouet-Boigny va rythmer les rapports entre les deux tendances pour gangrener la vie politique nationale.
Plus tard soit le 24 décembre 1999, la frange légaliste incarnée par le Président de la république d’abord, le Président Henri Konan Bédié est renversée par un coup d’Etat militaire. Nous venions de subir cette première défaite, cette fois militaire.
Malgré les intimidations, malgré les menaces, Nous les légalistes restés fidèles au PDCI-RDA, nous n’avons pas baissé les bras. Nous avons accepté notre traversée du désert et nous sommes restés dans le camp de la légalité.
Le Président du PDCI-RDA revenu d’exil grâce au Président Laurent Gbagbo, ne l’oublions pas, a décidé de reprendre le combat dans l’espoir d’une réhabilitation par le peuple de Cote d’Ivoire. Il a préféré toutefois aller au combat avec les soldats des autres. Il a noué des amitiés en oubliant cette prophétie du président Félix Houphouët-Boigny ; ou plus exactement cette mise en garde selon laquelle, « l’essentiel, c’est de ne jamais sacrifier les intérêts de la famille à ceux des amitiés les plus chères ».
Au soir du 31 octobre 2010, le verdict des urnes est tombé. Le PDCI-RDA est écarté dès le premier tour. Les nombreux avertissements des militants qui ont toujours refusé de donner une prime à la violence et aux bénéficiaires de la violence, de cautionner la remise en cause du testament du Président Félix Houphouët-Boigny n’ont pas été entendus. Pour la deuxième fois, le Président du PDCI-RDA est sanctionné. Cette fois par les idées. Il est vaincu. La légalité est vaincue. Que faire ?
5 Quelle signification donner au second tour sans le PDCI-RDA?
La Cote d’Ivoire doit choisir entre le changement opéré sous la contrainte de la justice du vainqueur, c’est-à-dire celle qui consiste à vous donner des coups même quand vous êtes à terre, la Côte d’Ivoire doit choisir entre la menace des armes et la stabilité dans l’ordre et la discipline.
Le Président Félix Houphouët-Boigny père-fondateur du PDCI-RDA n’aurait pas hésité un seul instant à indiquer la voie à suivre. Lui qui nous dit que tous les changements sont possibles, à condition qu’ils se fassent dans l’ordre, la discipline et la Paix.
En vérité si le 7 août 1960, la Cote d’Ivoire est devenue indépendante sans qu’il ait été nécessaire de tirer un seul coup de fusil, cela veut dire que le peuple de Côte d’Ivoire est fondamentalement attaché à la paix.
Dans ces conditions, quiconque vient à troubler cette quiétude est rejeté. Quiconque vient à lui offrir la paix est accepté et adopté.
Au regard des événements qui se sont succédé au cours des dix (10) dernières années dans notre pays, le Président Laurent Gbagbo se présente comme un bâtisseur de Paix.
A ce titre il est automatiquement adopté et accepté par les ivoiriens dans leur immense majorité dans la mesure où il est en phase avec leurs aspirations profondes du peuple de Cote d’Ivoire. C’est ce message que nous allons envoyer à la communauté internationale le 28 novembre 2010.
Le résultat du premier tour nous interpelle tous. Il nous invite à la mobilisation derrière le Président Laurent Gbagbo.
A cette phase critique de notre histoire, nous avons le devoir de compter sur nous-mêmes, sur notre propre génie en rappelant à tous ceux qui ne l’auraient pas compris cet autre enseignement du Président Félix Houphouët-Boigny. En effet, le sage tout au long de sa vie n’a cessé de nous dire « unis, nous vaincrons, divisés nous perdrons ». L’heure est à l’union autour de la Cote d’Ivoire, notre pays. Comme l’histoire selon le sage « nous apprend qu’un pays qui se libére grace au concours d’un autre ne doit pas confondre la gratitude qui est humaine et l’asservissement qui dégrade l’homme, il nous faut rester vigilants. »

