Année électorale oblige, le gouvernement ivoirien a décidé de maintenir dans leurs fonctions huit préfets [expérimentés et proches du pouvoir], pourtant appelés à faire valoir leurs droits à la retraite. Une mesure critiquée, alors que l’ENA produit chaque année de nombreux hauts administrateurs talentueux, plus modernes, mieux armés intellectuellement face aux réalités contemporaines. Le paradoxe [l’ironie] est que le même gouvernement affirme vouloir moderniser l’administration publique, mais en maintenant des vieux préfets souvent mal formés, dans leurs fonctions.
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