Ces dernières années, les autorités ivoiriennes ont massivement investi dans le Nord, pris pour cible par les groupes islamistes armés. Dans ces zones fragiles longtemps délaissées, un nouveau défi s’impose, celui de l’accueil des réfugiés burkinabè. Reportage.
À Kafolo, le garage de Filniotré Kambiré accueille un apprenti mécanicien pendant six mois. © Florence Richard pour JA
« C’était inoubliable, mais nous avons presque oublié. » Assis sous un abri ouvert aux quatre vents surmonté d’une tôle ondulée, tandis qu’un ciel anthracite menace d’une puissante averse, le chef du village de Kafol Tiémoko Bamba se veut plein d’optimisme. Il ne s’attarde pas sur les « temps difficiles » traversés, sur cette période durant laquelle « le moral était tombé à zéro ».
La menace djihadiste, surtout dans le nord du pays, semble être maîtrisée. Depuis un certain moment, il n’y a plus d’attaques dans les zones à risques. Certains médias reviennent sur ce sujet en abordant les actions menées par le gouvernement pour arriver à ce résultat.
Le journal l’Expression barre à sa Une ce jeudi : « Zone nord/lutte contre le terrorisme : Comment Alassane Ouattara a contenu la menace djihadiste ». Le confrère Soir info qui a fait le même constat a aussi titré : « Côte d’Ivoire : Comment Ouattara a contenu la menace Djihadiste ».
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