Vecteurs aériens spécialisés, hélicoptères et opérations terrestres…, l’armée burkinabè a employé les grands moyens pour mater les terroristes qui ont attaqué une de leurs positions à Mansila le 11 juin 2024, a appris l’AIB de sources sécuritaires.
Le 11 juin 2024, des terroristes en grand nombre ont attaqué une position des Forces armées burkinabè dans la localité de Mansila, dans le Nord du pays. Très vite, des renforts ont été envoyés sur les lieux pour empêcher l’ennemi de s’en tirer à bon compte. C’est ainsi qu’un premier vecteur spécialisé a mené plusieurs frappes concluantes pour empêcher de nombreux criminels de rejoindre le fleuve Sirba.
D’autres arrivent au point d’eau et attendent impatiemment le retour des pirogues pour embarquer à leur tour. Ils ne traverseront jamais. D’autres vecteurs aériens s’invitent sur le champ de bataille et bombardent ces regroupements terroristes. Les piroguiers vont à la nage et laissent des motos flotter dans l’embarcation. Mais rien ne sera épargné.
Toute la nuit, les veilleurs du ciel surveillent le moindre mouvement. Tôt le matin, des hélicoptères déposent des commandos. Les assassins sentent le danger et commencent à fuir.
Mais ils seront immobilisés par plusieurs frappes. Puis les troupes au sol entrent en action pour traiter les terroristes. Un certain nombre croit trouver, la nuit tombée, un lieu sûr dans un hameau. Un missile va leur donner tort. Ils seront brûlés avec leurs engins.
Au même moment, d’autres rescapés fuient et se cachent dans un verger de Boliel, ignorant qu’ils ont été minutieusement suivis. Les Forces armées font appel à un vecteur aérien plus important. Des kilos de bombes sont largués sur le verger jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucun mouvement.
Pendant que les Forces armées se battent à Mansila, une autre attaque est signalée à Kourpele. Les vecteurs arrivent et aperçoivent des criminels en grand nombre en fuite vers le Nord. Plusieurs colonnes terroristes seront frappées efficacement.
Le 13 juin 2024 aux environs de 18h, les vecteurs aériens vont à la rescousse d’une position attaquée à Boh dans la zone de Toma. Ils suivent les assaillants jusque dans leur cachette sous un grand arbre. Là, les criminels seront frappés par un missile.
Le 15 juin 2024 vers 17h, des terroristes visent Nango Yarcé dans la zone de Ouahigouya. Ils sont pris en chasse par des vecteurs aériens qui vont frapper la colonne des fuyards à plusieurs reprises.
D’autres criminels qui n’avaient pas reçu l’alerte du danger et qui combattaient toujours aux abords du village seront immédiatement neutralisés. Une unité terrestre a été chargée d’anéantir les rescapés des frappes et de récupérer le matériel encore utilisable.
Le 17 juin 2024, soit six jours après la bataille de Mansila, des criminels sont revenus en nombre important se cacher sous des hangars camouflés sous des bois. Pendant leur rencontre, ils seront bombardés.
Les rescapés prennent leurs jambes à leur cou. Ils sont suivis discrètement jusque dans un hameau où les attendait un groupe plus important.
Les malfaiteurs se retrouvent maintenant sous un grand arbre au milieu du hameau pour comploter. Mais rien n’en sortira puisqu’un vecteur plus grand va se charger de les réduire en cendres pendant leur conclave. Les sources de l’AIB affirment que d’autres opérations de reconquête territoriale sont en cours.
Source : Agence d’information du Burkina (AIB)
Ko laver « l’affront ». Ah, les nègres ! Donc, on est passé de « À bas la France ! », « À bas la Côte d’Ivoire ! », à laver l’affront. Ok !?! Nous croyions que les panafricons, pardon panafricains, et leurs pantins et clowns en treillis dans leur voyoucratie allaient débarrasser les pauvres populations analphabètes du joug du terrorisme en quelques petits mois comme promis. On vous regarde…
Juste un observateur de passage…