Lewis Hamilton «stupéfait» de décrocher la pole position de la course sprint du Grand Prix de Chine

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Le septuple champion du monde Lewis Hamilton s’est dit « stupéfait » d’avoir décrochér sa première pole position pour Ferrari lors de la course sprint du Grand Prix de Chine.

Hamilton a devancé Max Verstappen (Red Bull). Son coéquipier chez Ferrari Charles Leclerc quatrième et la McLaren de Lando Norris sixième.

Le septuple champion, huitième qualifié et neuvième pour ses débuts chez Ferrari en Australie le week-end dernier, a déclaré : « Je suis un peu surpris ».

« Je ne savais pas quand nous arriverions à cette position et, après le week-end dernier, le début de semaine a été difficile. Je suis arrivé ici avec agressivité et avec l’intention d’aborder le week-end et de placer la voiture dans de bonnes conditions. »

L’orgueil du multiple champion? Ou simplement le réveil, c’est selon. Mais après un week-end complètement raté à Melbourne, Lewis Hamilton a donc signé le meilleur temps des qualifications sprint, vendredi, sur le circuit de Shanghai.

Pas de quoi crier victoire pour le septuple champion du monde, bien conscient du travail qui l’attend avec la Scuderia Ferrari. Mais un joli signe de reprise et d’espoir, quand même, pour la suite de la saison. Surtout qu’il n’était pas vraiment attendu. « Oh, vraiment ? », s’est tout d’abord étonné « LH44 » après avoir été prévenu de sa pole position via un message radio. Avant de rire presque nerveusement, de joie comme de soulagement.

Derrière Verstappen, deuxième, Oscar Piastri (McLaren) a pris la troisième place, devant Leclerc et la Mercedes de George Russell et Norris.

Frédéric Vasseur, directeur de l’équipe Ferrari, a déclaré que ce résultat reflétait la compétition serrée entre les quatre meilleures équipes et la difficulté d’obtenir les bonnes fenêtres de réglages et un comportement optimal des pneus.

Vasseur a déclaré : « La journée a été un peu difficile à lire. McLaren était en tête ce matin et en Q1, nous étions devant. En Q2, ils étaient excellents, et en Q3, nous étions de retour.

Je pense que c’est lié à la gestion des pneus. Si vous n’êtes pas dans la bonne fenêtre, vous avez beaucoup de mal, mais c’est bon pour l’équipe.

Nous avons eu un week-end difficile à Melbourne, mais vendredi a été bon. C’est un peu comme ce week-end, avec beaucoup de hauts et de bas.

C’est exactement la même chose que l’an dernier : lors des quatre dernières courses, trois ou quatre équipes ont pu gagner avec 30 secondes d’avance d’un circuit à l’autre, selon les pneus. »

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