Chronique: L’Élection APAISÉE ne se décrète pas, elle germe d’un processus situé au dessus des pouvoirs d’État

Bon ! Nous y sommes en nouveau dans le capharnaüm kafkaïen des chansons, tambours, et trompettes tous rythmés chez pétaudière aux sons des élections seront APAISÉES comme en 2000-2010-2015-2016-2020 et logiquement 2025 ne pouvait pas manquer à l’appel d’une situation inchangée et gérée par le même système. Il faut l’avouer ici, face à la persistance de la crise sciemment entretenue à dessein, que jusqu’en 2020 la LC-CRS avait espérer pour 2025-2030 des élections qui diront non ! À la Côte-d’ivoire des individus, a la Côte d’ivoire des élections personnifiées.

Et que les élections de 2025-2030 allaient être celles du peuple. Donc, qu’elles pouvaient être celles des jeunes loups, tous fondus dans un moule ivoire tricolore, donc, incolore, mains dans les mains, coudes-a-coudes et côtes-a-côtes dans un attelage hétéroclite balayeur du tous pourris. Qui ne retiendrait en primauté que la nation ivoirienne souveraine, dans la ligne directe d’une déferlante tricolore, Orange-Blanc-Vert irrésistible, « sans mange-mils saisonniers  qui n’ont de soucis que pour leurs ventres ». Mais hélas ! Revoilà aux premiers jours de 2025, le pauvre peuple dans son entièreté en nouveau aux aguets à tout redouter des inconséquences, des insouciances et des légèretés électorales habillement saupoudrées, fricotées et rafistolées, dans des actions socio-politico-judiciaires non-maîtrisé, divaguant ostensiblement dans les fibres de droits civils et politiques très sensibles, pilotée par un néo-monarchisme débridé, devenu sourd et aveugle. Et le peuple ivoirien est anxieux et halluciné, craignant qu’elles ne tournent à de nouvelles tragédies politico-sociales dans son pays, la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny en octobre 2025. Le présage prescrit l’inquiétude et l’horizon est très sombre et nuageux, annonçant l’orage. Oui aujourd’hui, chaque citoyen vit, rempli d’appréhension, quand le monarque républicain et ses séides phalangistes entonnent les ritournelles de la rhétorique autosatisfaction, autour d’un processus électoral, qui ne rassure personne.

Même dans les villages plus reculé du pays «de FOLON à SUD COMOÉ et de SAN-PDRO à BOUKANI», l’inquiétude à pris place dans les têtes pensantes. Les morts du charnier de Yopougon en 2000. Les morts de la guerre 2002-2010. Les morts de la crise postélectorale de 2011. Les urnes référendaires cassées en 2016, qui annule de droit, en «DCP» le référendum</. Les morts de l’élection présidentielle de 2020. Au total plus de 7000 zigouillés sur l’autel de l’acquisition/conservation du pouvoir d’état, reviennent dans les têtes pensantes et hantent les sommeils. Oui, octobre 2025 est redouté. Notre pays est confinée dans un cercle vicieux, d’affaiblissement démocratique, de dysfonctionnement politique, de désharmonie socioculturelle,  d’anomie des normes de régulations sociopolitiques, de vermoulures institutionnelles, de désuétudes du système électorale et son inadaptation aux méthodes et pratiques coutumières, source de toutes les crises. *- Oui, retenons-le une fois pour toute, la clé d’apaisementdes élections de 2025 n’est pas à la tête des candidatures personnifiées ou dans des satisfactions nombrilistes et claniques. Elle est incontestablement dans le système électoral et dans l’organisme électoral. C’est-à-dire: une commission électorale Autonome et Apolitique sans bidonnage politique. Un Juge des élections impartial « conseil constitutionnel judiciaire ». Un Découpage électoral équilibré. Une liste électorale inclusive et consensuelle. Une identification claire des électeurs. Une Condition claire d’accession à la candidature sans obstruction. Les Instruments et modes de scrutins. Des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale, Etc. Ceci aboutit sur un nouvel ordre conventionnel, qui désarme la violence politique. Parce qu’il ne miroite pas un président de la république désigné d’avance dans une compétition électorale, d’où les candidats des partis et mouvements politiques partent sur la même ligne de départ avec les mêmes chances vers la conquête du pouvoir d’état. Ou l’arène politique n’est plus la plantation privée d’un Rassemblement politiques, qui peut à volonté soldé les acquis démocratiques, annihiler la liberté d’expression, imposer les travers politiques d’Animosité aux autres citoyens.Donc, se faisant les élections APAISÉESressortiront de l’acceptation par tous des résultats officiels, par le truchement du respect de son cadre organisationnel. Il devient dès lors très difficile pour les participants de ne pas accepter les résultats de l’élection et la légitimité des élus, si le processus électoral est ainsi consensuel, libre, juste, exact, transparent, pour avoir acquis la confiance de TOUS.

