L’interview récente de Tidjane Thiam sur France 24 révèle une figure politique et économique qui incarne l’excellence, la rigueur et l’ambition. Fort de son expérience à la tête de grandes institutions financières internationales, il se positionne aujourd’hui comme un acteur incontournable du développement ivoirien.
Un parcours d’exception au service du pays
Tidjane Thiam, par son parcours exceptionnel, incarne l’image d’un leader déterminé à moderniser la gouvernance ivoirienne. De ses années en tant que ministre du Plan en Côte d’Ivoire à ses réussites dans la finance mondiale, il a su démontrer une maîtrise des enjeux économiques et une capacité à gérer des situations complexes. Son retour sur la scène politique ivoirienne est porteur d’espoir pour une gestion plus efficace et transparente des affaires publiques.
Une vision claire pour l’avenir
Lors de son interview, Tidjane Thiam a mis l’accent sur l’importance d’une gouvernance axée sur l’intérêt général, la transparence et la compétence. Pour lui, le développement de la Côte d’Ivoire passe par une mobilisation des compétences locales et une gestion rigoureuse des ressources. Il prône une économie inclusive, capable de réduire les inégalités et d’assurer une prospérité partagée.
Une détermination à toute épreuve
Malgré les critiques et les oppositions, Tidjane Thiam reste fidèle à ses principes et à sa vision. Son parcours prouve qu’il sait faire face aux défis avec résilience et intelligence. Il incarne un leadership moderne, où la compétence prime sur l’appartenance politique ou ethnique.
Un appel à la mobilisation
Enfin, Tidjane Thiam lance un appel à l’union et à l’engagement de tous les Ivoiriens. Pour lui, le développement du pays est une œuvre collective, nécessitant l’implication de chaque citoyen.
Avec un tel leadership, la Côte d’Ivoire pourrait bien amorcer une nouvelle ère de croissance et de stabilité, fondée sur l’excellence et la bonne gouvernance.
TIDJANE THIAM SUR FRANCE 24 :
– « Contester ma nationalité est une insülte à la Côte d’Ivoire. Ma famille est la seule ayant donné 5 Ministres au pays. Mon père a été ministre sous Houphouët, j’ai été ministre sous Bédié, mon frère Daouda a été ministre sous Guéï, mon frère Aziz a été ministre de Gbagbo et maintenant mon frère Augustin est ministre sous Ouattara. Ce n’est pas du népotisme mais du mérite. »
– « Je ne suis pas le candidat de la France. À l’époque j’ai enlevé à la France le plus gros contrat qu’on lui ait jamais attribué en Côte d’Ivoire qui était la centrale d’Azito. Cela m’a créé beaucoup de problèmes avec les entrepreneurs français. Quand je suis arrivé à la tête de DCGTX (BNETD), j’ai licencié 141 français sur 150. L’ambassadeur me demandait si j’étais pro ou antì Français? Je lui disais je suis pro Côte d’Ivoire. »
– « Concernant le Franc CFA, je crois que la monnaie est un attribut essentiel de la souveraineté pour un pays. Une nation qui n’a pas le contrôle de sa monnaie n’est pas vraiment souveraine. Cependant avoir une zone monétaire est un gros avantage. Et nos pays d’Afrique Francophone doivent apprendre à gérer une monnaie. »
– « L’enjeu de cette campagne n’est pas ma nationalité. C’est une manipulation du pouvoir. L’enjeu, c’est la Santé, l’éducation, le niveau de vie des populations. Incapables d’assumer leur bilan, ils se réfugient derrière ma nationalité. »
– « Il y a un climat de peur en Côte d’Ivoire. Je reçois constamment des menaces de mort. »
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