Parce-que le Pouvoir du dernier mot doit rester au DROIT /à la JUSTICE et non au Pouvoir Exécutif (Trias Politica)
Le Président du PDCI-RDA, Tidjane Thiam (Houphouët-Boigny II), a été assigné en justice par un groupe de personnes se présentant comme des cadres du parti, exigeant sa démission pour “moralité douteuse”.
Derrière cette comédie judiciaire, qui pourrait tirer les ficelles ?
Le camp Jean-Louis Billon et Thierry Tanoh (Opposants internes à Thiam)
Le RDR devenu RHDP (Manœuvre du pouvoir pour fragiliser le PDCI-RDA)
Les plaignants eux-mêmes (Manipulation ou agenda personnel ?)
Le PDCI-RDA (Thiam) (Une stratégie interne pour asseoir son autorité ?)
RÉPONSE À LA CONVOCATION
À l’attention des militants et sympathisants du PDCI-RDA,
Face aux récentes tentatives de déstabilisation du parti et à l’assignation en justice de notre Président, il est primordial de rappeler certains faits essentiels et d’apporter une clarification juridique et politique.
1. Une interprétation biaisée des textes du parti
ARTICLE 41: CRITERES DE CANDIDATURE
Le candidat à la Présidence du PDCI-RDA-RDA doit :
– Être ivoirien :
– Être de bonne moralité :
– Jouir de ses droits civiques et politiques ;
– Être âgé de 40 ans au moins :
– Être à jour de ses cotisations :
– Avoir été Membre du Bureau Politique pendant au moins dix ans
– S’acquitter d’une contribution au financement du Congrès dont le montant est fixé par le Bureau Politique.
L’article 41 des statuts du PDCI-RDA définit les critères de candidature à la présidence du parti. Parmi eux, il est clairement stipulé que le candidat “doit être ivoirien”. À aucun moment, le texte n’exige que le candidat soit exclusivement ivoirien ou qu’il ne puisse pas avoir eu une autre nationalité par le passé.
Cette exigence signifie simplement qu’au moment de l’élection, le candidat doit détenir la nationalité ivoirienne, ce qui est le cas du Président Tidjane Thiam, qui a effectué les démarches nécessaires pour clarifier son statut. Toute autre interprétation est une extrapolation visant à manipuler l’opinion publique.
2. Une tentative manifeste de manipulation politique
L’assignation en justice repose sur des arguments fallacieux et un agenda politique visant à fragiliser la cohésion du parti à l’approche des échéances électorales. Il est évident que cette action est orchestrée par des acteurs internes et externes qui, faute de proposer un projet fédérateur, tentent d’utiliser la voie judiciaire pour contester une élection démocratique et transparente.
3. Un processus électoral respecté
Le Président Tidjane Thiam a été élu conformément aux règles du parti, dans le respect des procédures établies par le Bureau Politique et le Congrès. Les membres du comité d’organisation ont validé sa candidature, attestant qu’il remplissait toutes les conditions requises.
Dès lors, toute contestation a posteriori relève davantage d’une manœuvre de déstabilisation que d’une véritable volonté de respecter les textes.
4. Un appel à l’unité et à la vigilance
Le PDCI-RDA est un grand parti, bâti sur des principes démocratiques et une tradition de débat constructif. Nous appelons nos militants et sympathisants à ne pas se laisser distraire par ces tentatives de diversion.
Nous réaffirmons notre engagement à défendre les intérêts du parti et à préparer l’avenir avec détermination. Ceux qui cherchent à semer la division et à instrumentaliser la justice à des fins partisanes doivent comprendre que le PDCI-RDA restera uni et debout face à ces attaques infondées.
Conclusion
Cette assignation est une distraction inutile qui ne résiste ni à l’analyse juridique ni aux faits. Nous restons concentrés sur l’essentiel : l’avenir du PDCI-RDA et la victoire de notre projet politique pour la Côte d’Ivoire.
Restons mobilisés, vigilants et solidaires.
En avant pour un PDCI-RDA fort et uni !
JACQUES ROGER
LECONSERVATEUR
THIAMEMENT ET SÛREMENT
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