Une côte d’ivoire ou la prosternation, la courbette et la génuflexion seigneuriale sont les sources de promotions.
«*Le Canaris coquille de la camarilla d’attrape-tout et de copinage ne survivra pas à son porteur»
Bon ! 15 jours rien que pour un grenouillage, un maquignonnage, un saupoudrage, un embellissement et pour parler ivoirien « un-fait-nous-fait politicien » d’une sauce déjà pourris dont l’odeur déborde l’assiette territoriale nationale pour envahir la planète-terre de puanteur. Ministre-député-maire ne suffissent pas il faut m’en rajouter sénateur, et cela avec quel savoir scientifique et connaissance d’appareil. Nous ne pouvons le taire, la jauge de la future instabilité sociopolitique a donné sa graduation de rouge en l’état réel.
Les institutions de la république, singulièrement législative et la représentativité locale ou communautaire a été sacrifié sur l’autel du pouvoir absolu et de l’intérêt particulier, la cantonade du parti attrape-tout à ostensiblement et habilement poussé ses pions préféré pour la présidentielle de 2025, Se faisant tous les grands transfuges du PDCI (atavique) véritable ailiers de débordements a la CEI, pour des centres bien ajustés dans la surface de réparation sur une tête de courtaud et pygmée politique, qui complète toujours sa taille d’une Main-de-Dieu ont trouvé des récompenses à la hauteur des centres et des passes, (un gonflement des liste électorale pour la peuplée de Binationaux, et une déclaration des résultats d’élection présidentielle dans le lieu de retranchement armé d’un candidat) oui, les débordements sur la ligne de touche ont été parfait et les récompenses ont été mérité, jusqu’au bouffeur a l’agriculture dans café-cacao etc., et aussi même si aujourd’hui remercié des postes ministériels continus jusqu’à la primature, et au surplus les transfuges d’élus locaux des votes embarrassé-PDCI, ça bouffe. Oui, Bravo ! Mais chapeau ? Jamais de la vie ! Mouck !!! ». Le copinage et la concussion systémiques dans la gouvernance étatique ressortent de l’affairisme mafieux, et la roublardise n’est pas politique. Il ressort de l’alpinisme du jongleur, le mensonge glauque et visqueux est une politique périlleuse.
Oui, il est incontestable que, la bassesse politicienne et les ambitions perverses résistent difficilement a l’analyse
experte, docte, esthète des hommes publics qui connaissent bien leurs société. Donc, nous arriverons au comble
du but visé qu’est l’absolue monarchie républicaine chemin faisant, avec un premier ministre réduit au simple
poste de ministre des sports, tout comme déjà une vice-présidence d’embellie institutionnelle coquille vide sans
légitimité, et uniquement responsable devant son président. Aussi, on en viendra à coup sûr à la gouvernance par
ordonnance monarchiste avec la camarilla mafieuse des deux « 2 » chambres compilées de députés à majorité
factice automates et suivistes par essence originelle, et ce qui est propre à un état paria, à un état voyou, à un
état policier. Et ensuite pour arriver sans faute à l’objectif principal qui le monarchisme absolue dans une société
déchirée et balkanisée, ou tout est monnayable en Dieu l’argent, même la vie humaine. Et ainsi les successeurs
dont le caléidoscope ne résiste plus à la lunette experte de politologue, seront programmées par la volonté et le
souhait du monarque suzerain et de sa cour royale qui a désormais une réelle emprise hermétique sur la société,
au mépris de la volonté populaire de la majorité du peuple, qui réside dans 80% de dégoutés, face à moins de
20% de dégoutants et cela en dépit des droits inaliénables du peuple et des libertés fondamentales du peuple
souverain. L’arène politique ivoirienne est peuplée de plumes des hommes politiques loyaux et dévoués
serviteurs du peuple, qui les reconnaissaient comme tel. Ici, le cynisme des ambitions perverses fait que, faire la
politique se trouve réduit ostensiblement au banditisme et à la voyoucratie. Oui rien ne doit pouvoir se mettre au
travers de la stratégie vers le trône ou d’être un potentiel frein à cette stratégie. « Ou celui qui fait voir sa tête à tire le premier et déclenché les hostilités mortifères vers le trône et celui qui tirera le dernier coup aura gagné le trône». Oui, doublement centriste la légitimité citoyenne (LC_CRS) ne se leurre jamais, oui, au grand jamais.