Mesdames, messieurs,
Au cours des dix dernières années, notre pays a été humilié. On nous a imposé ce qui est inacceptable ailleurs. Tant que l’instrument de discussion était la force brutale des armes nous avons plié, mais sans jamais rompre. Aujourd’hui l’occasion nous est donnée de dire au monde entier que nous voulons vivre en Paix; nos enfants veulent vivre en Paix ; nos petits enfants et nos arrières petits enfants veulent vivre en Paix. La seule façon d’exprimer ce désir c’est de voter massivement pour le Président Laurent Gbagbo. Aucun autre choix n’est autorisé.
Le rendez-vous tant attendu pour se prononcer librement, mais avec foi et amour en faveur de la survie de notre pays, la Côte d’Ivoire est programmé. Il appartient donc à chacun d’entre nous de s’organiser pour que le moment venu, c’est-à-dire le 28 novembre 2010, la Côte d’Ivoire toute entière réhabilite la Paix dans notre pays, réhabilite le travail et le mérite et mette enfin un terme à l’économie de prédation et à l’effroi sans fin sous lesquels nous avons vécu depuis huit ans.
Réhabiliter la paix, c’est réhabiliter la mémoire du Président Félix Houphouët-Boigny et de ses compagnons, paix à leurs âmes, eux qui ont toujours dit que la paix était un préalable à tout développement.
Mes chers frères er sœurs,
Le Président Félix Houphouët Boigny a coutume de dire que l’héritage ne vaut que par celui à qui il est légué. Dix-sept ans après la disparition du père de la Côte d’Ivoire moderne, le Président Félix Houphouët-Boigny, la question demeure.
Qui est le digne héritier du Président Félix Houphouët Boigny ? En d’autres termes, pour qui le Président Félix Houphouët-Boigny aurait-il voté s’il était encore vivant ? pour qui nous demande-t-il de voter de là où il se trouve ? A qui accorde-t-il sa bénédiction de là où il se trouve ?
Voici les questions auxquelles vos frères et sœurs du Mouvement pour la Réhabilitation du Débat et du Dialogue au sein du PDCI-RDA nous invitent à donner une réponse claire et sans équivoque.
Croyez-moi, répondre à ces questions nous demande de faire une incursion dans l’histoire des élections dans notre pays pour dire que si le vote ou l’élection est la clef de voûte du processus démocratique, il ou elle a des exigences qui sont encrées dans les choix opérés par les pionniers de notre présent, les fondateurs de la Côte d’Ivoire moderne.

Mesdames, messieurs,
Nous sommes une République, la République de Côte d’Ivoire, et non autre chose. Nous ne sommes pas une monarchie, encore moins un régime totalitaire. Nous avons opté librement pour la démocratie comme mode de désignation de notre chef dans la mesure où toute société humaine s’organise toujours autour d’une personne librement choisie.
Nous avons adopté le suffrage universel fondé sur le principe de « one man, One vote, une personne, une voix » comme source de la légitimé du pouvoir de celui qui nous gouverne. Nous avons choisi la limitation des mandats à la Présidence de la République.
En pareille circonstance, les critères de choix du leader ne doivent aucunement reposer sur la richesse monétaire, l’appartenance ethnique, l’appartenance religieuse, ou l’appartenance régionale. Les critères qui vaillent s’appellent VERTUS. On peut citer le courage, le patriotisme, l’amour du pays, le sens des responsabilités, le mérite…
En intégrant cette donnée, nous finissons par comprendre pourquoi depuis 1946, nos grands parents, les pionniers de notre présent nous ont enseignés qu’en « démocratie l’électorat d’un parti n’est jamais fixé une fois pour toutes ».
C’est pour que cela soit bien compris de tous que le Président Félix Houphouët-Boigny nous enseigne que : « celui qui offre aux autres le rayonnement d’un comportement aimable fait non seulement le bonheur des autres mais aussi son propre bonheur. » fin de citation.
En clair, si tu veux être élu, bats-toi pour que ton projet de société fédère les intérêts vitaux du peuple dans sa diversité, donc sans exclusive ; c’est ce que fait le Président Laurent Gbagbo.
Si tu veux diriger les Ivoiriens, sois au service de la grande partie de l’électorat. C’est ce que fait si bien le Président Laurent GBAGBO en étant attentif aux souffrances de tous les ivoiriens ; en acceptant de se battre pour ramener la paix dans notre pays. Si tu veux être notre Président, sois courageux, sois proche des Ivoiriens, évite de les faire souffrir.
Le Président Laurent GBAGBO est courageux, il est proche de son peuple, il est avec son peuple. Il est aux côtés de son peuple pour relever les défis actuels et tracer les sillons du futur. Un tel homme qui aime son pays, mérite d’être réélu Président de la République.
Que doit-on entendre par majorité ? Que signifie électorat ?

