Conflit de succession – Pourquoi le PDCI n’a jamais oublié cet «adultère politique» ? [Chronique]

«Le PDCI-RDA a certes pardonné, mais n’a jamais oublié ce « adultère politique » et cette « fornication politique » Chronique de Petrouce, Congrès Extraordinaire, ACTE 2

Petrouce Pierre Nicaise GNAGNE, membre du Bureau Politique poursuit
son décryptage à l’allure de bain au sein de sa famille politique.
N’indiquait-il pas déjà que ‘‘les postes stratégiques au PDCI-RDA
doivent être occupés par des hommes et des femmes stratégiques du
PDCI-RDA !’’. L’acte 2 de la nouvelle chronique de Petrouce
exclusivement portée sur le congrès extraordinaire du PDCI-RDA met en
orbite, deux hautes personnalités autour du président Bédié. Suivez-le
avec ledebativoirien.net.*

ACTE 2 :

«Après Monsieur ÉZalé qui voulait « déstabiliser » le Pdci-Rda,
c’est au tour de Monsieur Niamien N’Goran et de Madame Léopoldine
Tiézan Coffie »-Petrouce Nicaise Gnagne.

Depuis le lundi 5 décembre 2022, je l’ai vu venir et il s’est
positionné comme le nouveau « déstabilisateur » du Pdci-Rda. Je ne suis
pas surpris ni étonné puisque je l’ai vu venir et je m’attendais à ce
qu’il fasse sortir sa tête de lui-même, car il n’a pas tardé à renier sa
propre signature et son nom comme il a renié et désavoué sa propre
signature après une réunion bilan annoncée pour le triste 14è bureau
politique que je cite : »Je ne me suis pas fait passer pour le
président… ». Et pourtant, le communiqué du 14 octobre 2022 a été
publié en son nom ».

Monsieur Emmanuel Niamien N’Goran et Madame Léopoldine Tiézan Coffie,
si nos jeunes ne vous ont pas connus politiquement, il y a 30 ans à
travers votre militantisme, vous me donnez l’occasion de leur parler de
vous. En pays d’Adjoukrou, l’humiliation d’un patriarche est la honte de
tout un village, voire de toute une région, a fortiori le célèbre
patriarche le plus admiré de toute la Côte d’Ivoire, Son Excellence
Henri Konan Bédié ?

Alors quand cesserez-vous d’exposer et de donner le change au
Président-Patriarche Henri Konan Bédié avec des décisions politiques
étranges, inhabituelles, singulières si vous prétendez l’aimer plus
honnêtement et sincèrement que les autres ?

Monsieur Niamien N’Goran et Madame Léopoldine Tiézan Coffie, savez-vous
que le Président-Patriarche Henri Konan Bédié est notre « Prophète
politique » qui est un envoyé de Dieu pour la Côte d’Ivoire et pour le
Pdci-Rda en particulier ?

Quel est votre plan pour faire croire faussement au président Bédié
pour la énième fois afin que le Pdci-Rda organise un Congrès
Extraordinaire pour sa réélection qui ne souffre d’aucune ambiguïté,
mais ce faisant, vous exposez le président Bédié à ses détracteurs dont
le plus féroce Venance Konan de Daoukro comme vous qui insulte le
président Bédié à longueur de journée, pourtant vous ne lui avez jamais
répondu alors que je passe tout mon temps sur les réseaux sociaux pour
répondre à Venance Konan.

Est-ce parce que vous reconnaissez votre impopularité au sein du
Pdci-Rda que vous optez pour ce raccourci de décisions impopulaires en
trompant notre Prophète-Président-Patriarche Henri Konan Bédié en lui
promettant aussi de grandes et admirables choses pendant et après un
Congrès Extraordinaire ?

Honorables militants et sympathisants du Pdci-Rda, je vous informe que
si le Pdci-Rda vit aujourd’hui dans l’opposition depuis près de 23 ans,
M. Niamien N’Goran et Mme Léopoldine ont leur part de responsabilité. À
commencer par…Madame Léopoldine Coffie Tiézan, ancienne ministre de la
Famille et de la Femme: / »Ceux qui oublient le passé sont condamnés à
le revivre »/. Disait George Santayana.

