Faut-il décharger le président déchu de ses fonctions de Grand maître de la plus puissante obédience maçonnique gabonaise ? Les « frères » sont partagés. Coulisses.
Ouvert le 28 septembre dernier à Libreville, le Convent de la Grande loge symbolique du Gabon (GLS) se tient dans un contexte inédit post-coup d’État. Le 29 septembre, le Grand maitre Patrick Balou a été reconduit dans ses fonctions par 56 voix, contre 7 involontairement glanées par Guy Rossatanga-Rignault. Nommé secrétaire général de la présidence début septembre, ce dernier a renoncé à faire acte de candidature à ce poste qui lui était promis au regard des opinions favorables.
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