*-L’élection APAISÉE résulte de l’acceptation par tous des résultats, par le truchement de son cadre organisationnel.

Les élections APAISÉESne se décrète pas, ne se proclame, elles se trouvent au bout d’un processus qui transcende les tenants momentanés du pouvoir d’état. Ou les citoyens, les partis politiques, les candidats comme tous autres se mettent d’accords sur un mode d’organisation, sur un processus adapté, sur des principes et des règles  coutumières à fondement de droits international coutumier qui mettent tout le monde d’accord et rassurent tout le monde. Parce que les élections sont un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes qui se situent au-dessus, en droit et en fait, de l’architecture pyramidale des institutions de la république. Et c’est au terme des élections, qu’on réaffirme la souveraineté populaire du peuple souverain, qui  enfante par ce biais la représentation nationale élus, y compris la présidence de la république et les élus des institutions républicaines. Ici-Là il n’y a pas de nominations par le pouvoir exécutif dans le pouvoir législatif « sénat », des élus qui doivent tous être du suffrage universel. Même à la tête des institutions judiciaires les dirigeants doivent être élu,  parce que la neutralité et la probité sont exigées par leurs fonctions, donc ils doivent être responsables devant des électeurs dont le mode de qualité d’électeurs doit obéir aux règles strictes de l’indépendance de la corporation judiciaire. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, « sans interférence politique dans le processus électoral devenu Autonome, Apolitique et inamovible ».

Aussi et surtout, de même, les partis et les candidats ont appris qu’ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Donc ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Et ces engagements internationaux, inclut un engagement à faire preuve de transparence réaliste et d’extrême responsabilité. Oui, quand il s’agit de l’organisation des élections démocratiques pluralistes et multipartites, il n’y a pas de candidat du président de la république désigné arbitre, qui décide de tout le processus électoral et juge de sa validité. Ici on ne se revendique pas détenteur du pouvoir d’état, autour du processus électoral, juridiquement situé hors de ta portée de main, dans un état républicain de droit et démocratique. Ici il n’y a que des citoyens libres, égaux en droit et en devoir, dirigeants de partis, candidats potentiels et citoyens électeurs, qui discutent des conditions des élections démocratiques pluralistes et multipartites. Consensuelle-ment au terme d’un dialogue ouvert à tous. Dont la résolution certifie la fiabilité et le climat apaisé qui va résulter des élections.

*-L’élections apaisée dépend du système et du matériel électoral adapté au conteste de crise électorale ivoirienne.

Citoyen ! Voilà en gros les mesures coutumières, ci-dessus mentionnées, qu’il faut faire en commun, pour avoir des élections APAISÉES, qui semble être la préoccupation majeure  et le souhait de tout le monde, pour accompagner un l’indispensable organisme électoral fiable, impartial, neutre, Apolitique, Autonome, Inamovible totalement indépendant des acteurs politiques. Oui ! Nous avons toujours dit que, les objectifs fondamentaux de tous les systèmes électoraux relèvent de la nécessité de tenir des élections propres, démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes, conforme aux obligations internationales de tout état civilisé. Donc, notons que, « les obligations étatiques relatives aux élections démocratiques relèvent de cinq grands principes du droit international coutumier «civils et politiques» : 1) L’exigence de tenir des élections sans emprise extérieur des institutions politiques étatiques, des hommes acteurs politiques, 2) L’exigence fondamentale relative à la primauté du droit à l’égalité de tous citoyens participants en chance égale. 3) L’engagement de l’état à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations internationales de neutralité, de probité, d’impartialité, de protéger les droits civils et les libertés, démocratiques  4)-L’exigence de la totale indépendance procédurière, centrée sur les conditions de légalité, d’impartialité du processus électoral à proprement parler,  et 5) Assurer la sécurité du processus électoral et des administrateurs électoraux, et garantir les droits et les libertés individuels sans restriction juridique et judiciaire. Oui, Mise ensemble ces exigences orientent une démarche de l’évaluation graduelle et graduée des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine «droits civiles et politiques» sans aucune obstruction. Ou l’égalité entre les hommes est la centralité absolue de le processus et de tout le système électorale, au mépris des intérêts-PERSO». 

