L’Unité de transformation de manioc de Broukro ambitionne de passer de 420 tonnes/an à 820 tonnes

Une mission conjointe de la Coordination générale du Programme social du gouvernement (PSGouv), conduite par le Coordonnateur général, Non Karna Coulibaly et une équipe de la Banque africaine de développement (BAD), conduite par François Wongué a visité, le lundi 27 mai à Bouaké, l’Unité de Transformation de manioc de Broukro, un projet réalisé dans le cadre du Programme d’appui au PSGouv (PA-Psgouv).

François Wongué, qui s’est imprégné de l’évolution de l’unité de production de manioc, a relevé les défis auxquels les femmes sont confrontées et les a invitées à chercher de nouveaux marchés afin de passer d’une unité semi-industrielle à une unité industrielle.

Kouakou Affoué Monique, présidente de la coopérative propriétaire de l’unité, ambitionne d’augmenter sa capacité de production en la faisant passer de 420 tonnes/an à 820 tonnes.

Mais pour y parvenir, elle envisage de diversifier la production des dérivés du manioc. L’objectif étant de conquérir le marché européen, après ceux de la sous-région, pour accroître leurs revenus.

Pour elle, l’apport du PA Psgouv a été bénéfique au fonctionnement de l’unité semi-industrielle. « Nous avons reçu une broyeuse, une essoreuse, un cuiseur, un four… », a-t-elle mentionné.

Cette dotation a contribué à réduire la pénibilité des tâches. « Notre environnement est sain. Nous ne sommes plus en contact avec la fumée. Cela nous améliore notre santé », a-t-elle dit.

CICG

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1 réflexion au sujet de « L’Unité de transformation de manioc de Broukro ambitionne de passer de 420 tonnes/an à 820 tonnes »

  1. Bravo ! On avance… Il faut multiplier ce genres d’unités sur toute l’étendue du territoire pour les productions locales que ce soit tomates, bananes, riz, etc… C’est le début de l’ère de la transformation donc industrialisation tout azimut. C’est seulement ainsi, en créant de la valeur ajoutée, que nous atteindrons notre souveraineté financière. C’est simple. C’est pas compliqué.

    C’est ainsi qu’on devient un pays développé, et c’est le processus depuis des siècles. C’est pas les faux débats de monnaie par-ci ou monnaie par là qui rendent indépendants ou souverains. C’est la création de valeurs ajoutées, de richesss. Ce que malheureusement nos plaisantins de panafricons et économistes de fortune comme les MK et autres plaisantins n’ont de jugeote pour cerner. Les tarés chiens excités et assimilés du PPA-CI du Malien Koudou Gbagbo Abou Sylla (KGAS), né de père Malien Yacouba Sylla, ont compris à l’envers ce processus en voulant créer des usines aux USA pour créer de la valeur ajoutée aux USA pays le plus industrialisé du monde alors que nous sommes en manque criard de d’industries. Dites-moi, entre nous, comment peut-on être aussi idiots ou minablissimes
    comme ces chiens excités et leur chef de file Malien ?

    Juste un observateur de passage… 😉

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