En Côte d’Ivoire dans le nord du pays, le chef de l’État mobilise le Conseil national de sécurité pour gérer le fort exode de déplacés venus du Burkina Faso.
Possible infiltration de jihadistes
Cette situation est un sujet de préoccupation entre le gouvernement ivoirien et les dirigeants de la transition burkinabè.
Ces dernières semaines, Alassane Ouattara a manifesté son inquiétude face à l’affluence des populations qui fuient à la fois les exactions de l’armée, des groupes terroristes, mais aussi des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), les supplétifs civils des forces de sécurité.
En mars, le président a mandaté à ce sujet Fidèle Sarassoro, son directeur de cabinet et secrétaire exécutif du Conseil national de sécurité (CNS).
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