La Journée nationale de l’excellence est cette année à sa 11e édition. Plus d’une décennie de célébration d’hommes et de femmes de valeur qui contribuent par leurs actions au développement et au rayonnement de la Côte d’Ivoire. Des modèles d’Ivoirien nouveau pour réaliser l’émergence du pays.
Le Prix National d’Excellence, a été institué dans un contexte bien précis. Motiver les Ivoiriennes et les Ivoiriens au travail en vue de construire le pays et atteindre les frontières nouvelles du développement.
Les lauréats du Prix national d’excellence, au fil des ans, doivent ainsi former ce capital humain de qualité pour le développement du pays par leurs compétences, leurs valeurs et leur engagement. Leur exemplarité trace les sillons vers l’émergence de la Côte d’Ivoire. La célébration de ces personnalités s’inscrit dans la promotion de l’Ivoirien nouveau que le Président de la République, Alassane Ouattara, appelle de tous ses vœux. Cette vision renvoie pour paraphraser le Chef de l’Etat à des hommes et des femmes qui dans un environnement de paix durable, adossés à des institutions fortes, « placent l’intérêt de la Nation au-dessus de tout et qui permettent à la Côte d’Ivoire d’entrer de façon irréversible dans le cercle des grandes nations démocratiques et développées ».
Depuis l’institution de la Journée nationale de l’excellence en 2013 par le Président de la République, 734 lauréats nationaux ont été distingués. On compte 263 hommes et 136 femmes. Cette tribune offre également une belle lucarne aux meilleurs élèves et étudiants du système éducatif ivoirien. Ainsi 47 élèves dont 25 hommes et 22 femmes ont été récompensés. A ces lauréats, il faut ajouter les entreprises, les administrations et autres organisations.
Les lauréats sont de tous les secteurs d’activité : biotechnologie, Technologie de l’information et de la communication, arts et cultures, aménagement du territoire, finances, énergie, mines, éducation, santé, sport, etc. Aujourd’hui, ces figures demeurent des références. On peut citer Pr Judith Didi-Kouko, pour les grandes avancées réalisées dans la prise en charge du cancer en Côte d’Ivoire, Jem’s Kokobi, le sculpteur aux identités plurielles qui a reçu le Prix National d’Excellence pour le Cinéma et les Arts visuels, Georges Momboye, l’étoile ivoirienne dans le firmament de la chorégraphie internationale dont les pas rythment les plus grands événements dans le monde, Cheick Sallah Junior Cissé, champion olympique, Marguerite Abouet écrivaine, scénariste et réalisatrice, la « mère » de la célèbre « Aya de Yopougon », Axel Emmanuel Gbaou, le chocolatier ivoirien, Fatim Cissé pour sa contribution à la vulgarisation à des métiers de l’Intelligence artificielle, Alpha Blondy, star de reggae interplanétaire…
Tous sont selon les mots du Conseiller technique du Premier Ministre, par ailleurs Secrétaire permanent du PNE, Eugène Kra Kouadio, des « repères pour la mobilisation de l’ensemble des composantes de la Nation ivoirienne, la création de conditions idoines pour assurer son développement et la promotion de valeurs nécessaires à l’émergence d’un capital humain de haute qualité ». Des Ivoiriens en conformité avec l’éthique sociale, respectueux des lois de la République, travailleurs et à la recherche constante de l’excellence.
Cette année, comme pour l’édition précédente, 87 prix seront remis. « Chaque année, la liste des Prix d’Excellence est arrêtée par le gouvernement en Conseil des ministres, sur proposition du Premier Ministre, président du Comité national de la Journée nationale de l’Excellence », explique le Secrétaire permanent.
Les personnes physiques et morales désireuses de soumissionner à l’édition 2024 du PNE, ont la période du 08 mai au 06 juin pour le faire sur le site www.prixdexcellence.gouv.ci.
La sélection des lauréats débute au sein des Comités sectoriels des ministères et de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). La mise en œuvre du Prix d’Excellence est réalisée dans un cadre institutionnel constitué d’un Comité national assisté d’un Comité technique qui supervise les activités du Secrétariat permanent chargé de gérer le processus de désignation des lauréats et d’organiser la Journée nationale de l’Excellence.
Le lauréat classé premier au titre d’un Prix national d’excellence (lauréat national) reçoit : un trophée ; un diplôme signé par le Président de la République et une dotation de dix millions (10 000 000) de FCFA.
L’accélération de la marche vers le développement « se fera avec un peuple ivoirien porteur des valeurs de probité, de travail et de recherche de l’excellence à tous les niveaux », avait souligné le Président de la République lors de la célébration de la 10ème édition du PNE.
Lancée officiellement le 2 mai 2024, la prochaine édition se tiendra en août prochain.
Avec CICG
Quelle initiative salutaire au plus point ! En effet, bien d’observateurs ne peuvent que saluer cet élan inébranlable de l’administration Ouattara à vouloir valoriser et promouvoir l’excellence partout et en tout dans la Côte d’Ivoire nouvelle.
Comparaison n’est pas raison mais dans un passé récent on se souvient que le régime des refornicateurs, pardon refondateurs, de Koudou Gbagbo Abou Sylla (KGAS), fils du Malien Yacouba Sylla, organisait plutôt des cérémonies de distribution de machettes dans la dépravation la plus totale. Vraiment, nous venons de loin comme le dirait le sage. Et dire que le plaisantin et minablissime KGAS voudrait revenir au pouvoir pour, comme le dit-il dans son incohérence et sa léthargie mentale, « fixer les clous » … Sans blagues !!??! Quels clous, s’interrogent bien d’observateurs ? 😉
Quelle souffrance ! Toute cette énergie à dénigrer un homme de surcroit ancien dirigeant de ce pays.
Oh la la !!! Bien de gros mots-là… Je sais, je sais, la vérité sur le vrai visage d’un homme sans foi ni loi qui a renié ses origines et famille maliennes, anéantie toujours les chiens excités et assimilés. Est-ce la révélation concernant le père Malien Yacouba Sylla qui dérange ? Le sage du quartier disait la vérité rougit les yeux mais ne les casse pas. Courage !
Juste un observateur de passage….
In fine, c’est édifiant de rappeler un temps soit peu que le minablissime Koudou Gbagbo Yacouba Sylla (KGAS) n’était ni éligible en 2000, ni éligible en 2010 car son géniteur, Yacouba Sylla, était Malien. Et la constitution de 2000 et donc 2010 stipulait clairement que le candidat à la présidentielle devrait être Ivoirien de père ET de mère eux-mêmes Ivoiriens d’ORIGINE.
Par ailleurs, quand on entend ça et là les chiens excités et assimilés dire que KGAS a rendu Ouattara éligible en 2010, tout observateur devrait en rire. En effet, les accords politiques entre les 3 grands leaders appliqués par l’imposteur KGAS pour que tout le monde soit candidat en 2010 ne bénéficiaient qu’à lui et lui seul PREMIÈREMENT et PRINCIPALEMENT. Pas du tout à Ouattara comme ces ignorants chiens excités et assimilés de tout acabit essaient de se le faire croire pour pleurnicher pour sa réinscription sur la liste électorale.
En définitive, je demande à mon contradicteur, un plaisantin et rigolo comme son maître KGAS, de dire à tous dans un français clair où est l’erreur s’il a quelque chose non-vaseux au-dessus des épaules. Je ne retiens surtout pas mon souffle face au cirque du soleil des clowns et autres chiens excités et assimilés du PPA-CI.
Juste un observateur de passage… Personne ne peut réécrire l’histoire et changer la vérité. 😉