Donc, une succession monarchique, avons-nous-dit, ou il serait encore plus difficile de dénier toute authenticité a
une souche linéaire, prêt à casser des œufs pour faire ses omelettes a lui. Au cas contraire, un quatrième mandat
monarchiste en 2025, ne serait que formalité, qui découle des élucubrations judiciaires du troisième mandat avec
sa peuplade de 150 Morts presque de citoyens ivoiriens. Le tout programmé passera comme sur des roulettes.
Puisque le culte aveugle de la personnalité et le panurgisme politique se contente de sa nourriture uniquement,
la bouffe, rien que la bouffe. « C’est notre tour de manger aussi, Hooo ! ». Ce, à quoi la camarilla bouffe-tout et
attrape-tout, sa escouade phalangistes, ses intéressés courtisans mange-mils constitué en brigade d’acclamation
se font toujours le devoir d’applaudir. Ne réalisant même pas qu’on les confine ainsi dans une vie de vache, qui
n’a besoin que de manger, afin de pouvoir crier à la vue du maitre, jusqu’au chaos social sempiternel. Donc qui
ne seront jamais un rival des possédants du pouvoir. Parce qu’ils ont la bouffe en GO-GO, ni un contrepoids
crédible à ces possédants du pouvoir public par rapport aux fortunes que ceux-ci amassent sur le dos du peuple.
Donc, ici La loi est un leurre, un chiffon de papier, une attrape nigaude pour ce qui n’ont pas de forces et destinée
à inculquer aux faibles le respect des forts qui ont la force de répression. Oui, le pouvoir est au bout du fusils,
donc foin de consensus dans l’ordre du public et au tour de la chose publique, foin de droit et de la loi, foin de
l’ordre social, foin de stabilité sociopolitique, foin de dialogue social, foin de démocratie formelle, le tout pour
l’expression systématique des rapports de forces d’animosités dans la société de jungle où règne un suzerain
renard libre. Oui, incontestablement, l’architecture institutionnelle du système monarchiste est parfaitement
mise en place, sans son Nom littéral, c’est-à-dire une gouvernance dans laquelle une seule personne fonde
l'autorité du tout l'État.
Oui, la côte d’ivoire n’est plus en crise, donc une politique de réconciliation n’est plus nécessaire, diantre ! Utiliser l’habilité, le mensonge, la manipulation, les micmacs, et les zigzags, soutenue par une politique mafieuse,
clanique et partisane comme fonds de commerce est celui du choix du désordre futur pour régner et est celui
d’entretenir le chaos social pour des intérêts clanique et partisans. Un clanisme dans lequel au lieu de démontrer
par son action politique, qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays, qui profite à la nation une et indivisible, et au lieu des confrontations contradictoires idéologiques et politiques avec des arguments
conventionnels pour que la vérité germe, Hélas ! On préfère l’utilisation des poignards plantés dans le dos du
républicanisme dans l’anonymat des bas-fonds de politiques politiciennes. On préfère donc, la sale boue des
combats politiques personnifiés, au détriment du combat politique systémique. Un combat systémique dans
lequel, on s’efforcé au mépris des risques et des intérêts pécuniaires, d’œuvre pour l’intérêt général et s’oublier
pour la côte d’ivoire, de dénoncer la dilution mafieuse de la politique étatique par l’interpénétration des affaires
mafieuses de copinages, de concussions, de défenestrations économiques dans la gestion des affaires publiques
étatiques, la dislocation de la société commune par la division pour régner, la segmentation communautaire par
affinité d’appartenance d’interet politique et/ou ethno-tribale pour entretenir la crise sociale à dessein, avec des
petites brouilles politiciennes d’intérêts égoïstes, égocentriques et compromissoires a fin de préservé les intérêts
indus.
Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, avec l’affirmation politicienne péremptoire que la côte d’ivoire
n’est plus en crise, donc qu’elle n’a plus besoin de réconciliation nationale. Alors que la crise n’est pas derrière
nous, elle demeure dans la société évoluant à nos côté, et chaque jour, elle devient un peu plus visible, parce que
logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire organisationnelle et dans des poches d’injustice
sociopolitique, nourrie à la haine de l’autre, dans une organisation sociopolitique, qui abhorre les différences
sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions,
etc. Donc, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, va tout droit dans le mur, avec ses mots glauques, ses
phrases visqueuses et ses allégations nébuleuses, pour diversion qui reparaissent, « un ministère de la
réconciliation nationale n’est plus nécessaire dit-t’on», le pays n’est plus en crise avec 20% de taux de
participations aux différentes élections. Et là où toutes analyses expertes, doctes, et esthètes ne sont plus
audibles, ou toute pensée authentiquement politique porteuse de valeurs communes, peine à se faire entendre.