Revivons donc celui de l’ancienne ministre de la Famille et de la
Femme

Madame Léopoldine Coffie Tiézan, dans le deuxième gouvernement, qui
était aussi le 18e gouvernement de la Première République du Premier
ministre Kablan Duncan formé le mercredi 11 août 1999, composé de 34
membres, il n’y avait que trois femmes : Danièle Boni-Claverie, issue du
premier gouvernement Duncan de 1993, et vous Léopoldine Tiézan Coffie et
Safiatou Ba-Ndaw.

Madame Léopoldine Coffie Tiézan, ce n’est pas parce que vous étiez la
plus belle femme du Pdci-Rda, ni la plus intelligente du Pdci-Rda, vous
n’étiez pas aussi la militante de première heure de votre génération du
Pdci-Rda, Mais c’est votre destin politique qui a été prédestiné par le
Dieu Tout-Puissant et qui est passé par l’un de ses « prophètes » bénis
Henri Konan Bédié pour vous nommer Ministre de la République de Côte
d’Ivoire parmi tant d’autres femmes du Pdci-Rda.

Mais tristement, vous n’avez pas été reconnaissante et vous avez même
craché dans la main de votre » ange » bienfaiteur Henri Konan Bédié
qui vous a fait ministre de la République de Côte d’Ivoire. C’est très
triste, mais il faut qu’on en parle, car il me semble que vous pensez
qu’au Pdci-Rda, nous n’avons pas une mémoire qui conserve et restitue
les données quand il faut rétablir les faits, aussi têtus soient-ils ?

Au lendemain du coup d’état, au premier chant du coq, c’est-à-dire le
samedi 25 décembre 1999 où l’Ancien Chef d’État et Ancien Président de
la République de Côte d’Ivoire a été renversé par les jeunes gens du
Général Guéi Robert, Mme Léopoldine Coffie Tiézan, ancienne ministre de
la Famille et de la femme, s’est miraculeusement retrouvée en moins de
24 heures du putsch aux côtés de Rose Doudou Guéi, défunte épouse du
général putschiste, pour légitimer son statut de Première dame par
défaut, qui a commencé le vendredi 24 décembre 1999 et s’est terminé le
mercredi 25 octobre 2000, soit 10 mois et 1 jour de Première Dame par
défaut, et pourtant le Pdci-Rda et son Excellence Henri Konan Bédié vous
ont nommée Ministre de la République de Côte d’Ivoire.

Le Pdci-Rda a certes pardonné, mais n’a jamais oublié cet « adultère
politique » et cette « fornication politique » que vous lui avez fait
vivre à un moment de sa vie politique.

Aujourd’hui, 23 ans après cette haute trahison où vous êtes passé dans
le camp ennemi avec déloyauté en vertu de votre attitude subversive de
militantisme, si j’étais à votre place, je concilierais, je réunirais
les clans et je donnerais des conseils pour la paix au lieu d’être
derrière un camp. Aimez-vous vraiment le Pdci-Rda et son président
Bédié, Madame Léopoldine Coffie Tiézan ?

Madame Léopoldine Coffie Tiézan, je me souviens encore comme si c’était
hier, lorsque vous avez refusé de vivre dans cette maison familiale du
Pdci-Rda et que vous l’avez « vendue » politiquement peu de temps après
avoir emménagé avec le général putschiste Guéi Robert, vous avez oublié
tout le bien que Maman Henriette Bédié a fait pour vous, elle qui vous a
tout donné et vous a fait confiance à un moment de sa vie, faisant de
vous ce que vous êtes aujourd’hui et regardez comment vous l’avez payé.

