Dans le cadre de la lutte contre la corruption en Côte d’Ivoire, un panel a été organisé ce jeudi 13 juin par la Haute Autorité pour la Bonne gouvernance (HABG) dans ses locaux à Abidjan-Cocody, sur le thème « Mesures de protection des dénonciateurs et des lanceurs d’alertes : acquis et perspectives ».
Cette activité a été organisée en collaboration avec le Secrétariat technique du Comité interministériel chargé de la mise en œuvre des recommandations issues du Rapport d’évaluation mutuelle du dispositif de LBC/FT-PADM de la Côte d’Ivoire.
En effet, plusieurs recommandations ont été faites à la Côte d’Ivoire dont la nécessité d’assurer la protection des dénonciateurs et lanceurs d’alertes.
Le Comité interministériel a donc inscrit cette activité dans son plan d’actions en vue d’apporter des réponses aux faiblesses du dispositif existant.
Selon Emmanuel Assi, représentant le président de la HABG, l’objectif est d’apporter des éclairages sur les dispositions légales en vigueur qui garantissent la protection des dénonciateurs afin de rassurer la population et l’inciter à dénoncer.
Il a souligné l’importance de cette campagne d’information et de sensibilisation, qui s’inscrit dans l’engagement continu de l’État de Côte d’Ivoire à améliorer la gouvernance et la transparence dans la gestion des biens publics.
Avec CICG
C’est salutaire cela. Comme nous le disions tantôt l’état de droit est un processus et on le bâtit avec des ajouts et ajustements au fil du temps. En tant qu’observateur, il faut noter que cela contredit de manière cinglante les mensonges et affabulations de l’opposition à court de stratégie et d’arguments qui crie à tue-tête que le pouvoir veut museler le peuple. On se rappelle de la récente débâcle de supposés juristes députés de l’opposition au parlement qui comme de vrais incultes ont étalé leur ignorance de la loi en question et même des procédures de l’assemblée nationale.
En outre, certains caciques de cette opposition incohérente ont dans leurs émotions fait le tour de plateaux télé pour exhiber in fine qu’ils n’ont absolument RIEN compris de l’article 185 qui existait bel et bien sous le minablissime Koudou et sous le PDCI. Son pauvre fils ignorant et professeur (incroyable !) avait même oublié que cette loi existait sous son papa et que l’amendement en question ne fait juste qu’inclure un crime comme le terrorisme comme ce que nous avons souffert à Bassam. Comment se dit-on professeur ou juriste comme ceux du PPA-CI et PDCI et ne pas savoir la différence entre FAIRE APOLOGIE et CRITIQUER ?
D’autre part, il faut s’interroger sn tant qu’observateur dans le cas d’espèce, comment un pouvoir peut-il vouloir museler un peuple et dans le même protéger ses droits, entre autres, ceux de lanceurs d’alerte ? Ainsi donc tous ceux et toutes celles qui ont des alertes avec preuves sur des pratiques contraire à la loi comme la corruption sont protégés. Alors à tous ces individus qui crient corruption par-ci ou par-là, qu’attendez- vous ou alors vous êtes aussi partie des menteurs diffamateurs de l’opposition ?
Juste un observateur de passage… 😉