Musique: Abel Maxwell présent à Abidjan

La nouvelle étoile montante de l’afrobeats, Abel Maxwell accueilli comme un roi à l’Aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan.

Annoncé à cor et à cri depuis plusieurs semaines, la nouvelle étoile montante de l’afro-fusion, Abel Maxwell, est dans la capitale économique ivoirienne depuis le mardi 14 janvier 2025.

À son arrivée à l’Aéroport international Félix Houphouët-Boigny, les mélomanes ivoiriens venus en grand nombre pour la circonstance lui ont réservé un accueil des plus chaleureux.

« Je suis très heureux d’être à Abidjan dans le cadre d’une signature avec Universal Music. Les Ivoiriens sont formidables. Cette marée humaine traduit l’amour sincère que les Ivoiriens ont pour leur artiste. Je profite de l’occasion pour remercier les autorités ivoiriennes pour cet accueil. Vous savez la Côte d’Ivoire est une plaque tournante de l’Industrie musicale africaine. Et mes mélomanes sont bien nombreux sur les bords de la Lagune Ebrié. Le choix de la Côte d’Ivoire dénote l’immensité de la considération que les mélomanes ont pour leur artiste que je suis. Il est donc important pour moi de venir saluer et visiter ce pays qui fait le bonheur de nombreux musiciens », a tenu à préciser aux journalistes le génie de l’afro-fusion comme pour lever le voile sur sa présence en terre ivoirienne.

À Toronto où il vit depuis de nombreuses années, ce beau gosse de l’afro-fusion [ou afro-pop] ne cesse de remplir les salles grâce à la magie de sa voix mélodieuse, envoûtante, et saisissante, tout en s’illustrant tel un maître dans son art aussi bien dans les genres musicaux les plus complexes que dans ceux les plus accessibles.

On peut rappeler à toute fin utile qu’au titre de sa discographie, cette voix de l’afrobeats de la francophonie et des nord-américains compte à son actif cinq (05) albums, à savoir, Éponyme : Abel Maxwell (2008), Interludes (2015), Rupture (2016), Contractions (2020) et 5 Roses (2023) dans lequel figure le titre « Djin Kélélé » où il ressuscite le roi ivoirien du ziglibithy Ernesto Djédjé, à travers le son de la chanson « Ziboté».

De KOUASSI