C’est grâce à vous que je n’ai jamais oublié cette citation d’Alexandre
Dumas : » Il y a des services si grands qu’ils ne peuvent être payés
que par l’ingratitude «

Madame Léopoldine Coffie Tiézan, vous souvenez-vous encore du degré
extrême de dégradation morale, d’avilissement et d’indignité que les
femmes de l’UF-PDCI vous ont fait subir ?

«Après Monsieur ÉZalé qui voulait « déstabiliser » le Pdci-Rda, c’est au
tour de Monsieur Niamien N’Goran et de Madame Léopoldine Tiézan
Coffie »-Petrouce. Ledebativoirien.netLe vendredi 25 juillet 2003, à la
Maison du Parti à Cocody, vous avez été offensée par une humiliation
publique teintée de mépris de la part des Vaillantes de l’UFPDCI dont
vous étiez la présidente sortante. Ce jour-là, vous avez reçu ce que
l’on pourrait appeler un véritable exorcisme politique. Vous avez été
humiliée au point de ne pas pouvoir répondre aux accusations portées
contre vous par toutes les militantes de notre famille politique.

Madame Léopoldine Coffie Tiézan, le vendredi 25 juillet 2003 fut un
vendredi noir que vous n’oublierez jamais dans votre âme politique, car
les femmes de l’UF-Pdci-Rda, gonflées en bloc, vous ont vomi des vérités
crues, dont voici quelques morceaux choisis que je cite :

‘’Madame Léopoldine Coffie Tiézan est « Juda » et “collabo » du défunt
Général Robert Guéi pour ce faire, nous ne voulons plus d’elle comme
notre Présidente de l’UF-Pdci-Rda’’. Et voici votre réponse : vous avez
nié tout en bloc : /« Je ne trahirai jamais mon parti. Sous la
transition militaire, j’étais en mission au compte de mon parti/« ,
a-t-elle coupé court aux supputations.

*Petrouce Pierre Nicaise Gnagne membre du Bureau Politique du PDCI RDA
et sa Chronique de Petrouce, ledebativoirien.netMa question : C’était
Son Excellence Henri Konan Bédié, Président du Pdci-Rda qui vous a mis
en mission sous la transition militaire de 2000 ?*

Ma plume de ce jour est de vous interpeller et de vous ramener à ne
jamais oublier ces versets bibliques qui sont très importants pour tout
croyant, mais en particulier le croyant chrétien, car à un certain âge
il faut toujours rester connecté à certains versets pour pouvoir bien
finir sa vie comme nous le rappelle Ecclésiaste 7:7-9 :

… V7 : L’oppression rend insensé le sage, et les présents corrompent
le cœur. V 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux
vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. V9 : Ne te hâte pas en ton
esprit de t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des insensés.…

Que Dieu Tout-Puissant soit mon témoin que j’ai communiqué le message
aux jeunes et même aux doyens du Pdci-Rda qui ont certainement oublié,
mais mieux à la concernée elle-même.

Que Dieu aide le Pdci-Rda

/«Après Monsieur ÉZalé qui voulait « déstabiliser » le Pdci-Rda,
c’est au tour de Monsieur Niamien N’Goran et de Madame Léopoldine
Tiézan Coffie »-Petrouce. Ledebativoirien.net/*

A SUIVRE Acte 3 : Si le Président Houphouët est parti de Yamoussoukro,
qui est à 206,2 km, soit 3 heures et 4 minutes de route, pour aller
chercher son héritier politique, le Président Henri Konan Bédié, à
Daoukro. Dès lors, ce geste de transmission du patrimoine politique de
Yamoussoukro à Daoukro devrait interpeller Monsieur Emmanuel Niamien
N’Goran, parce que le Président Henri Konan Bédié va quitter Daoukro et
va transmettre son patrimoine politique soit à Yamoussoukro, soit à
Gagnoa, soit à Abidjan-Abobo-Doumé, soit à Dabakala mais pas à Daoukro.
Ceci n’est pas un débat…» Suite avec, Petrouce Pierre Nicaise GNAGNE,
Membre du Bureau Politique.

Commentaires Facebook