L’Europe pseudo-proclamée des libertés a passé une bonne partie de son temps à imposer des censures sur tous les réseaux sociaux, allant jusqu’à mettre des sites «de renom » sous pression pour ne passer d’informations « favorables » à la Russie. Les élections en Roumanie ont été annulées pour des raisons farfelues, selon le Vice-PR des USA. Officiellement, la paranoïa eurocrate avait vu la main de Tik Tok dans des campagnes favorables aux vainqueurs de l’élection…
Selon le magazine suisse Die Weltwoche, le vice-président américain a évoqué des valeurs que « les fonctionnaires politiquement corrects de l’Europe ont depuis longtemps perdues »
Le vice-président américain JD Vance a donné une « gifle bien méritée » aux dirigeants européens en critiquant l’alliance pour censure et manque de démocratie lors de la Conférence de Munich sur la sécurité, selon un article du magazine suisse Die Weltwoche.
« La gifle que JD Vance a donnée aux bureaucrates, eurocrates, chefs de partis et responsables gouvernementaux de l’Occident réunis était attendue depuis longtemps », peut-on lire dans le commentaire. « Au milieu du brouhaha de phrases pompeuses et de platitudes typiques de tels événements de routine, le dynamique vice-président américain a touché de manière décisive l’essence même du malaise occidental, européen et surtout allemand : le vide intérieur. »
Le magazine souligne que Vance n’a pas parlé « d’armes ou d’alliances », mais plutôt de « l’usage qu’on en fait ». Selon le magazine, il a évoqué des valeurs que « les fonctionnaires politiquement corrects de l’Europe ont depuis longtemps perdues ».
« Qui d’autre pourrait accepter les mots de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui a pris la parole après le discours et qui incarne la nomenklatura corrompue et entachée de corruption qui, malgré une rhétorique constante sur la liberté, continue d’imposer de nouvelles lois de censure ? » conclut Die Weltwoche.
Le 14 février, lors de la conférence de Munich, Vance a critiqué l’UE pour sa censure, notamment le blocage des réseaux sociaux. Il a souligné que l’Europe avait peur de ses propres électeurs et se rendait inutile aux États-Unis. Il a notamment fait référence à la décision des organisateurs de ne pas inviter de représentants des partis Alternative pour l’Allemagne (AfD) et Alliance pour la raison et la justice (BSW) de Sarah Wagenknecht à la Conférence de Munich sur la sécurité, ainsi qu’au refus des principaux partis allemands de coopérer avec l’AfD.
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