Bon !  Nous insistons a la LC_CRS par prérogative sacerdotale qui emporte serment et par devoir citoyen, puisqu’on peut renoncer à un droit, mais pas à un devoir citoyen. Nous sommes convaincus d’une évidence absolue que, le destin de la côte d’ivoire de demain sera ce dont nous déciderons aujourd’hui tous ensembles dans la société pour avoir des élections apaisées. Et Comme dit plus haut, les objectifs fondamentaux de tous les systèmes électoraux de par le monde relèvent de la nécessité de tenir des élections propres, libres, justes, équitables et transparentes. Voici notre plaidoyer ci-dessous de ce que nous devons faire tous ensembles Aujourd’hui pour avoir des élections apaisées. Commençons par le système électoral, ensuite le matériel électoral, pour adapté le système électoral ivoirien au conteste de crise socio-politico-électoral de la cote d’ivoire. «*- 1 Une commission électorale Autonome, Apolitique, Inamovible, qui gérera librement tout le système électoral sans aucune interférence des institutions politiques étatiques, des partis politiques et groupements politique, des associations à but politiques et des hommes politique. Qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». *-3- Qui procédera à un Découpage électoral bien équilibré, sous les conseils des experts qu’elle s’attachera. *-4- Qui produira une liste électoral consensuelle inclusive  *-5- Qui fera une identification claire des électeurs fondée sur une option claire de nationalité *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux élections *- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et des modes de scrutins adapté *- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de électorale pour, le bon fonctionnement de son organisme. L’apaisement résulte de la confiance de tous.

*- Quand les résultats rencontrent agrément et confiance, et respect de tous, les élections sont ainsi APAISÉES.

Donc, un organisme électoral fiable, impartial, neutre, Apolitique, Autonome, Inamovible totalement indépendant des acteurs politiques, qui met tout le monde en CONFIANCE et tous les acteurs d’ACCORD de par sa capacité a organisé des élections démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres qui rassurent tout le monde, et qui donnera les mêmes chances à chaque citoyen. Dès lors pour l’opération de vote « scrutin au suffrage universel » nous devons prendre certaines mesures qui prise ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle des élections, qui enfantent le pouvoir d’État toujours dans le sang, par une vision électorale tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie coutumière, de la stabilité sociopolitique, de la paix pérenne avec la reconnaissance de tous dans son originalité absolue à être candidat. Pour en arriver-là  il faut inciter les 50% du corps électoral en grande partie ivoirien de naissance ou Binational, à s’inscrire sur la liste électorale en offrant à tous, la gratuité des cartes nationales d’identités indispensables à la participation de tous aux élections. Ici une grande partie du potentiel de l’électorat total «30% d’ivoirien de souches» est exclue de fait, par le coût très élevé de la carte nationale d’identité au-dessus de leurs moyens du moment. Surtout qu’il faut d’emblée se faire délivré des copies d’extrait de naissance et un certificat de nationalité qui ont tous un coût, et aussi payé le frais de transports pour aller dans les lieux d’établissement des pièces nationales d’identités, indispensable à la participation aux élections comme électeurs ou candidats peu importe.

*-2- Aussi de réguler le découpage électoral pour l’équilibré sur la basée de la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale nationale, qui permettra d’obtenir une majorité parlementaire claire. 3* exiger l’élection des sénateurs au suffrage universel direct, et pour ainsi obtenir une majorité d’élus locaux claire conformément aux règles du suffrage universel direct «vote populaire». 4* Et voir au rabais les cautionnements électoraux, 5.000 000 F  la présidentielle, 2 500 000 F les législatives « députations-sénatoriales » tous aux suffrages universel direct  pour avoir des élections propres dans les échéances électorales sabbatiques ou probatoires jusqu’en 2030. Et faire des élections à venir un outil de régulation sociopolitique.*-5- Et s’évertuer tous ensemble, «citoyens», de faire revenir l’abstention systématique électorale dans les urnes. Convaincre les dégoutés du système électorale. Persuader le vote  protestataire. Rassurer le vote indécis. Faire décider le vote blanc. Instruire le vote nul de la bonne manière de voter. Eclairer le vote monnayable qu’il doit prendre l’argent du candidat donneur et voter contre lui, en s’affirmant comme citoyen libre de toutes contrainte, que sinon il s’affirme citoyen vache qui ne demande qu’a manger. En visant obligatoirement les 80% minimum à 85% moyenne, et 90% maximum et plus 95% de taux de participations. Pour la LC_CRS parolier du citoyen, ceci est d’une extrême facilité surtout avec le déferlant Orange-Blanc-Vert bien intéressée au devoir absolu de déconnecter le peuple articulé au train d’enfer et de damnation de crise électorale.

