Cocan, Voodoo, ministère des sports… Qui gère quoi ?
On peut inviter des journalistes, prendre leur temps tout un après-midi et les abandonner au lieu de départ sans le moindre mot de remerciement, sans le moindre interlocuteur ?
Il faut que les choses claires maintenant. Les journalistes ne doivent pas être victimes des tiraillements entre les organisateurs et les tenants de la bourse.
On a bien envie de contribuer au succès de notre pays mais nous avons aussi besoin de respect pour jouer notre partition.
J’ai parlé et écrit !
SD avec Sylvie Kouamé
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