Mes chers frères er sœurs,
Entendons-nous bien, la majorité électorale au sens houphouëtien du terme et même au sens universel du terme, ce qui féconde notre présent pour bâtir un futur paisible, n’est pas la majorité identitaire et sociologique.
L’électorat qui doit réélire le Président Laurent GBAGBO comme Président de la République, c’est l’ensemble de tous les nationaux Ivoiriens et Ivoiriennes qui sont en âge de voter (18 ans au moins en Côte d’Ivoire), qui sont prêts individuellement à accorder leurs voix à un projet qui prend en compte les intérêts de la collectivité et/ou de chacun, c’est-à-dire celui que propose Laurent GBAGBO, la survie de notre pays.
Il nous faut dès maintenant comprendre que l’électorat en démocratie ne doit jamais se confondre avec un groupe auquel on appartient de naissance et dont on ne peut sortir par décision individuelle. Cette confusion « détraque le mécanisme qui permet l’alternance au pouvoir des partis » ou des porteurs d’idéaux pour la communauté nationale et internationale. Elle conduit au chaos et à la désillusion.

Mes chers frères et sœurs,
Dans une démocratie, « majorité et minorité doivent rester des groupes aux frontières indéterminées et variables que les individus peuvent franchir facilement et librement dans un sens ou dans l’autre. Il est très dangereux de laisser croire que la loi de la majorité signifie que le groupe ethnique, linguistique ou religieux le plus nombreux est celui qui a le droit de faire la loi à tout moment et tout le temps.
Celui qui n’a pas compris cela n’a pas sa place dans le jeu politique ivoirien. C’est un danger public ; il faut mettre fin à sa nuisance en lui refusant tout suffrage.
A présent que devons-nous faire ?
La Côte d’Ivoire doit être pour nos enfants et petits enfants, un espace de liberté, de fraternité, de démocratie, d’équité, de justice, de paix et bien sûr de vérité. Le Président Laurent GBAGBO, comme Félix Houphouët-Boigny l’a fait hier, s’engage avec courage et détermination, à nous grandir à travers son projet de bâtir sur la démocratie et la prospérité, il faut y adhérer.
6 La vérité, c’est que notre pays est un Etat souverain et que par conséquent, personne à notre place ne doit fixer le cap de notre destin. Cela mérite d’être dit, cela mérite d’être entendu ici comme ailleurs. La meilleure façon de le faire, c’est de voter massivement le Président Laurent GBAGBO.

