La démission du directeur général du Conseil café cacao (CCC), Yves Brahima Koné, exigée.
À travers le dernier conflit entre agriculteurs et CCC avec ministère(s) de tutelle, transparait tout le paradoxe entre un Président de la République [qui ne fête pas le 1er mai] présenté comme libéral, membre de l’international libérale, à la tête un État qui fixe lui seul de façon unilatérale, le prix d’achat de son 1er produit d’exportation.
Pire, l’État de Côte-d’Ivoire va jusqu’à empêcher les agriculteurs qui le souhaitent, d’exporter leurs produits par le Liberia, la Guinée ou même le Ghana, où le kilo se paye plus cher.
Elle est où, la liberté, de vendre un bien qui est privé d’abord ?
L’on se croirait dans une autocratie ou dans un État subitement devenu totalitaire, un État communiste, un pays avec une économie planifiée comme l’URSS d’antan.
#AGD
#Cacao-Hausse du cours/
Deux Syndicats, (Synapci) et (Anaproci) annoncent une grève illimitée à partir du 28/03/24 pour protester contre l’écart entre les prix fixés et les cours sur le marché libre. Ils réclament également la démission du DG du @conseilkfekko
/DR pic.twitter.com/ogDWydKkwF— Enquêtemedia (@enquetemedia) March 28, 2024
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« Le succès de ce pays repose sur l’agriculture ?… Non, le succès de ce pays repose sur un malentendu. Nous serions en train de parler d’autre chose si nous étions les 1ers producteurs mondiaux de chocolat plutôt que de cacao » #cocoaïans par Gauz’, 2022.
Bye…— Gauz (@gauz04) March 28, 2024
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