Niangoloko: Rencontre au sommet entre le général Kassoum Coulibaly et Tèné Biraîma

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Défense Côte-d’Ivoire – Burkina : @Lefaso_net Rencontre inédite entre le ministre burkinabè en charge de la Défense, le général Kassoum Coulibaly et son homologue ivoirien Tèné Biraîma Ouattara ce vendredi à Niangoloko. (AIB) #BurkinaFaso #lwili #CIV225

Des autorités militaires de la Côte d’Ivoire souhaitent rencontrer leurs homologues du Burkina
Mercredi 17 avril
Burkina -Cote d’Ivoire : Des autorités militaires de la Côte d’Ivoire souhaitent rencontrer leurs homologues du Burkina
Des autorités militaires du Burkina Faso ont accepté la demande de rencontre formulée par leurs homologues de la République de Côte d’Ivoire.
Selon les sources de l’AIB, la rencontre aura lieu dans les prochains jours.
Pour l’instant ni le lieu ni le mobile des échanges n’ont été dévoilés.
Mais tout porte à croire que la question de la sécurisation de la frontière commune aux deux pays face aux menaces terroristes et les différends enregistrés ces derniers mois, seront à l’ordre du jour.
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1 réflexion au sujet de « Niangoloko: Rencontre au sommet entre le général Kassoum Coulibaly et Tèné Biraîma »

  1. Ah oui, c’est clair que les choses bougent sur ce dossier de nos frères gendarmes pris ennotage depuis 7 mois. Je vous laisse deviver pourquoi. On a leurs soldats aussi depuis quelques jours. Maintenant, comme par enchantement, ils sont bien disposés à discuter alors que cela fait 7 MOIS on leur parle de nos deux gendarmes et que ce petit putschiste qui se prend pour son propre héros de bandes dessinées burkinabè joue au caïd en nous ignorant.

    En tant qu’observateur, je lai dit haut et fort ici même sur cette plate-forme que la politique de complaisance, et/ou humanisme, et/ou d’accommodations excessifs du PR Ouattara envers ces voisins au nom de je ne sais quels liens fraternels entre nos pays devrait s’arrêter. Les liens fraternels et/ou historiques c’est à double sens pas à sens unique alors que nous nourrissont gratuitement des milliers de réfugiés chez nous. J’avais dit encore haut et fort que lorsqu’on danse avec un aveugle, il faut LE PIÉTINER DE TEMPS À AUTRE POUR LUI RAPPELER QU’IL N’EST PAS SEUL SUR LA PISTE.

    Quelques jours après on arrêtait et transférait deux soldats Burkinabè égarés aussi de notre côté de la frontière. Super ! Ceci faisait suite au fait que bien d’observateurs ont déploré vivement le fait que quelques semaines auparavant des militaires armés Burkinabè pris de notre côté avaient été retournés illico sans contrepartie au nom de je ne sais quelle fraternité et liens d’amitié.

    Merci au PR et son gouvernement d’avoir changer de politique en la matière et adopté plus de fermeté sur ce dossier et d’avoir écouté des millions d’Ivoiriens et observateurs qui en demandaient. Voilà le résultat positif. Aujourd’hui, ces putschistes ingrats et inconscients (alors que des milliers de Burkinabè sont nourris blanchis comme réfugiés chez nous aux frais des Ivoiriens) commencent à porter une montre pour lire l’heure.

    On ne vivra en paix et ces voyoucraties de putschistes ne nous respecteront que lorsque nous montrerons de la FERMETÉ autant que nécessaire. Comme je lai dit également, ce serait mettre nos forces de l’ordre en danger permanent si chaque fois qu’ils sont pris en otage par les pays limitrophes, notre gouvernement verse dans la complaisance de soi-disant fraternité. Il y va en effet de la sécurité même de nos forces de l’ordre. Oui, FERMETÉ. Et cela jusqu’au bout.

    Juste un observateur (pro-Côte d’Ivoire comme toujours) de passage….

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