Livraison de milliers de tonnes de Nitrate en Côte-d’Ivoire: Des Questions et des hantises

@enquetemedia Les communiqués Port d’Abidjan présentent une contradiction frappante : alors que l’on passe d’un communiqué à l’autre, les chiffres passent de 3000 tonnes à 7600 tonnes pour le client ivoirien à décharger au @PortAbidjan

@lemedia100filtr Port d’Abidjan : le navire “Zimrida” au cœur d’une polémique
Selon le directeur général du port d’Abidjan, Hien Yacouba Sié, la cargaison de nitrate d’ammonium transportée par le navire Zimrida a été commandée par un opérateur minier local auprès de la Russie. Initialement prévue pour septembre, cette livraison a été retardée en raison d’une avarie, nécessitant son transfert vers ce navire avant d’arriver à Abidjan.

Le directeur a assuré que la cargaison, jugée non dangereuse, sera transportée sous escorte vers les usines du client. Mais cette affaire, qui fait écho à des scandales passés, ne manque pas de susciter des interrogations et des inquiétudes au sein de l’opinion publique.

Nathalie Yamb @Nath_Yamb
Questions simples qui requièrent des réponses précises et sans détour #Zimrida

1) Pourquoi la quantité de nitrate d’ammonium annoncée pour déchargement au port d’Abidjan passe, selon même les autorités ivoiriennes, de 3000 tonnes le dimanche à 7654 tonnes le lundi?

2) Comment une cargaison qui avait pour destination finale initiale Las Palmas, se retrouve à être déchargée en Côte d’Ivoire, en Angola et en Tanzanie?

Comme je l’explique dans ma dernière vidéo, le nitrate d’ammonium est un composant chimique principalement utilisé comme fertilisant, mais qui peut être détourné à des fins dangereuses s’il tombe entre de mauvaises mains.

Sera-t-il envoyé aux supplétifs terroristes des Occidentaux pour fabriquer des engins explosifs improvisés qui vont endeuiller les populations africaines dans le Sahel, le Cabinda, en RDC, au Mozambique afin de permettre à l’Etat voleur et voyou français de faire main basse sur nos ressources?

J’espère que les services de renseignement de l’AES et des autres états du golfe de Guinée, d’Afrique Centrale et de l’Est suivent attentivement les manœuvres en cours.

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