Voir les images dans l’appli et economisez jusqu’à 80% de dataL’ affaire fait grand bruit en ce moment dans la cité. Elle fait des vagues, à l’instar du pont de Tiassalé, à l’architecture qui donne le tournis. Justement, la saga se déroule à Tiassalé où on assiste à une volée de bois vert entre le syndicat des agents des eaux et forêts, qui n’entend pas faire la langue de bois et le 1er magistrat de ladite localité, prêt à montrer à quiconque de quel bois il se chauffe.
A l’origine, 5 hectares de bois de teck « sacrifiés » d’une main de fer, au profit de la construction d’un hôpital, d’autant plus que le maire tient, dit-on, à une santé de fer de ses administrés. Sous l’arbre à palabres, le syndicat des agents des eaux et forêts a du mal à digérer cette déforestation liée au projet sanitaire à Tiassalé dont la note est salée. Avec un moral d’acier, l’autorité municipale croit dur comme fer agir pour le bien de la communauté. D’ailleurs, Assalé de Tiassalé (sans jeu de mots) le prouve à ceux qui en douteraient, l’écologie et lui, c’est comme l’arbre et l’écorce; la preuve, il s’est attelé à faire une compensation pour se racheter: 5 hectares de bois de perdus, 10 de retrouvés. Que demander de plus dans cette affaire de bois de teck? Et si des mains occultes voulaient coller à Tiassalé l’image d’une cité à la gueule de bois? Suivez mon regard…
ON
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