Le tribunal de Première Instance d’Abidjan Plateau, a condamné Debordo Leekunfa, artiste ivoirien du style « coupé décalé », à 12 mois de prison avec sursis pour diffamation et invectives proférées sur les réseaux sociaux. La décision, rendue le 25 novembre 2025, intervient après plusieurs semaines de tensions médiatiques.
Au cours de l’audience, Debordo a reconnu les faits et présenté ses excuses aux autorités et à ses compatriotes, promettant de ne plus se livrer à des propos diffamatoires en ligne. Des gestes de réconciliation ont également été remarqués :
Kerozen DJ, impliqué indirectement, a publiquement pardonné à Debordo et plaidé en faveur de sa libération.
Nama Bouaké, victime dans l’affaire, a renoncé à réclamer des dommages et intérêts.
La défense, assurée par Maître Minta Daouda et Ange Rodrigue Dadjé, a insisté sur l’éducation au respect sur les réseaux sociaux, surtout pour les personnalités publiques.
Grâce à ces démarches conciliantes, Debordo Leekunfa pourra regagner son domicile dès cette semaine, et l’affaire rappelle l’importance de la dignité et du respect dans les échanges en ligne.






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