Les députés du Pdci-Rda font des propositions et refusent d’adopter en l’état l’exposé des motifs, sous réserve de la prise en compte des observations et propositions qu’ils ont faites.
Ils invitent les membres de la Commission des Affaires Économiques et Financières à les suivre dans leurs conclusions. La déclaration faite le 26 mars 2024, intervient dans le cadre de la présentation faite le même jour du projet de loi, par le ministres des Finances et du Budget à l’Assemblée nationale.
Disant avoir examiné avec attention le projet de loi sur la politique nationale d’endettement et de gestion de la dette publique en Côte d’Ivoire, proposé par le ministre des Finances et du Budget, le groupe parlementaire du PDCI-RDA rappelle que le projet vise à regrouper les mesures encadrant la dette publique en un texte unique, en réponse aux besoins de financement de l’État et aux mécanismes d’emprunt tels que les Eurobonds et les financements ESG. Le groupe parlementaire dit saluer l’initiative, reconnaissant qu’elle répond aux préoccupations soulevées lors des examens précédents des projets de loi de finances.
Toutefois, le PDCI-RDA affirme exprimer des inquiétudes quant à l’ampleur de la dette et son affectation, notant une augmentation significative depuis 2019. Les députés constatent en effet, que la dette publique, qui avait nettement diminué en 2012 grâce à l’initiative PPTE, a depuis augmenté, posant des questions sur la viabilité de la dette. Ils soulignent les risques associés à cette dette, notamment sa vulnérabilité aux chocs externes et l’augmentation des charges de remboursement, qui représentent une part importante des recettes domestiques.
Le groupe propose plusieurs mesures, telles que fixer le plafond des ressources d’emprunt à 50% des recettes budgétaires hors dons et affecter une partie des ressources d’emprunt au développement de champions nationaux.
Avec l’IA
Opposition sans vision qui s’oppose pour s’opposer. Oui, la dette a augmenté parce que ce pays n’a connu aucun investissement, aucun, pendant 10 ans d’un régime de gueulards d’un certain plaisantin et vendeur d’illusions appelé Koudou. Ce dernier qui se vante d’avoir pris une « petite » femme et construit l’hôtel de députés à Yakro. Le pays avait à peine de l’électricité, de l’eau, écoles, hôpitaux fonctionnels, etc…
Premièrement, la dette du pays ce n’est pas pour aller à la rue princesse ou s’occuper de maîtresses. Entre autres, Thiam a eu quel bilan au crédit suisse où il faisait payer des bonus mirobolants pendant que l’entreprise était dans le rouge en utilisant des pratiques trompeuses de comptabilité ? Tout a été mis à nu après son éviction, quand il fut de facto viré. En effet, les autorités de régulation ont dénoncé les pratiques de mauvaise gestion de l’enfant prodige à qui l’ivoirité du PDCI ne s’applique pas. En plus, Credit Suisse était en si mauvais état de faillite qu’il fut vendu quelques mois seulement après son limogeage au géant UBS.
Deuxièmement, notre dette est à 58 POURCENT DU PIB. OUI, JUSTE 58 POURCENT DU PIB. Ratio le plus bas dans l’UEMOA qui a une norme de 70 pourcent. Très en deça aussi de celui du Ghana, Nigéria et Afrique du Sud parmi tant d’autres sur le continent. Ce qui a aussi valu le relèvement de notre notation financière dans le monde au même titre que l’Afrique du Sud.
Troisièmement, aujourd’hui du nord au sud et l’est à l’ouest, la transformation structurelle de notre pays est un fait avec plus d’écoles, routes, électricité etc… que nous n’avons eues depuis notre indépendance en seulement 10 ou 12 ans. Cela améliorent drastiquement les conditions de vie des populations et le développement économique du pays pour les générations présentes et futures.
Juste un observateur de passage… On avance…