*-6- Et en ensuite de s’attelé à veiller sur le mode de scrutins et les instruments de scrutins dans leurs ensemble. Et d’empêcher toutes obstructions judiciaires aux droits civiques et politiques, qui permettent à tous de participer à la vie publique et politique du pays. Donc, s’opposé à toutes obstructions judiciaires politiciennes fait à un citoyen libre, totalement libre, de prendre part aux élections et pour l’empêcher de se porter candidat, d’être éligible ou d’être électeur et de voter aux élections. Puisque, la citoyenneté se définit, en termes de participation à la vie publique de la cité. *-6 L’Annulation pure et simple du parrainage des candidatures. Oui, le parrainage des candidats par des élus ou par les signatures citoyennes pour être admis candidat, est un procédé peu démocratique. C’est un outil manifeste d’élimination électorale avant le suffrage universel direct, et un objet d’obstruction pouvant s’opposer à tous candidats gênants à l’électorat épars dans toute l’assiette territoriale. Et surtout le plus souvent ces signatures sont monnayables pécuniairement ou politiquement « je soutien ton parrainage et tu me soutien électoralement, en politique  Si ? EN CAS ?», il n’y pas plus démocratique qu’un citoyen égal un vote au cours des élections au suffrage universel direct, ou tout le monde par sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état ou des postes électifs mis en compétition de représentativité nationale ou locale sont soumis aux suffrages universel direct.

*-7 Et ensuite instruire les citoyens libres qu’il faut que chacun soit le gendarme de son Ami dans le processus électoral, pour éviter, l’obstruction massive pouvant être faites aux nationaux dans l’obtention du droit de vote. Et le possible octroi illégal ou l’acquisition illégale du droit de votes, par la nationalité frauduleusement acquise et sciemment orchestré par un parti politique ou par un groupe de partis politiques, sinon par le pouvoir d’état. Surtout pour éviter la Fraude massive lors de l’enrôlement sur les listes électorales des personnes de nationalité étrangères, en instituant qu’un pétitionnaire qui présente une pièce d’état civil établie au Viêtnam fassent la preuve de sa naissance par un ivoirien résidant ou qui résidait au Vietnam « acte de naissance et la pièce d’un parent, père ou mère, le certificat de nationalité exemptés de frai pour les citoyens ». Et l’introduction d’un système technique qui permet de détecté du tic-au-tac les fraudes qui permettront le vote multiples. Et d’y veiller absolument, parce que ce genre de trucage qui échappe aux citoyens libres et souvent à l’organisme électoral, qui se concentrent uniquement sur l’opération de vote dans les urnes. Et souvent ces fraudes-là difficiles a détectés dans l’opération de vote commencent dès le recrutement des agents et souvent par les entreprises fabriquant, contrôlant ou certifiant le système de compilation des votes et des  machines de votes. Donc, indétectables le jour de l’opération de vote.

*-8- MAINTENANT, quant aux instruments de vote à choisir, il nous faut opter clairement pour le vote mécanique ordinaire dans la phase sabbatique ou probatoire. Les urnes transparentes et l’accès du public à la vérification du vote ont l’avantage de garantir la confiance de tous donc, d’avoir des élections apaisées. Donc, proscrire d’emblée le Vote électronique qui est très propice au trucage. Ce vote électronique a été expérimenté pour la première fois en Belgique en 1991. Mais n’a jamais été considéré comme une évolution du système électoral universel, au contraire il a démontré toute ses failles, qui ont donner une véracité incertaine au résultat des votes et est très couteux, plus de 10.000 CFA contre moins de 1000  CFA pour le vote mécanique a bulletins traditionnel par électeur et par jour d’élection. Le Vote électronique transporte de multiples failles. La machine à voter a beaucoup plus de chances de tomber en panne que l’urne, dispositif infiniment plus simple. Et puisqu’il y a un logiciel dans la machine à voter, ce logiciel peut être bogué, même sans intention de frauder. ETC. Et Ce qui est très grave, avec le vote électronique, la seule chose dont on est vraiment sûr, « l’organisme électoral et les citoyens libres », c’est de ne pouvoir rien contrôler.  Même si avec le vote électronique, il est possible d’obtenir des résultats presque instantanément dès la clôture du vote grâce au comptage automatique des « bulletins », mais une élection n’est pas une course effrénée contre la montre, la seul chose qui compte dans une élection est la fiabilité des résultats. Donc le vote électronique n’est pas une évolution électorale. Il convient donc, de l’écarté d’emblée du processus sabbatique ou probatoire.