Or il est de notoriété universelle, que les meilleures sociétés sont gouvernées de par le monde, par des politiques,
lettrés ou analphabètes, qui connaissent à la perfection la société dans laquelle ils vivent. (Doit-t-on saluer ici Karl Rove, l’architecte de la stratégie gagnante de campagne des Bush, « père et fils de gouverneurs à présidents ?»
Sa parfaite connaissance de sa société est son unique atout de faiseur de gouvernants.). Dire d’une société en
crise l’attente quelle n’est en crise certifie que l’on ne connait cette société.
Donc, Nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine en 2025, « Une crise de non-respect du droit,
une crise nourrie par les normes de régulations sociopolitiques personnalisées de confiscations du pouvoir d’état,
qui par essence est la propriété exclusive de la majorité réelle du peuple consentant, une crise de droit civil et
politique, une crise sociale, une crise intercommunautaire, une crise civique et politique, une crise morale et des
mœurs sociétales, une crise de confiance dans les gouvernant mal élus par seulement 20% de dégoutants, donc
une crise de légalité textuelle, une crise de légitimité populaire du pouvoir d’état, une crise de vérité et pire une
crise identitaire », avec plus de 80% de dégoutés exclus de la vie politique de leurs pays face à 20% de dégoutants
soutenants leurs pouvoir élus. Oui, 2025 est programmé pour être explosif et ils gèreront les décombres après.
Oui, Nous tendons vers une crise de la totalité sociale dans une situation, où l’incongruité de la gestion des
affaires publiques étatiques, le banditisme amoral dans la gestion de la crise sociopolitique, l’irrationalité des
pensées politiques, l’inconstance des positions idéologiques, l’épuisement et la dégradation des références
historiques, nationales, politiques, sociales, culturelles et même cultuelles, ne sont plus les signes de misère
politique. Donc vive, la misère des expressions dérivées, l’indigence avérée des mots au terme des discours creux,
déconnectés de la réalité économico-socio-politique, ce qui ne sont pas non plus des signes avérés de misère
politique. Hélas ! Tout au contraire ces tares deviennent des marques de l’authenticité sociopolitique. Ce faisant
bien que instable et confuse, l’esprit de clan devient dès lors fou de confiance et le clan fort d’appoint devient
plus agitée qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front, ou chacun ne se soucie que de sa part de
gâteaux et de son intérêt égocentrique, dès lors l’esprit malhonnête de clan n’a plus honte de ses actions
catastrophiques et de ses échecs répétés. Il porte ainsi ostensiblement ses fiascos sociaux fièrement en
bandoulière, ses plantages sociopolitiques catastrophiques, deviennent ses consécrations. « la crise ivoirienne est
finie ». Le tout soutenu par un nihilisme iconoclaste en outrance. Et ainsi la gouvernance étatique maintient son
œil fixé sur les poches personnelles. Et se faisant, ils n’accordent aucune importance à la démocratie, au nom de
laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire.
Et se faisant insidieusement, les responsables à différents niveaux, y compris dans les fonctions les plus élevées
du pouvoir étatique, ne sont plus maintenus ou nommés pour leur mérite, pour leurs capacités intellectuelles
adaptées à la fonction, pour leurs compétences avérées, pour leurs expériences ou pour leurs savoir-faire, ou
même pour leurs qualifications scientifiques, non ! Mais ils sont nommés plutôt pour leurs degrés d’allégeance au
palais présidentiel ou trône le suzerain et maitre absolue et pour leurs capacités nuisibles à s’adapter au
processus mafieux et aux cultes de la personnalité, et surtout pour leurs capacités à trahir l’intérêt général de la
totalité sociale. Ils n’accèdent donc pas à des postes de responsabilités pour appliquer un programme de biens
communs, ni pour travailler pour l’intérêt général, mais pour se plier aux injonctions de celui qui les a nommés et
se faire complices du bradage de l’organisation sociale, pour arriver à la monarchie. La prosternation, la
courbette et la génuflexion sont les sources de promotions. C’est pourquoi le suzerain n’est pas entouré par des
grands commis de l’état, mais bien par des courtisant plus soucieux de leurs carrières que du bien public. Mais,
retenez que votre Canaris coquille de bouffe-tout, d’attrape-tout, des renégats, des nihiliste, des iconoclastes ne
survivra pas à son porteur. Ce qui est dit est dit, qui vivra verra ! Parole de la LC_CRS ». On sera se voit. Demain.
Citoyens libres, nous sommes condamnés a KOUMA, donc nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte
d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice
juridique et justice sociale pour tous.
*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.
*- Pour tous autres et pour ample infos cliquez sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com
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