La réalité observée tend à contredire l’optimisme irresponsable de certaines propagandes trompeuses.
En effet, lorsque les données tendent à indiquer que plus de 60% de la dette souveraine des États membres est en monnaie étrangère alors que l’on se prépare en théorie à changer de système monétaire avec le projet de l’Eco, il y a de quoi à être inquiet. Au surplus, dans un contexte où les États peinent encore à capter plus de ressources des PIB fantaisistes déclarés et encouragent les investissements de prestige ainsi qu’un train de vie démesurément incohérent, aggravé par la mollesse concernant la lutte contre la corruption et la mauvaise gouvernance, la situation sus décrite est plutôt très préoccupante. C’est l’une des causes qui entretiennent une prime de risque élevée et laisse la porte grande ouverte aux fonds vautours. Diverses analyses convergent dans ce sens. Les écailles devraient donc tomber des yeux de ceux qui tardent encore à voir ou qui refusent de le faire. @FinancialTime
, @AfricaIteligence, @SikaFinances, @BanqueMondiale
, @IMF
, etc.
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