9*- Et Revoir, les modes et conditions du vote par correspondance et du vote par procuration, ces deux votes sont d’avantage sujet a la fraude électorale dans la mesure où l’identité des votants et le contrôle de la signature sont très difficiles à vérifier, ce qui permet des trucages, par falsification et faux-usage-de-faux dans les circonscriptions électorales, par des indélicats qui jouent ainsi sur le vide laissé par l’abstention. Donc, il faut que l’exercice du devoir électoral soit exclusivement personnel et qu’il soit sans obligation juridique. Enfin, les urnes transparentes et l’accès du public à la vérification du vote ont l’avantage de garantir la confiance de tous. Le vote papier est d’actualité électorale, il est loin d’être obsolète et il peut être même associé avec le vote électronique dans l’avenir apaisé afin de proposer une solution hybride. 10*- Ce qui est de la possible déclaration massive en nullité des votes valables des citoyens libres dans les fiefs d’un homme politique candidat comme en 2010, l’organisme électorale doit compter et recompter sans interférence aucune en seule maitresse du processus Et aussi de vérifier les grandes contradictions en nombres supérieurs ou inférieurs entre les votants inscrits sur les procès-verbaux des bureaux de votes et les bulletins de votes dans les urnes est ainsi vites détectées avant leurs arrivés aux lieux de centralisations des votes sous le contrôle du même organisme électoral Apolitique, Autonome, Inamovible totalement indépendant des acteurs politiques. Des pouvoirs d’état «exécutif, législatif, judiciaire » et toute influence/intimidation extérieure. Tous les experts électoraux te diront que, les lieux qui s’avèrent souvent comme le lieu de prédilection des grandes erreurs sciemment ou inconsciemment, qui aboutissent à la dénaturalisation des résultats, est les lieux de centralisation. Donc, avec le comptage/recomptage et vérification, les lieux de centralisation seraient ainsi sous contrôle. Et quand les résultats rencontrent agrément/confiance, respect de tous, les élections sont ainsiAPAISÉES.

Oui, la LC_CRS n’est pas de ce qui se leurre devant l’évidence, elle abhorre la politique de l’Autriche qui enfouille sa tête dans le sable pour éviter de voir le réel. Oui l’actuel système électoral, dans son administration, dans sa gestions, dans sa pratique, dans son mode opératoire, dans sa composition structurante, garantit pas une intégrité et une fiabilité des résultats du scrutin. Donc, la  LC_CRS n’est PAS PARTANTE de quelque manière que ce soit à ces élections d’octobre 2025. MOUK ! JAMAIS DE LA VIE ! DEMAIN !  Oui, l’administration électorale doit être organisée de manière APOLITIQUE, impartiale et équitable de sorte que les résultats du scrutin dépendent uniquement des suffrages librement exprimés par les citoyens libres de tous engagements. Tout le problème est là, la solution aux crises postélectorales aussi est là. Oui, la LC_CRS sait que, les élections peuvent aboutir sur TOUT. Donc, le mieux serait que les résultats des élections soient expression de la volonté exclusive du peuple ENTIER exprimé dans l’URNE électorale. Surtout que la règle qui régit les rapports interétatiques de la communauté internationale entre les états membres, étant l’interdiction d’ingérence ou d’interférence dans les affaires intérieures d’un état souverain et surtout de dire face aux plus grandes catastrophes électorales: «qu’il ne convient pas d’aller contre la volonté d’un peuple souverain consentant ». Tout au moins c’est ce qu’elle a soutenue en 1933, quand <le 30 janvier 1933, le président du Reich </Allemand Paul Von Hindenburg à appeler au pouvoir Adolf Hitler, chef du parti nazi (NSDAP) qui s’est fait ensuite élire le 05 Mars 1933 avec 43,91% des voix. Les élections peuvent aboutir sur TOUT. Sur ceux, Citoyen ivoirien ! Rien que pour la stabilité sociopolitique et la paix pérenne Houphouët-ienne pour DEMAIN, nous avons KOUMA Malgré-nous ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir, droit, liberté, justice  juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne. LC_CRS).

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