7 La vérité, c’est que dans la manifestation de notre attachement à la paix, nous devons reconnaître librement, en nous-mêmes celui ou celle qui a le profil du métier de chef de l’Etat et le soutenir sans calcul, sans réserve et sans état d’âme. Pour l’heure celui qui obéit à ce critère s’appelle Laurent GBAGBO. Un point, un trait.
8 La vérité, c’est que dans la vie de la Côte d’Ivoire, une élection qui met aux prises des fils de région, de religions et d’ethnies différentes, n’est pas une première. La Côte d’Ivoire est née dans l’élection à plusieurs candidats. A cette époque déjà, les Ivoiriens n’ont éprouvé aucune difficulté à se ranger derrière celui d’entre eux qui présentait le meilleur projet pour leur bien-être ; c’est-à-dire Félix Houphouët Boigny.
Aujourd’hui, Laurent GBAGBO s’est engagé à porter l’idéal pour lequel, nos ancêtres se sont battus, il faut le soutenir et le porter à la victoire.
9 La vérité, c’est que l’histoire de notre pays est faite de situations où l’on peut être d’idéologies différentes et accepter de construire ensemble. Tenez, le 06 octobre 1951, voici ce que disait au stade Géo André, le Président Félix Houphouët Boigny : « je saisis l’occasion pour saluer Dignan Bailly, un ami retrouvé, qui tout en restant socialiste, vient de jeter avec moi les bases d’une étroite collaboration, mettant ainsi fin à une querelle stérile qui n’a que trop duré au préjudice des masses que nous représentons… Demeurez, si vous le voulez, dans vos nouveaux partis… Mais ce qui compte le plus à nos yeux, c’est l’union de tous les hommes de bonne volonté, par-dessus nos partis politiques et dans l’intérêt supérieur de la Cote d’Ivoire…» Cette phrase qui défie le temps veut dire que, quand l’intérêt général le commande, les Ivoiriens trouvent toujours et ce depuis 1945, les ressources nécessaires pour donner à leur pays, la chance d’exister et de compter.

10 La présidentielle du 28 novembre 2010 doit se dérouler et nous avons le devoir de respecter les mémoires de nos ancêtres en nous rangeant derrière celui qui porte un idéal de paix, de liberté, de dignité pour le peuple ivoirien : celui-là, c’est Laurent GBAGBO.

Nous, disciples de Félix Houphouët Boigny, qui pendant 40 ans avons eu le privilège d’incarner l’espoir pour la majorité des Ivoiriens avons le devoir d’admettre que dans cette recomposition de la majorité électorale, la vérité est du côté de Laurent GBAGBO. Il faut le lui reconnaître et le faire savoir dans les urnes.

Que dire au terme de mon propos ?
La Côte d’Ivoire, notre pays est née dans les luttes électorales. Les premières luttes électorales qui datent de 1945 (commission municipale d’Abidjan) ont jeté les bases de la liberté dans notre pays et allumer la flamme du débat et de la philosophie de la paix par le dialogue appelée Houphouëtisme.
Si tout au long de notre histoire vieille de seulement cinquante ans, nous avons transcendé nos intérêts partisans pour rester debout au moment où l’on annonçait notre fin, c’est que jamais nous n’avons triché avec la vérité.
L’élection du 28 novembre 2010 constitue un vrai référendum sur l’existence de la Côte d’Ivoire en tant que nation souveraine.
Il est à souhaiter qu’elle prenne l’allure du plébiscite de Laurent GBAGBO contre les menaces extérieures et tous ceux qui leur sont favorables, afin que vive à jamais ce sursaut national annonciateur des nouvelles frontières de la majorité électorale, gage de paix pour nos enfants et petits enfants.
Le Président Félix Houphouët-Boigny qui a bénéficié du soutien de son peuple saura mieux que quiconque apporter sa bénédiction à notre sens de l’intérêt général pour que la victoire de Laurent GBAGBO au soir de la prochaine présidentielle achève de convaincre tous nos détracteurs sur notre capacité à être un, quand cela est nécessaire.
Vive la paix, prêt pour l’alternance politique,
Fidélité à la mémoire du Président Félix Houphouët Boigny pour la victoire de Laurent GBAGBO et la sauvegarde de la Cote d’Ivoire.
Je vous remercie
Abidjan, le 17 Novembre 2010

GNAMIEN Yao,
Président du MRDD – PDCI

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