Les propos tels que rapportés par nos confrères d’Abidjan.net
La Côte-d’Ivoire n’a semble-t-il rien appris des bouleversements politiques majeurs survenus ces dernières années dans la sous-région francophone. À commencer par le coup-d’état au Mali, suivi des putschs en Guinée, au Burkina-Faso, au Niger et au Tchad. Sans oublier le Gabon bien entendu. Le Sénégal a finalement donné le bon exemple, mais les « leaders » politiques ivoiriens n’ont rien vu, ni entendu. L’attelage macabre de la mort par élection se remet en place avec l’attitude cavalière de la Commission électorales, critiquée ici par l’Ex Première Dame, Dr Ehivet Simone Gbagbo. #AGD
Reste à savoir quel consensus l’ex-femme rechercherait-elle pour être satisfaite ? La cartographie actuelle est à au moins 95% la résultante de celle qu’elle et son mari avaient sous leur règne de sang et de feu. Il faut tout de même reconnaître ce faisant qu’elle fait une demande avec un ton plus conciliant à la différence des microbes de son ex-mari qui eux continuent d’utiliser des langages de menace en « exigeant ». En effet, depuis sa rééducation cette dame a changé de vocable. Pour faire avancer les choses, quelles sont les propositions concrètes du parti de Simone Ehivet ? Dans tous les cas, la cartographie n’a pas d’importance pour les présidentielles mais peut-être pour les législatives et municipales à venir.
Ceci dit, pour tous ceux et celles tapis dans l’ombre qui croient que la Côte d »Ivoire c’est le Sénégal ou ailleurs, ressaississez-vous. Rien ne se fera sous la menace ou violence dans notre pays. La violence, nul n’en a l’apanage et on s’est vu ici et on a vu qui sont ceux qui se sont déguisés pour fuir au Ghana. Donc, arrêtons de nous faire peur. À bon entendeur !